Préface Du Misanthrope

comme dans "Le corbeau et le renard" : "tout flatteur vit au dépens de celui qui l'écoute". Selon La Fontaine, "l'apologue est composé de deux parties dont on peut appeler l'une le corps, l'autre l'âme. Le corps est la fable ; l'âme la moralité." (Préface des Fables). Mais la morale peut aussi de trouver au début de la fable, comme dans "Le loup et l'agneau", où elle est énoncée clairement : "la raison du plus fort est toujours la meilleure". Dans le style de la fable, on trouve la parabole, développée

règne personnel commence en 1661) 1635 Fondation de l’Académie française par Richelieu 1637 Corneille, Le Cid 1662 Molière, L’École des femmes 1664 Molière, Le Tartuffe ou l’Imposteur 1665 Molière, Dom Juan ou le Festin de pierre 1666 Molière, Le Misanthrope 1667 Racine, Andromaque 1668-1694 La Fontaine, Fables 1677 Racine, Phèdre 1678 Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves  1688 La Bruyère, Les Caractères Les caractéristiques du classicisme Le perfectionnement de la langue Les auteurs classiques

d'abolir la peine de mort. II)Quels sont les atouts de l'argumentation indirecte pour un lecteur? Le lecteur lit avant tout pour se divertir, passe un bon moment. Mais cette lecture peut être instructive, c'est ce que dit Charles Perrault dans la préface de ses contes (1695). Il souligne son projet ludique et éducatif. «Les gens de bon goût on été bien aise de remarquer que ces bagatelles n'étaient pas de pure bagatelle, qu'elles renfermaient une morale utile, et que le récit enjoué dont elles étaient

à la liberté du poète – ce qui importe = virtuosité technique à partir de thèmes pré-déterminés, imposés) ex thème de la belle matineuse ( poème du même nom chez Voiture ) - thème de la belle endormie ( ex chez Malleville – thème repris dans le Misanthrope de Molière cf Oronte = il s'agit de véritables jeux de salons ) 2 ) dimension formelle de la poésie – pour certains poésie est plus dans « la forme des idées » que dans les idées elles-même Valéry « Commentaires de Charmes » mise en valeur

femmes savantes |el convidado di pietra de Tirso di |Electre d'Euripide. |- Hernani de V. Hugo, Lorenzaccio de| | |Molière. |- Les fourberies de Scapin. Molière |- Le Misanthrope |Molina., La vida es un suegno de | |Musset. | | | |- Les plaideurs. Racine |de Molière

divertir le spectateur, à le faire rire. Contrairement à la tragédie, dans la comédie, les personnages sont de condition moyenne ou modeste, et le dénouement est heureux. Molière est le plus illustre représentant du genre, avec des pièces comme Le Misanthrope, L'Avare, Le Malade imaginaire... Il existe plusieurs types de comédie : - comédie de caractère, - comédie de mœurs, - comédie d’intrigue, - comédie de sentiments, - comédie-ballet qui inclut des ballets. Le XVIIIème siècle 1) Le théâtre au 18ème

pas, mais qui est pensé, désiré, rejetté et craint seulement à travers la langue. L'action semble être soumise à la parole aussi dans la comédie, genre plus libre, qui commence toutefois à ressentir l'influence des règles d'Aristote. Dans "Le Misanthrope" de Molière, représenté en 1666, la parole, plus que l'action, sert en effet à exprimer la comicité, provoquée par les idées et les attitudes exagérées d'Alceste. La parole est le seul lien avec ceux qui l'entourent. Le silence qui tombe sur une

Enfin, Châteaubriand crée le premier personnage de la littérature romantique française : René, héros angoissé sujet au désespoir et aux passions. C’est Victor Hugo qui, pour la première fois, va définir les bases et principes du romantisme dans la préface de Cromwell. Après la parution en 1824 de Racine et Shakespeare de Stendhal, dans lequel celui-ci fait s’affronter Racine, homme classique, et Shakespeare, écrivain romantique, et montre ainsi l’innovation du courant, l’œuvre de Hugo en 1827 en pose

cadran". Des auteurs comme Pierre Corneille ont pris des libertés dans le respect de ces règles. L'illusion comique, où l'action semble se dérouler en plusieurs lieux et en plus de vingt-quatre heures, en est un bon exemple. Également dans la célèbre préface de Cromwell, Victor Hugo critique les unités de lieu et de temps ainsi que la vraisemblance de la tragédie classique. III- Les genres classiques Le théâtre du XVIIe siècle s'inspire directement de l'Antiquité gréco-latine. La conception du théâtre

Ouvrages consultés : BAUDELAIRE, Charles, Les Fleurs du Mal (1857) FLAUBERT, Madame Bovary (1857) GOETHE, Johann Wolfgang von, Les Souffrances du jeune Werther (1774) HUGO, Victor, Les Contemplations (1856), Préface de Cromwell (1827) MICHEL-ANGE, Poèmes (XVIe) MOLIÈRE, Le Misanthrope (1666), MONTAIGNE, Michel de, Essais (1580-1588) MUSSET, Alfred de, Confession d’un enfant du siècle (1836) SARTRE, Jean-Paul, La Nausée (1938) SHAKESPEARE, William, Hamlet (1600) VERLAINE, Paul, Poèmes