Quand Galilée Kant

déduire du cogito indéterminée, si le Je peux être conçu par soi, c'est à dire indépendamment de toute chose, le je peut également pour Descartes exister par soi, c'est à dire indépendamment de tout autre attribut, c'est à dire exister par soi. « Quand je réfléchis à ce qu’est le Je, je trouve une pensée que je peux concevoir clairement et distinctement, indépendamment de tous les attributs qui appartiennent à la substance matérielle. » Toute l’essence de la pensée réside dans une substance immatérielle

d’y être sans y être, autrement dit encore le phantasme » (p. 31). La culture du mass media permet de satisfaire la curiosité de l’homme, d’apporter une dose quotidienne d’évènements et de violences. Ainsi le quotidien semble tranquille et apaisant quand le reste du monde va mal. La quiétude quotidienne doit apparaître comme un bien précieux sans cesse menacée, d’où la nécessité d’utiliser la dramatisation dans les medias. Les conséquences de l’abondance pour le cadre de vie de l’homme se manifestent

Descartes, ou de cogito husserlien, après lui. Sommaire [masquer] 1 Le cogito cartésien 1.1 Origine 1.2 Dans la philosophie de Descartes 1.3 Portée 2 Postérité 2.1 Un principe à inscrire dans son contexte 2.2 Une métaphysique oubliée ? 2.3 Kant 2.4 Auguste Comte 2.5 Nietzsche, structuralistes 2.6 Husserl 3 Cogito ergo sum et concepts philosophiques 3.1 Concepts philosophiques apparentés 3.2 Le sujet 3.3 Cause première et causalité 3.4 Cause finale 3.5 Cogito et substance 4 Citations

complaisent parfois dans l'illusion ou l'errreur. Ils n'ont, ainsi pas à affronter la réalité, les autres, le monde. En effet, les Hommes ont subi trois grandes humiliations aus cours desquelles ils ont refusé de s'avouer la vérité par orgueil : celle de Galilée, celle de Darwin et celle de Freud. La première a démontré que la terre n'est pas «le centre fixe de l'Univers». Les hommes ont refusé de le reconnaître car c'était toute leur vision du monde qui en était boulversée, désavouée; ils préferaient garder

| |[4] Hobbes, Locke, Voltaire, Rousseau... | |[5] Platon (le mythe d'Er), Descartes (la liberté d'indifférence), Kant (le caractère intelligible), Sartre (l'existence qui précède | |l'essence)... | |[6] Aristote, Epicure, Epictète

d'abord étudiés, puis dans un deuxième temps nous allons étudiés la connaissance humaine ( la connaissance humaine est-elle fondée sur l'expérience ou la raison?), pour finir avec le troisième et dernier temps la conclusion fait à partir de la thése de kant. L’expérience apparaît avant tout comme un des fondements de la connaissance humaine. L’homme a pu commencer à s’instruire en observant la nature. Grâce à ces observations, à la description de ce qu’il perçoit par les sens, l’homme a accru ses

rechercher la sagesse ou à l’exercer si on l’a. II) L’usage de la raison ARISTOTE (grec) et DESCARTES (français du 17ème) · Un des plus grands savants très intéressé par les sciences de la vie · Descartes disciple de Galilée · Quelque chose qui relève de l’exercice de notre esprit une faculté (pouvoir que l’on possède et que l’on peut développer) · Puissance ≠ acte Raison : faculté de réfléchir sur les choses, pour les comprendre, les expliquer et agir sur elles et

les évolutions et erreurs de la science contredisent la permanence et l’universalité de la vérité scientifique et donc son statut de vérité absolue. Même les grands savants ne sont pas à l’abri de ces erreurs. On pensera par exemple à l’erreur de Galilée dans son explication des marées. En effet, il suppose que les points de la sphère terrestre sont animés de vitesses variables et il combine les vitesses de rotation et de translation terrestres. Ces différences de vitesse engendrent des accélérations

et qui est appelé aussi « le principe d’économie ou de parcimonie ». C’est ce qu’on appelle aujourd’hui « le rasoir d’Ockham » : il n’est nul besoin de chercher une explication compliquée, faisant appel à des principes hors du champ de l'expérience quand une explication simple, à partir de ce que nous connaissons, suffit à rendre compte d'un phénomène. Ockham a été célébré par des philosophes et logiciens modernes comme Bertrand Russel ou Ludwig Wittgenstein. En effet, c’est un principe de base de

fatalisme et à toute doctrine qui soutient la thèse de la nécessité du devenir. Le concept de liberté divise très schématiquement les philosophes en deux camps : ceux qui en font le fondement de l'action et de la morale humaines (Épicure, Descartes, Kant), et ceux qui nient une quelconque transcendance de la volonté par rapport à des déterminismes tels que la sensibilité (Démocrite, Spinoza, Nietzsche) : « Il existait deux opinions sur lesquelles se partageaient les anciens philosophes, les