Préjugé Finaliste Spinoza

des buts et à déterminer les moyens de les réaliser. Ici ce ne sont plus les concepts du mécanisme (cause/effet) qui conviennent à la description de l’action mais ceux de la finalité(fin/moyen). Mais à condition d’échapper au préjugé finaliste que Spinoza a vivement critiqué (cf.cours précédents). Or si la volonté est bien la détermination d’une fin le vouloir implique le désir.Dans le langage ordinaire nous disons « je veux » pour exprimer tout ce que nous souhaitions ou désirons, mais

réalité ns est donnée qu’elle soit d’ordre sensible (empiristes) ou intelligible (rationnalistes). contraire contradictoire amour oblatif captatif 2 Qu’est-ce que la philosophie ? Philosophie : attitude de questionnement, de remise en cause des préjugés, de la doxa (δoξα : opinions, idées reçues) → on prend conscience de son ignorance : – Socrate (399 avt JC) : «Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien.» → dialogues aporétiques (sans conclusion). – Montaigne : «Que sais-je ?» ⇒ nécessité de

vérité. Enfin, dans une dernière partie, nous dépasserons cette vision stricte de la fiction comme obstacle : lorsque l’homme sait que la fiction n’est que fiction, il peut s’en servir pour atteindre la vérité en soi, et se débarrasser de tous ces préjugés, et ainsi transformer l’obstacle en outil. Dans cette première partie, nous allons nous intéresser à la fiction dans la littérature, pour montrer que dans l’objet du roman qui apparaît être l’objet le plus explicitement doté de fiction,

l’évolution –en remplaçant l’usage et la désuétude par la lutte pour la vie. I° la compréhension du vivant entre finalité et mécanisme : A° la conception finaliste et hiérarchique du vivant : Aussi loin que l’on remonte dans l’analyse du vivant, on trouve le débat qui consiste à opposer une interprétation finaliste et une interprétation mécaniste du vivant ; cette opposition était déjà formulée par Socrate dans le Phédon, lorsqu’il s’agissait dans le Criton de savoir pourquoi

nature du lien existant entre les nouvelles formes de servitude et la multiplication du nombre de suicides dans les entreprises. Problème que la philosophie de Spinoza (1632-1677), qui décrit les étapes intellectuelles du passage de la servitude native de l’homme à la liberté, permet de cerner en ouvrant à la compréhension de l’actualité. Spinoza conçoit en effet le suicide comme conséquence d’une soumission totale au déterminisme des causes extérieures : « Personne […] n’omet d’appéter ce qui lui

cachée, à dévoiler, quels sont les critères permettant de débusquer la vérité ? I Les critères de la vérité 1- Vérité et opinion La raison : logos, raisonnement rationnel ; monde désenchanté (non mystifié) Au contraire, la doxa, l’opinion est un préjugé sans preuves ; Multiple et s’appuyant sur le vraisemblable. Platon : Allégorie de la caverne : La doxa est multiple, ce qui apparaît et ce que croient les autres ; La vérité au contraire est unique, elle est immuable éclairée par le bien suprême (soleil)

culte, Le mot "religion" qui signifie tous , c'est un double lien entre les hommes et entre les dieux d'un autre côté. b)Illusion Pour deffinir la notion d'illusion on peut la rappelr et la distinguer de versions voisines - erreur, manipullation, prejugé et illustration. -une illusion n'est pas une erreur. Une erreur disparait quand je me rend compte que je suis dans le faux, je n'ai que raconter pour rectifier une erreur de calcul, faire attention sujet a eviter l'erreur. A l'inverse une illusion

l’expérience). *le préjugé doit être combattu au nom de la vérité et de la liberté. *pour Descartes les causes de l’erreur viennent de l’entendement qui est fini (on peut pas tout savoir) et la volonté infini (on peut vouloir et affirme tout et n‘importe quoi, refuser l‘évidence). => donc pour D. le jugement est libre, on peut même être de mauvaise fois. Contrairement à Spinoza qui pense que la vérité est une évidence et s’impose à l’esprit (volonté contrainte à la vérité). *pour Spinoza on peut se tromper

Mais que veut dire liberté ? Pour ne pas raconter n’importe quoi sans même le savoir (si on le sait, c’est autre chose), il faut distinguer liberté métaphysique, liberté juridique, liberté politique. Diderot nie la liberté métaphysique, comme Spinoza ou Hobbes ou les stoïciens - la capacité de faire librement ce que veut librement la volonté - et défend la liberté juridique - sécurité et possession tranquilles sous la protection des lois, sans être forcé de faire ce que la loi n’ordonne pas. Quant

Spinoza TTP 2013. INTRODUCTION GÉNÉRALE. biographie (à vous de faire, on a déjà vu pas mal de choses sur Spinoza). Rappel : 1. le sujet : l’illusion du libre-arbitre (Descartes vs Spinoza) 2. Corrigé rédigé et donné : La liberté n’est-elle qu’une illusion ? 3. Envoi d’un dossier sur L’Appendice du Livre I de L’Éthique. I. LA FINITUDE INHÉRENTE A LA NATURE HUMAINE COMME POINT DE DÉPART. Ontologie (la nature c’est dieu, et tout est en dieu qui est tout y compris l’homme qui