Précieuses Ridicules 15 16 17

13 3.2.3 Les textes de la caricature 14 3.2.4 La relation entre l’image et les textes 15 3.2.5 Le message satirique de la caricature 15 3.3 L’aspect social 3.3.1 La Description de la 1èr caricature 16 3.3.2 Le contexte 16 3.3.3 Les textes de la caricature 16 3.3.4 La relation entre l’image et les textes 17 3.3.5 Le message satirique de la caricature 18 CHAPITRE IV Conclusion 19 Bibliographie

    L’AVARE de Molière  Mise en scène et scénographie Nicolas LIAUTARD          Jeu 22 Ven 23 avril 20H  Centre Culturel André Malraux – JEUMONT  Durée : 2H            Le Manège – Rue de la Croix BP 105 – 59602 MAUBEUGE CEDEX  Tél : 03 27 65 15 00 / Fax : 03 27 65 93 80  L’AVARE de Molière DOSSIER PEDAGOGIQUE Mise en scène et scénographie Nicolas LIAUTARD Création La Nouvelle Compagnie Saison 2008 |2009 Coproduction La Nouvelle Compagnie La Ferme de Bel Ebat Théâtre des Quartiers

situation initiale du récit. Quels éléments dénotent déjà par rapport à l’univers idyllique associé à ce genre littéraire ? Baronne grasse, baron a un château avec beaucoup de fenêtres et de portes, signe de sa puissance. Baron prétentieux et ridicule. Sa femme ne se distingue que par son poids et une bonne éducation limitée à une politesse formelle. On voit qu’on est parfois même plutôt du côté de la parodie au travers de ces détails, il y a donc une critique implicite de la société. Dès les

l'entrée ». Efficacité dramatique de cette ouverture : -introduit immédiatement les différents personnages présents sur scène : (« Ruy Blas » nommé dès le premier vers, « Gudiel » dès le vers 4 et Don Salluste « chef de la maison de Bazan » vers 17) -Présentation de la situation de disgrâce de Don Salluste dès le vers 4 «renvoyé, disgracié, chassé ! - ». Quelques vers suffisent à Hugo pour évoquer le passé : « pour une amourette » (v6) + « Ordre de l'épouser. Je refuse. On

l'Hôtel de Bourgogne, en 1640. - Principaux indices : le lexique du théâtre dans la très longue didascalie descriptive qui précède l'acte I, la mention du parterre (I,1, v.4), de l'Hôtel de Bourgogne (I,1, v.12), de Rotrou et de Corneille (I,1, v. 15-16), le titre de la pièce présentée de soir-là ("Clorise" de Balthazar Baro, I,1, v. 2425), l'acteur Montfleury (I,1,v. 29), etc. Remarque : la description de ce célèbre théâtre pourra faire l'objet d'une brève discussion dans la classe. On comparera

notera-on la remarquable efficacité dramatique de cette ouverture qui introduit immédiatement les différents personnages présents sur scène (« Ruy Blas » nommé dès le premier vers, « Gudiel » dès le vers 4 et Don Salluste « chef de la maison de Bazan » vers 17) et hors scène (« la reine » - v10 - qui « vient de Neubourg »). Remarquable efficacité aussi dans la présentation de la situation de disgrâce de Don Salluste dès le vers 4 « renvoyé, disgracié, chassé ! - ». Quelques vers suffisent à Hugo pour évoquer

notera-on la remarquable efficacité dramatique de cette ouverture qui introduit immédiatement les différents personnages présents sur scène (« Ruy Blas » nommé dès le premier vers, « Gudiel » dès le vers 4 et Don Salluste « chef de la maison de Bazan » vers 17) et hors scène (« la reine » - v10 - qui « vient de Neubourg »). Remarquable efficacité aussi dans la présentation de la situation de disgrâce de Don Salluste dès le vers 4 « renvoyé, disgracié, chassé ! - ». Quelques vers suffisent à Hugo pour évoquer

hyperboliques à la fois dans l'expression de son revers de fortune et de sa déchéance (accumulation d'adjectifs v4 « renvoyé, disgracié, chassé », v5 « tout perdre en un jour ! », répétition « On m'exile ! On m'exile ! », anaphore « Vingt ans » v14-15, anaphore et parallélisme de construction « tout ce que » v19-20, énumération v21 « Charge, emplois, honneurs, tout .... » ) et de sa vengeance future (accumulation « sape obscure, profonde et souterraine » v29, « effrayant » v44). Ces procédés hyperboliques

théâtre avec son grand-père ou à regarder sur leurs tréteaux les bonimenteurs parisiens ? Il « contemple », comme on disait de son temps, les hommes qui l'entourent, note les ridicules que leur donnent les passions, les aveux extravagants qu'il leur arrive de proférer. Mais il ne s'arrête pas là : dans Les Précieuses ridicules et dans Les Femmes savantes il débat de la culture féminine, dans Le Malade imaginaire des maladies physiques et des maladies de l'esprit, de la confiance qu'on peut donner à

fait des scènes aux Fâcheux. » (Zélinde, 1663).  - L’écrivain Chapelain emploie à propos de Molière le mot « scurrilité », qui signifie « basse bouffonnerie ».  - Pour l’écrivain Somaize, Molière est  « le premier farceur de France » (Les Précieuses ridicules nouvellement mises en vers, 1660, préface) - L’académicien Valentin Conrart voit en Molière « le Héros des farceurs ». - Le chroniqueur Charles Robinet  constate : « On ne peut pas dire qu’il soit une source vive, mais un bassin qui reçoit