Puis Je Desobeir Est Etre Juste

la seconde le perfectionnement personnel. Mais l’idée de perfection n’est pas uniforme. Pour certains ce sera un monde uni quand pour d’autres ce sera un monde peuplé d’une seule catégorie d’individus. De ce fait alors qu’une loi pourra être considérée comme juste (soit « légale et légitime » comme l‘exprime Rousseau), l’autre la considérera injuste et contraire à son idéal. Dès lors que faire lorsque l’on se retrouve dans cette dernière situation? Puisqu’il y a loi il y a société qui l‘édicte.

en promulguant  une loi qui exhorterait  à désobéir ? Une telle  loi  devrait  s’excepter de la  prescription  qu’elle  formule.  D’autre  part,  on  peut  sérieusement  se  demander  si  la  désobéissance  peut  bénéficier  d’une  caution  sociale,  voire  politique.  Afin  d’aller  plus  loin   dans  ce  questionnement,   nous  diviserons notre réflexion en trois moments bien identifiables.  Dans  un  premier  temps  nous  verrons  si  la  désobéissance  peut  être critiquable  en  tant  qu’elle est 

en rampant dans la boue…, c’est n’être plus libre, du sens où ils ne sont plus libres de leur temps et doivent parfois laisser de côté leurs désirs pour des « banalités ». Etre soldat c’est finalement en s’éloignant loin de ses proches sacrifier du temps de sa vie et donc obéir à un ordre de vie déterminé. Avoir obéi à un être horrible comme avoir été sous les ordres d’Hitler et suivre son idéologie nazie, en faisant déporter des personnes juives, tziganes, opposants au régime entre autre peut laisser

la loi ne doit pas être appliquée mécaniquement en imposant les mêmes droits et les mêmes devoirs. C'est pourquoi la justice véritable suppose aussi ce qu'Aristote nomme l'équité. En deuxième partie, Aristote insiste sur cette équité, qui implique que la loi s'adapte aux cas particuliers. Son argumentation débute par un énoncé clair de ses idées. Les connecteurs logiques ne feront qu'approuver sa thèse. Il se base sur des concepts philosophiques tels que l'équitable, le juste, le particulier, le

justifiée, et, sinon, à quel moment il convient d’aller à l’encontre de cette autorité ? Nous tenterons de répondre à ces questions en montrant les raisons pour lesquelles nous nous soumettons à l’autorité, puis nous verrons les raisons et les situations pour lesquelles il semble bon de désobéir. Partie 1 : POUrquoi se soumet-on a l’autorite ? Dans la société actuelle, on dénombre bon nombre de sujet, d’acteur, ou d’agent qui sont soumis à une autorité supérieur. Alors nous sommes en droit de nous

éclatant, dont l’enjeu est le plus considérable et les conséquences les plus lourdes pour les personnages ? 4) Lecture des textes et repérages Doc A Affrontement ? Antigone a désobéi à Créon en donnant une sépulture à son frère. Enjeu ? Pour Antigone, être exécutée, condamnée à mort ou désobéir aux dieux en n’enterrant pas son frère / pour Créon, de conserver son autorité et son pouvoir. enjeu politique pour Créon, morale et religieux pour Antigone. Intense ? - impératif religieux

de changement de Thoreau, légitimant le droit désobéir à la loi si celle ci paraît injuste. Ce concept de « désobéissance civile » nous amène donc à nous questionner sur la loi, mais aussi sur ses limites. Ainsi, on pourrait se demander si passer au-delà des lois au nom de nos principes est réellement légitime, et si comme le défend Thoreau notre moralité se doit-être placé au dessus d’une autorité commune. Cette désobéissance pourrait être justifié par les failles des lois, notamment le

« Mais nul n’a le droit de désobéir aux lois de son pays ! » http://www.irenees.net/fr/fiches/experience/fiche-experience-714.html Aujourd’hui, la plupart des pays développés sont en démocratie, mais il y a toujours de la désobéissance civile, alors est-ce que nous pourrions parler d’une sorte de compatibilité entre la démocratie et la désobéissance à la loi ? Nous allons pour cela voir la désobéissance à la loi qui a eu lieu dans le passé, en France, puis dans les pays développés du monde

la nature. De telles lois excluent par définition le problème de l'obéissance car étant nécessaires on ne peut pas y désobéir. Ainsi, en tant que l'homme est une partie de la nature il est nécessairement soumis à de telles lois. Comme toutes choses physiques il est nécessairement soumis à la pesanteur et tombe quand rien ne le soutien. De même-, comme tout être vivant c'est un être mortel soumis au besoin et il serait vain de vouloir y déroger. Néanmoins il n'y est pas soumis tout à fait de la même

Un homme libre peut-il obéir ? La liberté, le plus simplement possible peut-être définie par l’absence de chaînes. Un esclave par exemple est un homme qui n’est pas libre. L’homme libre ne peut être soumis, c’est celui qui fait ce qu’il veut, qui ne souffre d’aucune contrainte. L’obéissance quand à elle semble rentrer en totale opposition avec l’idée de liberté. L’homme obéissant peut sentir le poids des chaines peser sur lui. Obéissance et liberté ne semblent pas compatibles. Tout semble