Quand Nous Habitions Tous Ensemble

Quand nous habitions tous ensemble Sur nos collines d'autrefois, Où l'eau court, où le buisson tremble, Dans la maison qui touche aux bois, Elle avait dix ans, et moi trente; J'étais pour elle l'univers. Oh! comme l'herbe est odorante Sous les arbres profonds et verts! Elle faisait mon sort prospère, Mon travail léger, mon ciel bleu. Lorsqu'elle me disait : Mon père, Tout mon coeur s'écriait : Mon Dieu! A travers mes songes sans nombre, J'écoutais son parler joyeux, Et mon front

Qu’est-ce que la poésie ? Comparaison de deux textes sur le même sujet : un texte documentaire et un texte poétique. 2. Qu’est-ce qu’un poète ? Dites donc un poète à quoi ça sert ? , A. Bosquet Le Lombric, J. Roubaud Un art poétique, R. Queneau +Un ensemble de poèmes sur l’art poétique ou le métier de poète. +document sur V. Hugo, P. Verlaine, Apollinaire 3. Les formes poétiques Calligrammes, Apollinaire + divers poèmes de formes différentes 4. Le langage poétique -> images et musique des mots

| Matière : Français Durée : 2 heures | Devoir de contrôle n° 3 | Niveau: 4ème Lettres | Quand nous habitions tous ensemble Sur nos collines d’autrefois, Où l’eau court, où le buisson tremble, Dans la maison qui touche aux bois, Elle avait dix ans, et moi trente ; J’étais pour elle l’univers. Oh ! Comme l’herbe est odorante Sous les arbres profonds et verts ! Elle faisait mon sort prospère, Mon travail léger, mon ciel bleu. Lorsqu’elle me disait : Mon père, Tout

« l’âme a souffert ma souffrance » et en V « éprouvais » « l’avez vous éprouvé »Ces alitérations renforce les sentiments de désespoir du poète. On voit que Léopoldine est désignée par des pronoms et non pas par son prénom, Victor Hugo s’adresse ainsi à tous les parents qui sont en deuil. Le poète évoque la mort par l’expression « chose horrible » « c’est malheurs sans noms » « morte » les sonorités en R insiste sur la douleur. Victor Hugo veut susciter la compassion du lecteur.On observe le champ lexical

Quand nous habitions tous ensemble Sur nos collines d'autrefois, Où l'eau court, où le buisson tremble, Dans la maison qui touche aux bois, Elle avait dix ans, et moi trente ; J'étais pour elle l'univers. Oh! comme l'herbe est odorante Sous les arbres profonds et verts ! Elle faisait mon sort prospère, Mon travail léger, mon ciel bleu. Lorsqu'elle me disait: Mon père, Tout mon coeur s'écriait : Mon Dieu ! À travers mes songes sans nombre, J'écoutais son parler joyeux, Et mon front

arrêté dans l'extase. La Terrasse, près Enghien, juin 1842. Oh ! je fus comme fou Victor Hugo (1802-1885) Recueil : Les Contemplations livre IV *** Oh ! je fus comme fou dans le premier moment, Hélas ! et je pleurai trois jours amèrement. Vous tous à qui Dieu prit votre chère espérance, Pères, mères, dont l'âme a souffert ma souffrance, Tout ce que j'éprouvais, l'avez-vous éprouvé ? Je voulais me briser le front sur le pavé ; Puis je me révoltais, et, par moments, terrible, Je fixais mes regards

Avec mes grands-parents et moi Arthur,nous avions décidé de partir en Allemagne,nous habitions dans le centre-ville de Rennes. La veille du départ,nous préparions nos valises,ma grand-mère avait une grande valise rectangle de couleur rouge qui était supportée par des roulettes et qui se fermait par un cadenas. Moi j'avais la même valise mais en plus petite,et de couleur marron. Je mettais dans celle-ci trois pantalons,cinq t-shirts et trois pulls et mais affaires de toilettes. Le jour du départ il

septembre 2002 c’est le dernier jour ou j’ai vu mon père et ma mère ensemble, mon père me tenait la main droite et ma mère la main gauche je croit, nous sommes entrer dans cette salle qui était pour moi inconnu car nous avions changer de ville cette année là nous habitions un petit village a coter de bordeaux, je ne me sentais pas chez moi mais il fallait faire avec. Mon père avait décider de prendre un petit appartement mais il a quand même garder notre chien qui était la depuis ma naissance, et ma

nous aimions passer un peu de temps ensemble, nos discussions restaient principalement centrées sur mes résultats scolaires. Quand j’étais plus jeune, mon père me donnait toujours l’impression de ne pas être le garçon qu‘il désirait avoir. J’ai toujours été pleurnichard, peu manuel et surtout beaucoup plus attiré par les jeux de ma sœur que par les voitures qu’il s’obstinait à m’offrir. Avec le temps, il ne se donna même plus la peine de me demander de l’aide quand il bricolait où faisait du jardinage

apercevons dans ce texte de nombreuses belles paroles destinés à une femme qui paraît, d'après Musset, magnifique. Dans un second temps, il m'a semblé judicieux d'évoquer le thème du souvenir par rapport à la fuite du temps. En effet, nous avons tous quelques souvenirs en mémoires, quelques souvenirs auxquels nous pouvons se raccrocher. Comme dit George Sand « Le souvenir est le parfum de l'âme », c'est essentiel. Nous pouvons remarquer que le thème du souvenir est notamment évoqué dans le titre