Quantitative Easing

banques en difficulté sans passer par le canal des budgets nationaux. Le rachat des titres des pays en difficulté par la BCE sans limitation est la réponse la plus globale (« l’arme nucléaire » selon certains). Cependant l’expérience du « quantitative easing » de la Banque fédérale américaine, qui a pratiqué cette politique à grande échelle, montre ses limites, avec un gonflement de l’actif de la FED qui déséquilibre de plus en plus son bilan. En outre, en cas d’engagement de la BCE à racheter

C. Pourquoi étudier la monnaie et la politique monétaire ? 1. Activité bancaire et création monétaire 1.1 La création monétaire 1.2 Le risque bancaire 1.3 Le rôle de la banque centrale 2. Une brève histoire de la pensée monétaire 2.1 La théorie quantitative 2.2 La doctrine des effets réels (real bills doctrine) 2.3 Wicksell et le taux d’intérêt monétaire 2.4 L’apport keynésien 2.5 La vague monétariste 2.6 La convergence actuelle 3. Les effets réels de la politique monétaire 3.1 Comment démontrer les

pas augmenté après la dégradation de la note souveraine américaine ? Comment les taux longs impactent les banques Les marchés émergents et la sortie de la crise Le programme pour les marchés de titres de la BCE L’assouplissement monétaire ou quantitative easing Les programmes d’ajustement économique dans la zone euro : Grèce, Irlande, Portugal Le livre vert de la Commission européenne sur la faisabilité d’introduire des « obligations de stabilité » (stability bonds) Le débat sur le seuil de la dette

l’étranger. Inconvénient : Le marché ne peut plus s’ajuster et le prix fixé peut s’éloigner trop du prix d’équilibre. En France s’ajoute au tarif conventionné une limitation quantitative : les licences. Elle se revend près de 240 000 euros à Paris et se loue 100 euros par jour aux chauffeurs n’en possédant pas. Cette limitation quantitative profite aux détenteurs de licences et nuit au client : les prix sont élevés (ils doivent compenser le prix de la licence) et il est difficile de trouver un taxi. L’élasticité

pas augmenté après la dégradation de la note souveraine américaine ? Comment les taux longs impactent les banques Les marchés émergents et la sortie de la crise Le programme pour les marchés de titres de la BCE L’assouplissement monétaire ou quantitative easing Les programmes d’ajustement économique dans la zone euro : Grèce, Irlande, Portugal Le livre vert de la Commission européenne sur la faisabilité d’introduire des « obligations de stabilité » (stability bonds) Le débat sur le seuil de la dette

liquidité , la BCE voulait contrôler la progression de M3 => +4,5% par an pour atteindre son objectif d'augmentation des prix car on retrouve l'influence des idées monétaristes de Milton Friedman/ le monétarisme est une version moderne de la Théorie quantitative de la monnaie => l'inflation a d'abord une origine monétaire :a hausse des prix a lieur quand la masse monétaire (quantité de monnaie en circulation) augmente plus vite que la production (Too much money cheasing to few goods) quant il y a plus

VOLCKER : lutter contre inflation. Puis GREENSPAN président de la FED, se souci aussi de la croissance → po monétaire plus souple. Po monétaire a un rôle contre la crise des SP : peur de déflation et méfiance entre les banques : credit crunch. QE = quantitative Easing = politique d’assouplissement monétaire non conventionnelle → FED achète des bons du trésor de l’État, des titres aux banques même pourris → but est de fournir des liquidités au système. Forte consommation : clef de la croissance US permise

have thus far stood between the US and higher bond yields: purchases of Treasuries by the Federal Reserve and reserve accumulation by the Chinese monetary authorities. But now the Fed is phasing out such purchases and is expected to wind up quantitative easing. Meanwhile, the Chinese have sharply reduced their purchases of Treasuries from around 47 per cent of new issuance in 2006 to 20 per cent in 2008 to an estimated 5 per cent last year." On the positive side, The Economist acknowledged on 27

« l’économie politique » d’une mutation de la zone Euro. L’Allemagne, si elle a accepté d’importants assouplissements des règles de la Banque Centrale Européenne maintient l’idée d’un assouplissement temporaire et se refuse à l’équivalent d’un « quantitative easing » (QE) qui pourrait provoquer une forte baisse de l’Euro. On sait que l’inflation est aujourd’hui un peu plus forte en Allemagne, ce qui fournit des arguments au gouvernement pour refuser le principe d’un QE à l’européenne. De plus, le gouvernement

pays occidentaux est molle, on n’est pas certain que 2011 et 2012 vont permettre de maintenir des niveaux de croissance à 2 ou 2,5 points. On n’est pas non plus au sortir d’une guerre. « Chacun défend son bifteck ». Ex : les USA avec le QE2 (Quantitative Easing) en émettant des bons du Trésor pour éviter que les taux d’intérêt remontent. Du côté chinois, souci de ne pas accepter tout de suite une appréciation de la monnaie. Du côté européen, la position n’est pas claire, on ne sait pas qui la défend :