Pyélonéphrite aiguë

paroi thoracique en dehors. DYSPNÉE : difficulté respiratoire. On distingue deux types de dyspnées : la difficulté à inspirer de l'air, ou dyspnée inspiratoire, et la difficulté à expirer de l'air, ou dyspnée expiratoire. PLEURÉSIE : inflammation aiguë ou chronique de la plèvre, avec ou sans épanchement. Une pleurésie sans épanchement est appelée « pleurésie sèche » ou « pleurite ». ANTIBIOTHÉRAPIE : traitement par antibiotique. Les indications à l'antibiothérapie sont les infections bactériennes

l 'AVC ischémique, majoré par l'administration d'un fort fluidifiant pour dissoudre le caillot. Importance de noter l'heure. IDM : Infarctus du Myocarde Nécrose ischémique d'une partie du myocarde. Nécrose myocardique en rapport avec une hypoxie aiguë majeure liée à une obstruction d'une ou plusieurs artères coronaires. Il s'agit d'une urgence médicale. Signes : Douleur thoracique rétrosternale (médiane, antérieure), brutale, constrictive, irradiant dans le bras gauche et la mâchoire, prolongée

alimentation, elle a un régime normal. Elle n’a plus de dents (ellen’a pas de dentier), elle parvient quand même à manger normalement, sauf la viandequi doit être moulinés. Elle boit de l’eau « Contrex » depuis ses 22 ans pour desantécédents de pyélonéphrite 3 (aide élimination). Elle est autonome dans la prise desrepas.Au niveau hygiène, elle bénéficie d’une aide partielle à la toilette pour le dos et latoilette intime. Elle est continente.Madame est très douloureuse au niveau de ses jambes où se

| H, Z, R | Arrêter les antituberculeux | Confusion | La plupart desantituberculeux | Arrêter les antituberculeux | Troubles visuels | E | Arrêter l’ethambutol | fièvre isolée,syndrome pseudogrippal, thrombopénie,purpura, insuffisancerénale aigue, choc | R | Arrêter la rifampicine | Insuffisance rénale | S | Arrêter la streptomycine | Mineurs | Poursuivre l’administration des antituberculeux,vérifier leur posologie | Anorexie, nausées,douleurs abdominales | Z, R, H | Traitement symptomatique

douleur aigue doit faire rechercher la cause et la traiter. Cas clinique • L’interne de garde décide de traiter cette douleur. • Quelles seront les étapes préparatoires à sa décision thérapeutique? Cas clinique • L’interne de garde décide de traiter cette douleur. • Quelles seront les étapes préparatoires à sa décision thérapeutique? – Quel type de douleur ? • Aigue ou chronique • Par excès de nociception ou neurogène • Part du spasme ? Part de l’inflammation ? Douleur aiguë / chronique

coli entérohémorragique[7] (provoquant la maladie du hamburger) a été séquencé. Il comprend 5,5 millions de paires de bases codant 5 400 protéines. L'année suivante, le génome d'une souche d'E. coli provoquant des infections urinaires (cystite, pyélonéphrite) et des méningites néonatales, a été séquencé. Il comprend 5,2 millions de paires de bases codant 5 300 protéines. La comparaison des génomes de ces trois souches d’E. coli révèle que seulement 40 % de leurs gènes sont communs — à titre de comparaison

- une carence en vitamine D traitée par Uvedose (ampoule) - une dermite traitée par Dexeryl (crème) et Ketoderm (shampoing le lundi) - une démence probablement mixte - un éthylisme chronique - une hypertrophie bénigne de la prostate - une pyélonéphrite (2008) Dans ses antécédents chirurgicaux, on retrouve une amputation des deux membres inférieurs. Évènements significatifs : Mr G. a une tendance à l’inversion du rythme nycthéméral. De ce fait, il dort peu la nuit et toute la matinée il présente

prostatite (infection de la prostate). La pyélonéphrite. La pyélonéphrite est une affection plus grave. Elle désigne l’inflammation du bassinet (la cavité du rein collectant les urines) et du rein lui-même. Celle-ci résulte généralement d’une infection bactérienne. Il peut s’agir d’une complication d’une cystite non traitée ou mal traitée qui conduit à la remontée des bactéries de la vessie vers les reins, et à leur prolifération à ce niveau. La pyélonéphrite aiguë survient plus souvent chez la femme,

quantité d’urine émise pollakiurie émission fréquente de petite quantité d’urine dysurie miction difficile hématurie présence de sang dans les urines (hématies) clairance (clearance) efficacité du travail d’épuration des reins néphrite, pyélonéphrite, pyélite, urétéropyélonéphrite, urétérite, cystite, urétrocystite, urétrite etc … néphroplastie redonne au rein sa forme normale urétroplastie rétablissement de l’urètre à l’aide de lambeaux cutanés urétéroplastie restauration des uretères

Héparinisation I.V. "classique" 2) Héparinisation loco régionale 3) Héparinisation de bas poids moléculaire 4) Anticoagulation régionale au citrate 5) Rinçage au L.P. 2) Durée et fréquence des séances 1) Dialyse aiguë 2) Dialyse chronique 3) Dialyse courte à haute efficience 3) L'ultrafiltration 1) En dialyse aiguë (PIC instable) 2) En dialyse chronique (PIC stable) 3) Modulation de l'UF en séance * L'ultrafiltration "sèche" * Les contrôleurs d'ultrafiltration * Modélisation statique de l'ultrafiltration * Modélisation