Quand Galilée Kant

dans la vérité de mon discours ma sincérité est une certitude subjective. La vérité est relative au sujet. Inversement le mensonge suppose lui aussi une intention mais de dire le faux. « Est illusion le leur qui subsiste même quand on sait que l’objet supposé n’existe pas » KANT- [Anthropologie au point de vue pragmatique.] Erreur => lat. errare : se tromper / une fois expliquée l’erreur peut être évité Illusion => lat. illudere : se jouer de / même expliquer l’illusion demeure. 1. Illusions

objet résiste à notre raison, alors cet objet sera un obstacle à la vérité. Cela peut vouloir dire être au-delà des capacités de notre raison. Par exemple, toutes les questions métaphysiques dépassent les capacités de notre raison. Si on en croit Kant, tous les problèmes métaphysique dépassent les compétences de notre raison car c’est dans le domaine de l’antinomie. Ou alors résister à la raison peut vouloir dire la défier. On appelle cela, l’irrationnel (ce qui défi la raison). L’irrationnel

doctrines philosophiques (Par ex Platon, Descartes et Hegel), les moments relativistes (Héraclite d’Ephèse, les sophistes, Nietzsche et la philosophie post moderne) et les tentatives de trouver un entre deux (la position critique, le criticisme d’Emmanuel Kant, kantien, la rationalité critique chez Marx…) Le dogmatisme: il pose à priori un postulat, une hypothèse, une affirmation non fondée, un « dogme » comme si c’était la vérité. Cette pseudo évidence posée à priori s’institue en critère unique et absolu

Lumières en effet sont un processus, une méthode, une attitude intellectuelle, plutôt qu'une doctrine achevée. Kant, en 1784, écrit: «Les Lumières se définissent comme la sortie de l'homme hors de l'état de minorité, où il se maintient par sa propre faute. La minorité est l'incapacité de se servir de son entendement sans être dirigé par un autre. Elle est due à notre propre faute quand elle résulte non pas d'un manque d'entendement, mais d'un manque de résolution et de courage pour s'en servir sans

voir avec l’exemple cité, la vérité n’est pas absolue puisqu’elle n’est pas une propriété de la chose elle-même. En mathématiques comme en sciences, la vérité est également fluctuante, elle va dépendre de l’état de la recherche à un moment donné et Galilée a bien été obligé d’abjurer sa doctrine devant le tribunal de l’Inquisition ! Si enfin nous analysons le cas particulier du lapsus ou du jeu de mots, nous nous apercevons que nous pouvons par une simple inversion de lettres ou par un mot employé pour

II- L’expérience en elle-même n’est donc pas susceptible de nous instruire réellement 1) Si l’expérience, entendue comme contact immédiat avec le réel, est l’origine de nos connaissances, suffit-elle à rendre compte entièrement de celles-ci ? (Kant, Critique de la raison pure) 2) L’expérimentation scientifique est-elle instructive ? (ib.) 3) L’expérience comme test des théories est une illusion (Duhem, La théorie physique, chapitre 6) Conclusion Conseils supplémentaires Introduction

corollaire, le progrès de l'incrédulité, annoncent déjà l'esprit des Lumières. Sous la forme d'expériences ou de conférences dans les salons, les sciences physiques, naturelles et l'astronomie sont mises à la portée des esprits éclairés. Ce sont Galilée qui en 1604 formula le premier la loi de la chute des corps et Newton avec les Principes mathématiques de la Physique naturelle (1684), que débuta cette révolution scientifique. Ces deux hommes opérèrent une mutation profonde, qui mit en cause

organisation réfléchie de moyens en vue d'une fin. Le désir peut aller sans ou contre la volonté (un désir, par exemple, que je sais interdit et que je ne veux pas réaliser); la volonté peut aller sans le désir (la volonté d'ingurgiter un médicament quand, pourtant, je ne le désire pas). Finalement, on peut dire que vouloir, c'est désirer au point d'agir effectivement pour atteindre ce qu'on désire. Ce qu'on veut, c'est toujours ce qu'on fait, de même que ce qu'on fait, c'est toujours ce qu'on veut

et qui est source d’instruction est la Raison. En effet, la preuve même que l’expérience n’instruit pas l’homme est que la plupart des théories scientifiques ont été inventées par des hypothèses rationnelles contraires à l’expérience directe : quand Galilée affirme que la Terre tourne autour du soleil, il s’oppose à l’expérience immédiate, c’est pourquoi personne ne l’a pris au sérieux à son époque. De même que Le Verrier démontrer l’existence d’une nouvelle planète mathématiquement. Ce n’est que

dans la philosophie ? “ Cette question n’a jamais cessé de travailler la philosophie, nuance Gérard Bailhache*, professeur de philosophie à l’ISTR de Marseille. Elle a semblé absente parce qu’elle n’était plus traitée sous l’angle métaphysique depuis Kant. Mais elle s’est enracinée dans une approche plus centrée sur l’histoire et la culture. Dans cette perspective, la notion de Dieu est prise comme une donnée culturelle qui, parce qu’elle a produit du sens et façonné des manières de penser durant vingt-cinq