Protagoras Théorie De La Connaissance

de libération qu’offre la technique à l’homme. Mais, ensuite, nous analyserons les conséquences de cette libération. (((( Première partie : La technique libère l’homme. En effet, la technique permet la libération de l’homme. Dans Le Protagoras, Platon explique en quoi la technique libère l’homme du joug de la nature. Dans l’Olympe, les dieux s’ennuient. Alors Zeus demande à son fils Héphaïstos, dieu des Forges, qu’il a eu avec sa sœur Héra, de fabriquer quelque chose pour les sortir de

l’origine une formation philosophique, ils sont en quelque sorte redevables à la philosophie de leur temps. 1er exemple : Adam Smith, connu pour avoir écrit La Richesse des Nations en matière d’économie, l’est aussi mais avant tout pour avoir écrit la Théorie des sentiments moraux (XIXème) 2nd exemple : Marx est avant tout un philosophe, titulaire d’un doctorat, pour ensuite s’intéresser à l’économie(XIXème). Les économistes du XXème siècle ont avant tout été inspiré par des philosophes. Exemple :

sujet à l ‘aide d’outils conceptuels précis (ce qui est le propre de la philosophie) Le scepticisme peut être ainsi interrogé comme point de vue du sens commun mais aussi comme position philosophique (voir le Pyrrhonisme ou le relativisme de Protagoras qui affirme que « l’homme et la mesure de toute chose »). De la même manière il est nécessaire d’examiner la position inverse : « il existe une vérité absolue » et de chercher qui peut défendre cette thèse et avec quels arguments. Ce travail

organisme = n’est donc pas une machine et n’est pas distinct de cet ensemble qu’est la Nature). Technique impacte la nature de l’H et impacte la Nature. 1) Platon : Le Mythe de Prométhée, dialogue du Protagoras. = Platon montre que l’éloge de la Technique = sophisme donc dangereux (Protagoras est un sophiste). But de ce mythe = 1) s’interroger sur essence de la Technique 2) Montrer avantages les avantages que la Technique confère à l’H ainsi que ses limites. Ici la Technique = savoir-faire

à ses capacités d’orateur. 6. Les Grecs confèrent donc une grande importance à la parole. Les sophistes Ancêtre : Antiption Protagoras, Gorgias, Prodicos, Lysias, Hippias et Cléon But : Avant de prendre au sérieux les thèses des présocratiques, on doit examiner nos facultés de connaître afin d’évaluer notre accessibilité à la vérité. 1. Nos connaissances ne valent que pour nous, il nous est impossible de savoir si elles sont vraies tout dépendant de l’homme qui les a développées 2

Premier chapitre L’homme peut-il accéder à la vérité ? Introduction Le premier chapitre porte sur le problème de la connaissance : - que peut-on connaître du monde qui nous entoure ? - Comment établir des connaissances certaines ? - Est-il possible d’atteindre la vérité ou celle-ci n’est-elle qu’un idéal vers lequel il faut tendre ? Notions du programme : La vérité - La raison et les croyances - L’expérience Méthodologie : partir de la définition

l'interlocuteur vers la vérité, vers la sagesse. Cela dit, ce savoir qui est en nous est difficile à atteindre puisque le dialogue aboutit souvent à une aporie. C'est à dire à une impossibilité de conclure. Néanmoins, toute réflexion permet une meilleure connaissance de soi. Conséquence, il n'y a pas de philosophie sans remise en question, sans souffrance, sans apprentissage du doute. C'est cette attitude dérangeante qui lui vaudra d'être condamné à mort par le tribunal d'Athènes. Les motifs officiels sont

que j’en décide librement, rien (c’est-à-dire : ni les passions, ni l’inconscient, ni l’ignorance ne peut en être l’origine) | |ni personne ne m’y a poussé. La question de savoir si on peut vouloir le mal signifie donc : peut-on faire le mal en connaissance de cause, librement, en | |sachant que ce que l’on fait est mal ? Ou bien ne fait-on le mal que par aveuglement, à cause des passions, ou de notre histoire passée, en n’ayant pas | |vraiment conscience de faire le mal ? Et elle sous-entend

moindre satisfaction directe. Nouvelles significations du travail De ses considérations historiques, Marx déduit la nécessité de la révolution, comme premier pas vers la libération de l’humanité, mais les politiques qui ont prétendu appliquer ses théories n’ont guère eu de succès dans cette voie. Par ailleurs, le travail industriel, ou « en miettes », doit être repensé à partir de la situation actuelle (chômage, apports des nouvelles technologies) : le chômeur se sent-il « exclu » pour des raisons

universelle. Il y a une pluralité de point de vue sur le monde. Celui qui a besoin de connaître est faible et le vrai penseur, libre est capable d’affronter le caractère multiple et changeant de la réalité sans avoir besoin de la simplifier par des connaissances. Il n’y a pas de vérité definitve. Il préfère le mensonge de l’artiste. Le problème de cette conception: “pouvons nous vraiment évacuer cette notion de vérité?” Il n’y a plus de vérité. ⇒ Depuis Platon, la philosophie confronte science et opinion