Quand Galilée Kant

(philosophie de l'histoire) : | | |II- N'est-ce pas pour nous que l'histoire a un sens ? | | |A- Kant : Idée d'une histoire universelle au point de vue cosmopolitique : le sens de | | |l'histoire est seulement un besoin de la réflexion. |

scientifiques, l'église le pensaient. Mais au XVIIème siècle, Galilée, reprenant les travaux de Copernic, défend et prouve la thèse de l'héliocentrisme. Un autre exemple est celui de Pasteur. Lorsque ce dernier découvre le vaccin contre la rage dans les années 1800, il fut unanimement qualifié de charlatan, d'imposteur... Aujourd'hui le nom de Pasteur évoque celui d'un scientifique, et ses travaux de recherche ne sont plus contestés. Kant explique que beaucoup de gens s'estimant incapables de penser

a un sens. C'est le philosophe qui retranscrit ce sens à travers l'histoire philosophique.A- les différentes manière d'écrire l' histoire.B- histoire philosophique (philosophie de l'histoire) :II- N'est-ce pas pour nous que l'histoire a un sens ?A- Kant : Idée d'une histoire universelle au point de vue cosmopolitique : le sens de l'histoire est seulement un besoin de la réflexion.B-Analyse du statut du fait historique.Conclusion |   Introduction-Deux sens du mot histoire : 1) désigne le passé

procède ainsi, elle part trop loin dans son questionnement et va jusqu’à dépasser l’expérience elle-même en raison des propositions fondamentales (qui sont découvert par induction et dans l’expérience). Cela parait donc contradictoire et cela amène Kant à dire que les dogmatiques en cherchant à comprendre le réel par les questions que celui-ci nous impose, mais ne cherchent pas à savoir de quelle manière la raison permet cette connaissance. Une autre raison est que la métaphysique n’est

eux semble donc à première vue être illogique. Néanmoins, les faits ne sont-ils pas sujet à l’interprétation ? Aristote appelait interprétation tout discours qui dit « quelque chose de quelque chose », l’opposition des observations de la lune par Galilée et Thomas Harriot au 17ème siècle montrent bien la différence possible entre l’interprétation des faits et les faits eux-mêmes. Les faits ne peuvent-ils donc pas être l’objet d’une discussion ? Cela peut être dangereux. Vouloir discuter les faits

affaire à des grandeurs définit mathématiquement. Par ailleurs, quand on fait des expériences, on mesure des grandeurs. Les instruments souffrent d'un certain degré d'imprécision Quand on passe de Aristote a Galilée, on passe d'une physique de lettre a une physique de quantité. La physique d’Aristote est ENTOLOGIQUE. On cherche a comprendre les êtres ailleurs Aristote définit la physique comme la science de l'être. Quand on passe a Galilée le questionnement anthologique est quelque peu escamoté; ceci

seule cause de mes choix ou bien est-elle influencer par des motifs qui la conditionnent ? A quoi s'oppose l'autonomie ? L'hétéronomie c'est subir la lois d'un autre, se soumettre a un commandement extérieur. Ces concepts sont introduit par Kant dans Qu'est ce que les lumières ? Avant la révolution l'homme est hétéronome et après la révolution l'homme est autonome. Hétéronomie consiste à payer, croire et obéir. L'homme est responsable de sa propre soumission. Les Lumières sont la sortie

Nicolas de Cues poursuit avec l’idée d’un univers infini…Et puis arrivent des gens comme Kepler et surtout Galilée , et la lunette astronomique. Galilée, très croyant, appuyé par certains cardinaux sincèrement motivés , un peu « fleur au fusil » selon moi, confirme et diffuse les idées de Copernic…l’héliocentrisme… Mais on sait que ça tourne mal et en 1633 a lieu un procès d’inquisition…Galilée abjure et est seulement assigné à résidence ….il faut dire que ca ne rigole pas à cette époque et qu’un

temps est inséparable du mouvement. Le temps c’est le changement ou on dit le temps c’est le devenir, on remplace le temps par autre chose que lui-même. 2 pièges à éviter : - le piège du philosophe qui dit que la question du temps a été résolue par Kant ou Heidegger - le piège du physicien qui dit que la question du temps est épuisée par le fait que le point est mathématisé. Pour lui, le temps c’est la variable t. St Augustin, Pascal : il n’existe pas de définition du temps, autrement que par des

continuité. Quand fait ça, on prend un risque. Transforme un énoncé qui porte sur un infini et le met en fini. Ds le passage inductif est en jeu le rapport à la vérité de l’énoncé universel. On ne rigole pas avec la certitude. Pas de nécessité logique au processus d’induction. Russell : anti-inductioniste. Histoire de la dinde intelligente. Après toute expé : énoncé universelle : à 19h mo maitre m’apporte ma pâté. Sauf que ce jour là, c’est noël et se fait tuer. Copernic : 1550 Galilée : 1633