Quand On Veut On Peut

dans la rue s’il est libre, il nous répondra « Oui, bien entendu. » peu importe le passant que l’on prend. Maintenant si on lui demande de définir la liberté le plus simplement possible, la majorité répondra « La liberté c’est faire ce que je veux quand je le veux. » Toutefois ces passants font-ils tout ce qu’ils veulent simplement parce qu’ils en ont envie ? Non, alors qu’ils sont bels et bien libres. Prenons un enfant, la liberté est quelque chose de subjectif pour lui. Il n’a pas forcément conscience

est aujourd’hui. Elle découvrira qu’elle peut aller au-delà des idées construites par les gens autour d’elle par la littérature et se détachera peu à peu du cercle familial. Alors, elle s’interrogera sur ses croyances religieuses et s’épanouira dans des rencontres amicales. Premièrement, la littérature joue un rôle important dans la vie de Simone. Quand elle était enfant cela lui servait d’échappatoire, elle s’enfuyait dans le monde de l’imaginaire quand elle ouvrait un livre. Elle adorait la lecture

honte, que la certitude de n’être plus aimée de vous, comme je le suis, me paraît un si horrible malheur, que, quand je n’aurais point des raisons de devoir insurmontables, je doute si je pourrais me résoudre à m’exposer à ce malheur. Je sais que vous êtes libre, que je le suis, et que les choses sont d’une sorte que le public n’aurait peut-être pas sujet de vous blâmer, ni moi non plus, quand nous nous engagerions ensemble pour jamais. Mais les hommes conservent-ils de la passion dans ces engagements

deux personnages principaux : * Première rencontre - Quand ? Dans le début du livre, Balthazar Balsan vient à Bruxelles pour une rencontre dédicace parce qu’il a écrit un nouveau roman, Silence de la Paine. Et, quand Odette entre, elle est sûre d’elle mais au moment ou elle est face à l’auteur elle devient timide et n’arrive pas à formuler ce qu’elle a voulu dire. Au même temps Balthazar se sent bien avec tout cette attention et il veut faire l’amour avec l’attache de press. * Deuxième rencontre

Paradigme : on peut le traduire par « modèle ». Cela vient de Mr Kunw qui sur le tard est devenu un historien des sciences voir un philosophe, il a proposé ce concept dans «De la Structure des Révolutions scientifiques ». Quand on veut un recul, un esprit critique il faut avoir réfléchis à l’importance des mots. Notre vocabulaire n’est pas neutre, ça façonne notre façon de voir le monde. Il s’est dit que dans le domaine de la recherche scientifique le premier domaine était les sciences de la nature

parfaite avec les plus illustres chefs-d’œuvres du ciseau grec ( p.338), elle n’est pas contente, car elle se sent comme […] une statue de la Liberté ( p.338). Cette scène révèle que Marie ne veut rien laisser au hasard en ce qui concerne son apparence et qu’elle est une femme très coquette qui sait ce qu’elle veut. Sa beauté attire les hommes, notamment le marquis qui la trouve si belle ( p. 194) et ravissante (p.212) à tel point qu’elle la conseille de ne pas […]essayer d’ endoctriner [les] messieurs

relation au marquis. Il y a beaucoup de chose m’impressionne dans cette oeuvre, surtout les couleurs dans le titre et des déscriptions de paysage. Je vais chercher à comprendre pourquoi l’auteur choisit les deux couleur comme titre et qu’est-qu’il veut exprimer en décrivant des paysages. Le titre de cette œuvre est particulier, l’auteur choisit deux couleur, le noir et le rouge, comme titre. On remarque ce problème et le discute depuis longtemps. On dit que le rouge et le noir présentent l’enthousiasm

fondement ou la raison première de la justice. Mais qu'est-ce que la justice ? C'est l'obligation de rendre à chacun ce qui lui appartient. Mais qu'est-ce qui appartient à l'un plutôt qu'à l'autre dans un état de choses où tout serait à tous, et où peut-être l'idée distincte d'obligation n'existerait pas, encore ? Et que devrait aux autres celui qui leur permettrait tout, et ne leur demanderait rien ? C'est ici que le philosophe commence à sentir que de toutes les notions de la Morale, celle du droit

La liberté Etre libre, est-ce faire ce que l'on veut ? On pourra, par exemple, partir de l’opinion commune qui dit qu’être libre, c’est faire ce que l’on veut, c’est-à- dire être débarrassé de toute contrainte. Les contradictions auxquelles on aboutit (si chacun suivait ses désirs sans tenir compte d’autrui, alors…) montreront qu’il faut des contraintes pour permettre à chacun de réaliser sa liberté, et la nécessité de l’existence de lois. Comment doivent être établies ces lois pour que

salaire une fois qu'on a déduit d'inflation : niveau de salaire / indice des prix). Les indi ne st pas victime donc de l'illusion monétaire (quand on confond les valeur nominal et les valeur réelle). Et ce qui est determinant pour nos choix sur le marché du travail c'est le salaire réel. a) Effet de substitution / effet de revenu Effet de substitution : quand le salaire augmente, signifie que le cout d'opportunité de loisir aug. Le cout d'opportunité c'est si l'in a le choix entre deux option