Préjugé Finaliste Spinoza

les moyens ou les chemins possibles pour atteindre ce but. Pour Aristote, la finalité doit toujours être noble et belle. On peut se poser la question de savoir si cette finalité dite « noble et belle » est universelle ? Les mêmes actes sont ils préjugés beaux dans toutes les cultures et au travers de toutes les époques ? Aristote pense que c’est sur un champ de bataille au service de motifs nobles que l’homme est courageux. Ne peut-on pas penser que les hommes peuvent être courageux dans des circonstances

Daniel Pimbé Spinoza Collection dirigée par Laurence Hansen-Løve Edition numérique : Pierre Hidalgo La Gaya Scienza, © octobre 2011 1 Table des matières Introduction : biographie .............................................. 5 Un philosophe en exil ...................................................... 5 Pour l’indépendance de la philosophie ............................ 7 Chapitre 1 : La connaissance humaine ........................ 10 La force du préjugé .......................

démystification est double : • Epicure dénonce d’abord l’anthropomorphisme qui nous fait concevoir les dieux à notre image. • mais il fait plus : il désenchante le monde en séparant l’univers des dieux et celui des hommes. C’est la critique du préjugé finaliste qui nous fait croire que tout, dans la nature, répond à une finalité cad une intention. Les dieux demeurent en d’autres mondes ( les « intermondes ») et sont indifférents à notre condition : ils se fichent des hommes. Désenchanter le monde

sans liberté tout le monde est innocent. Tout fonctionne comme si la liberté exister et comme si l’homme était un sujet responsable.* Pb : un sentiment aussi fort soit-il n’est jamais une preuve, et si la croyance en la liberté n’était qu’un préjugé ? De même que le perception immédiate peut m’induire en erreur en déformant les images, la conscience ne peut-elle pas produire des illusions ? La liberté n’est-elle pas une illusion intellectuelle ? Se croire libre est-ce l’être véritablement ou

la connaissance des clercs Selon Aristote le monde est fait pour Dieu (finaliste). • Renaissance : la pensée grecque et la représentation hellénique d’origine reprend le dessus du fait de la chute de Constantinople (Italie) par les Grecs. • XVI et début XVII, les penseurs dont Spinoza (pays bas) résume ce conflit par « Dieu ou la nature extrait du Traité théologico-politique. Lui et ses disciples critiquent les préjugés répandus par l’autorité de l’Eglise. Les textes sont inattaquables ce qui

Mesland du 9/02/1645. INTRODUCTION. En même temps que la pensée se saisit explicitement dans le cogito, elle se saisit comme libre. Le doute exprime en effet une faculté de "suspendre son jugement", de ne pas suivre la pente de ses habitudes et de ses préjugés: il exprime la liberté de la volonté. A propos de cette liberté, Descartes, dans les Méditations Métaphysiques, avait affirmé deux choses (cf. cours sur la liberté): a/ La liberté se révèle d’abord dans les situations d’indifférence (c'est pourquoi

Mesland du 9/02/1645. INTRODUCTION. En même temps que la pensée se saisit explicitement dans le cogito, elle se saisit comme libre. Le doute exprime en effet une faculté de "suspendre son jugement", de ne pas suivre la pente de ses habitudes et de ses préjugés: il exprime la liberté de la volonté. A propos de cette liberté, Descartes, dans les Méditations Métaphysiques, avait affirmé deux choses (cf. cours sur la liberté): a/ La liberté se révèle d’abord dans les situations d’indifférence (c'est pourquoi

l’évolution, ils sont le plus près des origines et rendent sensible à nos yeux l’impulsion qui vient du fond. » Explication : Bergson se situe dans la ligne de ceux pour qui il y a une Providence dans la nature. Pour lui cette providence n’est pas finaliste autrement que par son incarnation humaine. Mais l’homme lui-même même s’il a des intentions doit tout de même en créer les objets. La finalité, l’intention n’est qu’un effet secondaire de la création. Par exemple je n’aurai un but personnel que si

qu’elle soit modifiable par un parlement élu23) qu’est-ce qu’un comportement éthique selon Spinoza ? :A) Le fait d’agir en respectant les lois de son paysB) le fait d’agir conformément à sa conscienceC) le fait de ne pas juger le comportement des autresD) le fait d’agir en se référant à une conception transcendante de la personne humaineE) le fait d’agir 24) Qu’est-ce qu’un comportement moral selon Spinoza :Le fait d’agir en respectant les lois de son paysB) le fait d’agir conformément à sa conscienceC)

amis, camarades de classe ou étrangers…). origine de mes goûts (en matière vestimentaire, musicale, artitstique, sportive…), de mes idéaux politiques ou moraux, etc. intellectuelle mes pensées, ma vision ~ réflexion afin de nos préjugés du monde répondre aux grandes questions qui se posent à l’homme (que dois-je faire face au racisme ou à l’exploitation au travail des jeunes enfants ?) ~ le savoir, dont le savoir critique qui correspond à la philosophie surtout, nous