Quantitative Easing

sont faibles (trappe à liquidité). 2. Les Banques centrales ont du innover en mettant en place des mesures non conventionnelles en soutenant le crédit en mettant à disposition des liquidités sur le marché monétaire (credit easing). L’assouplissement quantitatif (quantitative easing) a conduit les Banques centrales à acheter des bons du Trésor et d’autres titres financiers en mettant ainsi de l’argent en circulation et en accroissant les réserves des banques. 3. Risque inflationniste à long terme. TD

reprise au troisième trimestre, avec une amélioration des marchés de l’emploi, de l’immobilier et des actions. 65 taux d’intérêt « exceptionnellement bas » jusqu’à la mi2015 et a lancé un troisième programme d’assouplissement quantitatif ("quantitative easing" ou QE3), à travers l'achat de 40 milliards de dollars par mois de dette immobilière, sans limite de durée. Le but est de faire baisser les taux d’intérêt à long terme. En termes de perspectives, le FMI prévoit une croissance du PIB américain

zone ne s’est pas produit. Afin de faire redémarrer son économie, la Banque centrale américaine n’a eu de cesse, depuis la faillite de Lehman Brothers, de mettre en place des politiques dites non conventionnelles comme les opérations de « Quantitative Easing » (QE). L’évocation, à la fin du mois de mai, d’une réduction possible de son troisième programme d’assouplissement quantitatif a créé une vague de stupeur sur les marchés mondiaux, ces derniers interprétant dès lors ce signal comme un futur

du Dollar US en cinq ans par rapport au panier des quatre devises mondiales considérées). C'est une perte d'un point supplémentaire par rapport à Décembre 2010 (Index à -19%) illustrant la dérive continue du Dollar US depuis le lancement du Quantitative Easing II. Par ailleurs, l'écart se confirme par rapport au Dollar Index traditionnel qui n'indique qu'une baisse de 12% sur la même période. Cet indice, appliqué aux mesures de PNB effectuées en Dollars US, permet par exemple d'évaluer la diminution

l’économie. Il s'agit donc de prêts directs (ou de garanties) de la banque centrale aux emprunteurs du secteur privé : la banque centrale injecte des liquidités dans les comptes de "non banques"(Artus, 2009). Ces politiques sont dénommées quantitative easing ou credit easing, d’autres préférant politiques tournées vers le passif et politiques tournées vers l’actif. Dans tous les cas, ces politiques se traduisent par un gonflement assez rapide du bilan des banques centrales. Dans 1 2 Revue Trésor-Eco

SOUTIEN A LA CREATION D’ENTREPRISES 95 Donner les principales caractéristiques des dispositifs les plus importants et les plus efficaces. La mise en place des politiques de soutien à la création se fait en deux temps, avec une première phase plus quantitative, destinée à accroitre le nombre de créations. Ainsi, chaque année, le gouvernement fédéral alloue par exemple 30 milliards de dollars de subvention pour le financement de la recherche universitaire dans le but d’aider les créateurs et chercheurs

encours Il s’agit d’une part de l’effet volume et d’autre part de l’effet structure. - L’effet de volume : est la relation entre le volume des ressources, des emplois, voire du hors bilan et les produits et charges induits : une approche quantitative. Le volume dépend directement de l’appétence de la clientèle pour les crédits et/ou pour l’épargne. Il est lié à la situation de croissance ou de crise et à leurs différents stades d’évolution, et de façon conjoncturelles, aux grandes échéances

Depuis 2007-2008, on constate un ralentissement de la croissance M3 à cause des politiques de stérilisation. 3. Le recours à des politiques monétaires non conventionnelles D’où vient le besoin de recourir à ce genre de politique ? On parle de « quantitative easing » ou politique non conventionnelle le fait que la crise a été tellement grave qu’il a fallu que les banques centrales fournissent des liquidités par d’autres voies que les voies traditionnelles. Cela veut dire que les banques centrales ne sont

Londres : H. S. King Fonds monétaire international (2008) “Global financial stability report”, chap. 2, avril Giles (C.) et Tett (G.) (2008) “Bank of England sees credit hope”, Financial Times, 1er mai Guerrera (F.) et Hughes (J.) (2008) “Banks calls for easing of rules”, Financial Times, 22 mai Mackintosh (I.) (2008) “Fair value difficulty to define in a changing market”, Financial Times, 22 mai Tett (G.) (2008) “Why triple A prices are out of sync with fundamentals”, Financial Times, 2 mai, p. 22 Banque

d’États et de gouvernements déclarent vouloir faire de l’Europe dans la décennie à venir « l’économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde, capable d’une croissance économique durable accompagnée d’une amélioration quantitative et qualitative de l’emploi et d’une plus grande cohésion sociale ». Un rythme de croissance annuel moyen de 3% est ainsi prévu dans le cadre du développement d’une « société de l’information ». Une révision de cette stratégie est prévue à mi-parcours