Qu Est Ce Qui Vous Indigne

Non : mon coeur à présent vous déteste, et ce refus lui seul fait plus que tout le reste. Puisque vous n'êtes point, en des liens si doux, pour trouver tout en moi, comme moi tout en vous, allez, je vous refuse, et ce sensible outrage de vos indignes fers pour jamais me dégage. Extrait de l’acte V, scène 4

Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ? Comte, sois de mon prince à présent gouverneur ; Ce haut rang n'admet point un homme sans honneur ; Et ton jaloux orgueil par cet affront insigne Malgré le choix du roi, m'en a su rendre indigne. Et toi, de mes exploits glorieux instrument, Mais d'un corps tout de glace inutile ornement, Fer, jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense, M'as servi de parade, et non pas de défense, Va, quitte désormais le derniers des humains

sous le sac de cendre qui me couvre, La voix qui dit; malheur! La bouche qui dit: non! Tandis que tes valets te montreront ton Louvre, Moi, je te montrerai, César, ton cabanon. Devant les trahisons et les têtes coupées Je croiserai les bras, indigné, mais serein. Sombre fidélité pour les choses tombées, Sois ma force et ma joie et mon pilier d’airain! Oui, tant qu’il sera là, qu’on cède ou qu’on persiste, O France! France aimée et qu’on pleure toujours Je ne reverrai pas ta terre douce

comme le plus important des auteurs romantiques de la langue française. Il inventa Ruy Blas, un drame romantique écrit en 1838, où il parle de la société espagnole au XVIIème siècle. Dans cette scène, Ruy Blas en tant que premier ministre s'adresse, indigné, aux conseillers d'Espagne. A travers cette tirade, il fait le bilan des problèmes du pays tout en montrant son mécontentement. On remarque dès le début de la scène que Ruy Blas éprouve un sentiment d'exaspération, il montre tout d'abord sa colère

s'obstinait mon cœur » v.16. Le mot « cœur » revient lui-même trois fois, entraînant le langage de la passion amoureuse («brûlent», v.35 ; « personne aimée», v.43 ; «amour», v.40). Elmire est « souveraine » (v.14), il n’est devant elle qu’un « esclave indigne » (v.22), qui s’en remet à ses « bontés » (v. 23), il apparaît donc comme un être soumis, comme il serait soumis à la volonté de Dieu. De plus, cet échange qu’établit le discours amoureux entre l’amant soumis et la beauté convoitée se poursuit tout

qu'il ne pouvait le guérir et qu'il deviendrait borgne. Mais peu de temps après, Zadig retrouva l'usage de son œil et voulut l'annoncer à Sémire. Cependant, celle-ci ayant en horreur les borgnes, s'était mariée dans la nuit avec Orcan. Attristé et indigné, Zadig choisit d'en épouser une autre : Azora. Ils vécurent alors dans la douceur, malgré le fait que Zadig ait découvert chez elle des côtés qu'il n'appréciait guère. II - CHAPITRE II, le nez. Azora qui rentrait d'une promenade, était horripilée

œuvre l’histoire abrégée de Jean Calas, un vieillard protestant qui aurait tué et pendu son fils converti au catholicisme. Voltaire s’est impliqué personnellement dans cette histoire afin d’obtenir la réhabilitation d’un innocent condamné à la roue. Indigné par la mort de cet homme, Voltaire décide de prouver son innocence dans un chapitre de son Traité sur la tolérance. Quels sont les procédés argumentatifs utilisés par Voltaire afin de disculper Jean Calas ? De quelle manière Voltaire a-t-il utilisé

inconsciente du désir. Par conséquent, l’âme ne peut pas vraiment intervenir sur la réalisation du désir puisque l’âme ne peut répondre que de ce qui est conscient. On peut penser que le désir nous lierait au corps et orienterait notre âme vers des intérêts indignes d’elle. L’âme, étymologiquement, est le souffle qui anime quelque chose, au point de lui donner le pouvoir d’exprimer la pensée, les sentiments, la raison, et de le faire ressembler à un être pensant. L’âme contrôlerait donc le corps, ses actions

de Phèdre est funeste et détruit son existence. 2. Phrases impératives et injonctives a) « Voilà mon cœur : c'est là que ta main doit frapper » (v.38), « Au-devant de ton bras je le sens qui s'avance. » (v.40), « Frappe : ou si tu le crois indigne de tes coups, » (v.41) à Confirme le désir impatient de Phèdre que son destin s'accomplisse. C.B. : Phèdre désir avec impatience que son destin funeste s'accomplisse. C.III. : Phèdre accablée par un destin funeste et destructeur est impatiente

race. Une fois le mari décédé, la présence de la femme au sein de ce monde est superflue. Dans la société indienne, les femmes étaient considérées indignes et possédaient le même statut que les esclaves. Utilisée comme un objet par les hommes, elles n’étaient même pas maîtres d’elles-mêmes. Dans les textes hindous, on peut lire que les femmes sont indignes et ne sont pas faites pour être libres. Elles sont dépendantes des hommes (père, mari, fils). Selon les textes sacrés bouddhiques, contenus dans