Psychologie positive

La discrimination positive a vécu des temps où on la loua et maintenant beaucoup de politiques s’y opposent. Leurs arguments sont parfois semblables, ci-dessous sont cités quelques arguments avec leurs explications : -un premier argument, celui de la peur que les politiques de discrimination positive renforcent le népotisme et la corruption. Sachant que le népotisme est la tendance de certains dirigeants à favoriser l’ascension de leur famille ou de leur entourage dans la hiérarchie qu’ils dirigent

physique (29%), le handicap et la consonance étrangère du nom patronymique. Toutes les catégories de postes sont touchées, même si les critères de refus diffèrent. La discrimination à l'embauche : les moyens de lutte Mise à part la discrimination positive, qui consiste à recruter des personnes classiquement victimes de discriminations (étrangers, personnes en situation de handicap, seniors...), différents moyens de lutte contre la discrimination ont récemment vu le jour. Citons par exemple le parrainage

constitue aujourd'hui en France une réalité. La discrimination à l'embauche s'apparente à une « maladie honteuse » qui éloigne toujours plus notre pays de ses principes fondateurs que sont la liberté, l'égalité et la fraternité. La discrimination positive et le CV anonyme sauront-ils redonner aux compétences la première place qui lui revient de droit sur le podium des critères de recrutement ? Définition Socialement, la discrimination consiste à distinguer un groupe de personnes des autres et

ainsi tester à l’improviste l’accès au logement, à l’emploi, aux loisirs, aux biens et aux services. Le testing est utilisé particulièrement pour les entreprises, les boites de nuit, les agences immobilières. * Le principe de la discrimination positive : C’est l’inégalité au service de l’égalité. Ses objectifs sont les suivants : * Favoriser l’accès à l’université, à l’emploi… de personnes que le groupe socioculturel national a tendance à l’exclure, * Favoriser une meilleure représentativité

La discrimination positive Etude de l'oeuvre de Gwénaele CALVES, La Discrimination positive, Que sais-je? Edition Presse universitaires de France, Paris, 2004 Créer juridiquement des inégalités pour favoriser, dans les faits, le progrès de l'égalité: tel est le pari des politiques de discrimination positive. A quelles conditions est-elle acceptable? Au nom de quels principes peut-elle se justifier? Que faut-il en attendre? DEFINITION: C'est un principe. Il s'agit d'instituer des inégalités

? 2) Dans quelle mesure les inégalités sont-elles un facteur de croissance économique ? 3) Les inégalités économiques constituent-elles le facteur déterminant des clivages entre les groupes sociaux ? 4) Dans quelle mesure les discriminations positives peuvent-elles réduire les inégalités scolaires ? 5) Peut-on parler de démocratisation des consommations culturelles ? 6) Les inégalités engendrent -elles toujours des mouvements sociaux ? Mobilité sociale 7) Dans quelle mesure la réussite scolaire

plus large possible en droit (réaffirmation de leur droit d'énoncer et de réaliser leurs projets) -​leur donner des moyens concrets pour la réaliser (aides financières, techniques et humaines) -​leur assurer une égalité des chances (discrimination positive) -​leur permettre une libre circulation dans l'espace public et un usage égalitaire des services et opportunités qu'il propose, en rendant l'environnement plus accessible et plus accueillant (espace public, transport, mais aussi école et emploi)

=> multiplication des ghettos dans centres urbains, des bidonvilles qui exclus des population par leur différence de revenus, ou leur religion (johapura, le « petit Pakistan » où que musulmans autour de population hindoue) - discrimination positive : égalité des chances, compensation préférentielle pour intouchables et tribus : => intouchables : places réservées dans représentation public (en 1936) et quotas dans éducation et emplois publics, administration (8,3% des postes en 1943

Les avantages et les limites de la discrimination positive Introduction : C’est aux Etats-Unis qu’est née la procédure juridique des politiques préférentielles à l’égard de certains groupes sociaux, à la fin des années 1960, sous la dénomination de l’affirmative action. Cette politique s’adresse plus précisément aux groupes dont il est admis qu’ils ont fait l’objet de pratiques discriminatoires en raison de leur race, de leur sexe, ou pour d’autres motifs (handicap, préférence sexuelle, etc.).

devenues un outil dans la main des hommes politiques. Le « bricolage statistique » opéré par le gouvernement, pourrait conduire à des interprétations malhabiles des statistiques ethniques et aboutir à des classifications sans conséquences vraiment positives et intéressantes pour lutter contre les discriminations dont sont victimes les membres d’une ethnie. La notion d’ « ethnie » ainsi que l’outillage statistique qui l’accompagne remettent en cause des fondements républicains qui prônent une égalité