Présomption De Paternité Cas Pratique

l'enfant (filiation adpotive). JuridiquemenT on a 2 types de lienS familiaux : la parenté d'un coté, l'alliance de l'autre. A - La parenté C'est un lien unissant deux personnes qui désendent d'un auteur commun (lien du sang ou lien imité du sanG, en cas de parenté adoptive). Ce lien peut s'étendre sur de nombreuses générations. Il est souvent très étendu : c'est ce qu'on appelle une ligne. On oppose souvent la ligne à la famille foyer, uniquement fondée sur la communauté de vie. La ligne comprend

matérielle. Les concubins sont un couple à part entière (union). SECTION 2: LES EFFETS DU CONCUBINAGE Les concubins sont étrangers et ne sont pas unis par un lien de droit. Ainsi, le concubinage, en soi, ne produit aucun effet sauf dans certains cas. A) Les relations personnelles Le concubinage ne fait naitre aucun des droits et des devoirs des époux présentés aux articles 212 à 226 du code civil. Les concubins ne se doivent ni fidélité, ni secours, ni assistance. Ils ne sont pas unis par un

professionnel -l’adresse -le montant du prix - le modalité du payement - les qualités rechercher (âge, résidence, etc.) - les peines de nullités - La duré du contrat, et sa résiliation (1an) La loi prévoit la résiliation anticipée : (Au cas ou le client à trouver quelqu’un tous seul, ou un déménagement) La loi encadre également la publicité : Doit mentionné les éléments essentiel permettent de montrer le portrait sociologique de la personne.- le nom du professionnel doit apparaître

de travail mais la CCASS a généralisé ce principe pour l'étendre à tout les actes à titre onéreux : contrat de vente, bail,… · il appartient à celui qui invoque la validité de la clause d’en apporter la preuve par tout moyens. Il existe ici une présomption de nullité de la clause de non convole. · Faut-il annuler tout le contrat ou seulement la clause ? Même solution qu’avant. B) l’exception: la validité de la clause La jurisprudence considère qu’une clause de célibat insérée dans un acte a

qu’ils consentent à leur mariage, mais les cérémonies même si elles ne sont pas obligatoires elles sont quand même intéressantes comme preuve du consentement. Pour résoudre cette difficulté, le droit romain utilise le mécanisme de la présomption, lorsque les conjoints sont de même rang social, lorsque rien n’empêche leur union, on considère qu’ils sont d’accord. A quoi les époux ont-ils consentis ? Ils consentent à se traiter réciproquement comme mari et femme « afectus maritalis ».

de paternité légitime a des analyses biologiques. Les époux B vont refuser cette demande. A ce motif le tribunal de première instance va rendre un jugement rendant la reconnaissance prénatale de paternité naturelle de M.D valable. Les époux B interjettent l un appel. En effet l'appel des époux B va conduire à un échec. La cour d'appel va rendre un arrêt le 7 décembre 2006 qui va confirmer le jugement rendu en première instance c'est à dire rendant la reconnaissance prénatale de paternité naturelle

de l’autorité parentale. Compétence territoriale : Article 1070 du CPC : en principe, c’est celui où se trouve la résidence familiale Si résidences distinctes : le juge compétent est celui où réside l’époux avec les enfants mineurs Dans les autres cas, c’est celui où réside l’époux défendeur. Si le litige porte seulement sur la pension alimentaire ; la contribution à l’entretien et l’éducation des enfants, la contribution en charge du mariage ou sur la prestation compensatoire, le JAF compétent est

filiation, dans les cas où l’enfant est né pendant le mariage et l’enfant né hors le mariage, le législateur fera une distinction pour approuver la filiation paternelle. On appel monoparentalité, le fait qu’une personne éduque seul un ou plusieurs enfants. Cette monoparentalité peut avoir plusieurs causes : une personne qui adopte seul un enfant, le divorce des parents, ce qui fait qu’un seul des parents a l’autorité parentale, le décès d’un des parents… Mais aussi dans des cas où un des parents est

stabilité. La loi de 99 : Le concubinage est une union durable, il faut que cela soit stable dans le temps. Qui décide si l’union est assez durable et solide ? C’est le juge, c’est à la jurisprudence qu’il appartient de décider souverainement si c’est le cas (c’est-à-dire que les juges du fond décident sans que la décision soit contrôlée par la cour de cassation, ils font en quelques sortes ce qu’ils veulent sur ce point-là). Par exemple : Des juges peuvent décider qu’un homme qui voit une fois par semaine

l’a profondément remodelé est la reconnaissance de l’enfance comme un âge doté de besoins spécifiques et de l’enfant comme une personne en devenir certes, mais une personne à part entière. Mais comment assurer l’indissolubilité de la filiation en cas de rupture du couple ? Nous sommes là confrontés à une véritable désarticulation possible où le lien de conjugalité devient une menace directe pour le lien de filiation. La ré-institution du lien familial me parait donc être une des tâches majeures