Psychisme

éléments psychiques qui, par manque d'intensité, d'intérêt ou de sens, demeurent en dehors de la sphère de la pensée et de la conscience. C'est avec Freud que l'assimilation de la pensée à la conscience va être radicalement remise en question. Le psychisme ne se réduit plus à la conscience, de sorte que le sujet va perdre, avec son entière transparence à soi, sa souveraineté sur ses idées, ses désirs et ses actes. Selon l'expression de Freud, « le moi n’est pas le maître dans sa propre maison ».

accordons à notre personne n'est peut-être qu'une figure superficielle de notre identité. Admettons que quelque chose d'autre que moi même parle lorsque je dis "je". Cela suppose que le moi conscient ne possède pas totalement le contrôle sur mon psychisme. A quels moments et dans quelles circonstances est-ce possible? Comment pourrais-je, en sachant que ce n'est pas forcément moi qui parle lorsque je dis "je", m'estimer responsable de mes actes comme de mon discours? En réalité la question à se poser

s’intéressant à ce qui est dit à propos des « sectes » en France, A. Esquerre interroge avec finesse les lieux communs qui sévissent habituellement dans le débat, et postule l’essor d’un dispositif de pouvoir étatique ayant pour objet et pour cible le psychisme des individus. Il ressort de son analyse que l’accusation de « manipulation mentale » occulte la complexité et la singularité de la situation visée. Recensé : Arnaud Esquerre, La manipulation mentale. Sociologie des sectes en France, Paris, Fayard

mécanismes physiques et chimiques du système nerveux. Pour autant, le psychisme n’est pas réductible à ces mécanismes : il n’est pas l’équivalent du cerveau. Au XVIIe, DESCARTES a identifié le psychisme à l’âme immatérielle, à la conscience qui est unifiée dans le moi.  Cette identification n’est t- elle pas une illusion ? Qu’est ce que le moi ? La conscience est elle souveraine ? La psychanalyse depuis FREUD considère que le psychisme n’est pas unitaire : il y a du conscient et de l’inconscient. Dès

traumatisme (lettres à Flies : blessure psychique), action postume du trauma. L’infraction du traumatisme va créer une telle action ds le psychisme, il va y avoir la création d’un foyer : foyer clivé déconnecté du reste de l’activité psychique, qui créée une partie du psychisme anachronique et qui va réémerger sous forme de symptomes (ex : hallucinatoire), une partie du psychisme réapparait dans une forme enfantine (forme irréelle par exemple : ds les obsesionnels : il doit réaliser ses rituels pour éviter

dirigeants envers leurs subordonnées. La métaphore de la domination: Une organisation avec une forte présence de dominant par les dirigeants envers leurs subordonnées. La métaphore de la prison du psychisme : Une organisation avec des besoins inconscients de discipline accrue. La métaphore de la prison du psychisme : Une organisation avec des besoins inconscients de discipline accrue. La métaphore du flux et de la transformation : Une organisation tirée en direction du modèle attracteur du profit.

construite pour penser le lien entre l'organisme et le psychisme. Ceci renvoie à la question du lien entre l'âme et le corps. Chaque grand philosophe a pensé le lien entre les deux entités. Quel est la solution de Freud ? « La pulsion est une excitation pour le psychisme en provenance de l'organisme. » Dans la conception de Freud, la pulsion vient de l'organisme et elle excite le psychisme. On pourrait dire qu'il s'agit vraiment de penser le psychisme comme étant enraciné dans l'organisme. Avec la théorie

DF1 : Connaissance de la personne Psychopathologie: Cours N°1 : Normal et Pathologique, Névrose: PSYCHOPATHOLOGIE Du grecque PATHOS → maladie PSYCHÉ → psychisme LOGOS → étude et science C’est donc l’étude des maladies de psychisme. Normal et pathologique: Comment peut le définir ? PATHOLOGIQUE : maladie. Empêche le développement classique Discontinuité NORMAL : plus difficile à définir. Référence à une question de norme, de conformité, c’est une

relativement claire. En 1914, dans « Pour introduire le narcissisme »1, Freud identifie une composante spécifique de l'appareil psychique qui, d'après lui, y représente la société, marquant la présence et l’influence du social au sein même du psychisme. L'argument prend une forme particulièrement originale. L'idée est que pour ce vivant spécial qu’est l'homme, le vouloirvivre, en cela irréductible à un instinct de conservation, couronne plutôt l'estime de soi : pour vouloir continuer à vivre

le concept psychologique de base : le psychisme. Pour Vygotski, ce concept est un instrument isolant et permettant de faire des choix parmis ce qui à trait à la réalité. De plus, il évoque le fait que nous n’avons pas accès à l’entièreté du monde. Nos sens le percoivent que sous forme d’extrait, eux-même tirant des éléments considéré comme les plus importants. C’est alors qu’il utilise la métaphire du tamis pour expliquer la fonction de ce concept de psychisme. C’est ainsi que Vygotski donne à ce