Publicité Panzani Barthes

- L'humour Semiologie Page 2 RHETORIQUE DE L'IMAGE ET ANALYSE DE L'IMAGE PUBLICITAIRE jeudi 27 septembre 2012 14:53 Rolland BARTHES est né en 1915. Il a écrit : "Eléments de sémiologie" en 1945 : - Dénotation/connotation - Rapports texte/image - Rhétorique de l'image L'ouvrage qui traite le mieux de la connotation : "Les mythologies" de Rolland Barthes, "Précis de sémiotique général" de Klinkenberg. L'image publicitaire est composée d'une image et d'un texte. Comme enjeux, il y a l'articulation

transmet une information sur les faits, les opinions voir sur les sentiments dont parle le locuteur. Mais d’autre part, il exprime aussi un message sur la relation entre les interlocuteurs. C’est ce que l’on va appeler le charisme, la conviction. Barthes va ainsi dire « Tout message est polysémique », c’est à dire qu’il y a plusieurs sens pour une seule image. Exemple de Watzlowich : un homme demande l’heure à une femme : première hypothèse, il n’a simplement pas l’heure ou alors il cherche à entretenir

message. C’est un texte (au sens large). On s’intéressera aux réseaux de signes. Les messages médiatiques sont des combinaisons de plusieurs signes de différentes natures qui font appel à des codes différents. « Comprendre comment on comprend ». Barthes : la sémiologie va s’intéresser à la facture du sens (comment c’est fait) La cuisine du sens. La sémiologie, comme la sociologie, nous permet d’éclater la ligne entre culture savante et culture de masse. On peut analyser la culture de masse comme

commode, un vocabulaire, une grammaire, un langage qui lui sont propres. Considérons maintenant la notion de rhétorique. Elle peut vous paraître surprenante, car traditionnellement, on associe la rhétorique au langage parlé ou écrit. Mais comme Roland Barthes nous l'a appris dans un article célèbre de la revue Communication n° 4 (1964) dont le titre est justement « Rhétorique de l'image » il y a bien une rhétorique de l'image visuelle. Il démontre dans un premier temps qu'il est possible de décomposer

sémiologie des images, ont pr base la notion de SIGNE ( Signifiant = le mote + Signifié = le concept/référant. BARTHES: “La Rhétorique de l’image” Méthode qui permet de voir ds l’image 2 niveaux de signification, qui correspondent à 2 types de signes: 1) Les signes de DENOTATION ( L’image (signifiant) d’une chose a pr signifié cette chose Ex) L’image de la tomate (Panzani) a pr signifié une tomate 2) Les signes de CONOTATION ( L’image renvoit à un signifié qu’on

composite : message et texte. Le visuel doit répondre à différentes fonctions (référentielle impressive) - Le contenu sémiotique:Théorie générale des signes et leurs articulations dans la pensée. Roland Barthes, fondateur et théoricien a définit la sémiotique visuelle à partir de la publicité Panzani qui date de 1964. La sémiotique est la rhétorique de l'image. Il met en valeur 3 signifiants : Plastiques : couleurs, lumières, formes Iconiques:icônes qui entretient un rapport d'analogie

désigne une voiture, alors que le second renvoie à un livre). L’articulation du sens dénoté et du sens connoté joue un rôle fondamental dans le discours publicitaire, comme l’a bien compris Roland Barthes. Dans un bref article intitulé « Le message publicitaire » (paru dans Les Cahiers de la publicité en juillet 1963), le sémiologue français affirme qu’un slogan publicitaire comporte toujours deux messages. Le premier « est constitué par la phrase saisie (s’il était possible) dans sa littéralité

monèmes. - Barthes s’appuie sur les travaux de Saussure. Pour lui n’importe quoi peut être un signifiant (comme une couleur) et avoir plusieurs signifiés. Ex : Panzani. C’est une marque, le signifiant est l’italianité. Et « ani » est un signifiant avec des couleurs. Le béhaviourisme récupérateur (redondance…). Ex : Louis Vuitton. On s’appuie sur des connaissances culturelles de la cible. Quelque chose qui nous paraît familier (quand on a entendu un slogan par exemple). Barthes parle aussi

fabrication - Savoir non nobleSoniaEvidenziatoSoniaEvidenziatoSoniaSottolineatoSoniaEvidenziatoSoniaSottolineato159 accèdent au plan symbolique des représentations et des valeurs, ce qui relève justement du domaine de la culture. C’est peut-être Roland Barthes qui, le premier, a expliqué ce processus de sémantisation qui affecte les objets de consommation dans nos sociétés ; Robert Galisson a, quant à lui, montré l’intérêt de cette « culture courante », « expérientielle » (puisque son appren- tissage

étude sont des sujets abordés par plusieurs disciplines, principalement les neurosciences, mais aussi la psychologie cognitive (ou science cognitive), et toutes les philosophies ayant trait à la perception. Le signe pourrait être rapporté selon Barthes au terme image proche de « imitari », imiter au sens étymologique. Mais pour lui, même si l’image est une limite du sens, elle doit être déchiffrée en référence à cette notion de sens. Il y a de la vérité, de la raison mais aussi de l’inconscient