Proserpine

1.Les aménagements hydrauliques locaux organisant de petites surfaces. a. Formes élémentaires traditionnelles. Techniques savantes Citons les barrages romains dont certains sont encore en activité comme ceux de Cornalbo et Proserpin en Espagne qui alimentent la ville de Mérida. On a également les galeries drainantes, technique minière importée d’Iran, elles assuraient une alimentation en eau régulière bien adaptée aux villes; le cas le plus célèbre est celui du Haouz de Marrakech

aux – 36 – fleuves de l'occident, le Rhin, le Rhône, l'Éridan, et le Tibre, auquel les dieux ont promis l'empire du monde. La terre est entrouverte de toutes parts ; la lumière, pénétrant au séjour des ombres, épouvante le roi des enfers, et Proserpine son épouse. L'océan resserre au loin ses rivages : une grande partie de son lit n'est qu'une plaine de sables arides. Les montagnes jusqu'alors cachées au vaste sein des mers élèvent au-dessus des flots leurs cimes, et augmentent le nombre des Cyclades

encore Tartare (v. 45 et 55, du nom de la partie des enfers réservée au châtiment des criminels) ; c'est le domaine de la nuit (v. 49). Ce monde est peuplé de divinités, à commencer par ses maîtres (umbrarum dominos, v. 28), Pluton et son épouse Proserpine ; le premier est encore appelé arbiter/umbrarum (v. 40-1), deux expressions qui proviennent tout droit d'un passage de Y Hercule furieux de Sénèque (v. 570, umbrarum dominos; v. 582, mortis... arbiter) consacré lui aussi à la catabase d'Orphée

1678, en collaboration avec Molière et Jean-Baptiste Lully) • La Devineresse (comédie, 1679, coécrit avec Donneau de Visé) • Bellérophon (opéra, 1679) • Médée (tragédie, 1693) • Philippe Quinault (1635–1688) • Alceste (tragédie musicale, 1674) • Proserpine (tragédie musicale, 1680) • Amadis de Gaule (tragicomédie musicale, 1684) • Armide (tragicomédie musicale, 1686) • Jean Racine (1639–1699) • La Thébaïde (tragédie, 1664) 2.5 Le Courant classique 11 • Alexandre le Grand (tragédie, 1665) • Andromaque

janvier-juin 1958, p. 44-62. [en ligne] Ressources numériques > Ressources électroniques > Livres et périodiques http://www.jstor.org/stable/750486 (consulté le 5/12/12) Voir aussi : Lipchitz, Jacques ; Michel-Ange ; Orozco, José Clemente Proserpine Voir : Bernin, Le 19 Psyché (voir aussi : Amour/Cupidon/Eros) Collignon, Maxime Essai sur les monuments grecs et romains relatifs au mythe de Psyché. Paris, E. Thorin, 1877, p. 285-446. (Bibliothèque des Écoles françaises d'Athènes

candida lilia carpit / Dumque puellari studio calathosque sinumque / Implet et aequales certat superare legendo, / Paene simul visa est dilectaque raptaque Diti. Je traduis : « C’est un printemps d’éternité. / Or tandis qu’en ce bois sacré / Proserpine s’en va en cueillant / Violettes ou lys éblouissants / Tandis qu’elle emplit les corbeilles / Les plis de sa robe pareille / Avec le zèle d’une enfant / Qui prétend durant la cueillette / Surpasser aînées ou cadettes, / Dis la vit, la désira

franchir les portes du Ténare, et passer les noirs torrents du Styx, pour fléchir les dieux du royaume des morts. Il marche à travers les ombres légères, fantômes errants dont les corps ont reçu les honneurs du tombeau. Il arrive au pied du trône de Proserpine et de Pluton, souverains de ce triste et ténébreux empire. Là, unissant sa voix plaintive aux accords de sa lyre, il fait entendre ces chants : "Divinités du monde souterrain où descendent successivement tous les mortels, souffrez que je laisse

(opéra) 1678 (en collaboration avec Molière et Jean-Baptiste Lully) La Devineresse (comedy) 1679 (coécrit avec Donneau de Visé) Bellérophon (opéra) 1679 Médée (tragédie) 1693 Philippe Quinault (1635–1688) Alceste (tragédie musicale) 1674 Proserpine (tragédie musicale) 1680 Amadis de Gaule (tragicomédie musicale) 1684, Armide (tragicomédie musicale) 1686, Jean Racine (1639–1699) La Thébaïde (tragédie) 1664 Alexandre le Grand (tragédie) 1665 Andromaque (tragédie) 1667 Les plaideurs (comédie)

et Pantagruel sont initialement des personnages du folklore : le genre des récits populaires est également convoqué. Mais le nom Pantagruel surprend. Le public de l’époque le connaît sous la forme Penthagruel, nom d’un petit diable ailé, fils de Proserpine, parcourant les régions marines et, la nuit venue, jetant du sel dans la gorge des ivrognes pour leur donner soif. Le titre annonce donc d’emblée un décalage (entre un petit diable et un héros épique gigantesque) destiné à provoquer le comique mais

flauom Proserpina uertice crinem Abstulerat Stygioque caput damnauerat Orco. (IV, 696-699) ( Car sa mort n’étant l’effet ni du destin ni d’une juste condamnation, comme elle périssait, malheureuse, avant son jour et enflammée d’une délire soudain, Proserpine n’avait pas encore détaché de sa tête le cheveu blond ni voué sa vie à l’Orcus stygien.) 46 Én., X, 503-505. 43 44 11 Camenulae n°5 – juin 2010 Le glaive en main, il moissonne tout sur son passage ; à travers les corps de bataille, l’âme