Pré Taylorisme

contexte imposant de profondes transformations II- Des effets contrastés sur l’emploi. CORRIGÉ Introduction Centrage : Associée à la croissance de type fordiste, l’organisation scientifique du travail (OST), l’autre nom du taylorisme, connaît un certain nombre de limites depuis les années 1960. En réponse aux dysfonctionnements, des innovations organisationnelles, connues sous le nom de toyotisme, ont vu le jour, et le maître -mot est celui de flexibilité. Les interrogations

standardisation des pièces mais aussi l‘augmentation des salaire : « five dollarr a day ». Nous mettrons d’abord en évidence le taylorisme et le fordisme qui ont permis des gains de productivité important. Puis nous identifierons les limites de cette forme d’organisation du travail. 1. L’organisation Taylor-fordienne a permis un gain de productivité important Le taylorisme grâce à de nouvelles méthode de travail a permis d’accroitre la production. En reprenant le principe de l’ost, le fordisme

historique et social  Concept des 3 phases d’évolution  L’évolution technique  L’évolution professionnelle  Synthèse du concept des 3 phases Evolutions des techniques d’organisation du travail L’Organisation Scientifique du Travail (OST) / TAYLORISME  Mise en application industrielle chez Midvale Steel Company (sidérurgie) par Frederick Taylor à partir de 1884  Met fin aux méthodes empiriques utilisées traditionnellement  Principes  Décomposition/parcellisation des tâches de travail

Le management participatif 1. Une réaction face au taylorisme  1.1. Le taylorisme et ses limites 1.2. La naissance du management participatif 2.Définition du management participatif 2.1. Les principes du management participatif 2.2. Les facteurs clés de succès à la mise en place d’un management participatif 2.3. Outils du management participatif 2.4. Les avantages du management participatif 3. Les limites du management participatif 3.1. Problème de temps et de coût  3.2. Résistance du

------------------------------------------------- EMERGENCE DE LA GRH : THEORIES DES ORGANISATIONS (École classique) 1/ Taylorisme : (OST) Pionnier de l’organisation scientifique du travail. Instaure la division verticale/horizontale du travail et met en place la séparation entre « les cerveaux, et les mains », soit la conception et la production. Objectif : "paix sociale » sur quatre principes : * Division horizontale du travail = spécialisation des tâches et étude des temps d’exécution

entreprises japonaises. Le système est donc très plastique, contrairement au système classique de production de masse planifiée. Il s’agit d’une production en série restreinte de produits différenciés et variés : C’est « l’envers du fordisme et du taylorisme ». - La question posée est : Que faire pour élever la productivité quand les quantités n’augmentent pas ? C’est un des grands impératifs du ohnisme. Rechercher des gains de productivité immédiats en dehors des ressources d’économie d’échelle et

de plus en plus ses limites. Du cote de la consommation, les ménages étant désormais équipés, seul subsiste un marche de remplacement qui attend des produits plus variées, de qualité, avec un service après vente performant ce que n’offre pas le taylorisme-fordisme. Par conséquent ce qui faisait autrefois le succès du fordisme devient désormais une réelle limite : * Le travail à la chaine, et la standardisation permettait un gain de productivité * Le « 5 $ day » une hausse du pouvoir

o Travail Préparatoire : 1. Au cours des années 1960, dominait une organisation du travail, le Taylorisme ou Tayloro-Fordisme. Cette nouvelle organisation prévoyait une division du travail, tant sur le plan verticale entre réalisation et conception, que sur le plan horizontale avec la parcellisation des taches. La standardisation des produits permettant de produire simplement en grande quantité sur des chaines de montage est aussi un critère de l'OST. Avec l’arrivée du Fordisme apparait le «

ainsi à ses ouvriers de pouvoir eux aussi prétendre à l'achat d'une automobile. A cette époque, deux millions de la Ford T étaient produites chaque année et proposées au public à 260 dollars. Henri Ford révolutionna l'industrie en s'inspirant du taylorisme basé sur la rationalisation et la standardisation et en mettant en place une chaîne de montage (ou convoyeur) en 1913. Cette méthode fut appelée le fordisme. La Ford T lança une révolution rurale, Les 5 dollars de salaire quotidien et toute la

par A.S. , s'ajoute une division verticale du travail de conception qui consiste a définir les taches a accomplir selon les procédures les meilleurs en un temps limité. «  The one Best way », ou les ouvriers sont payer au rendement. Ainsi le taylorisme instaure dans l'entreprise une forte hiérarchie dans l'entreprise entre le bureau des méthodes et l'atelier. Ford va reprendre ces principes en y ajoutant quelque amélioration pour accroitre les gains de productivité, il va introduire le convoyeur