Que Dois Je A Autrui

d’aujourd’hui heureux ? Epictète naquit en Phrygie, à Hiéropolis dans l’esclavage. Son nom propre lui vient de cette origine. On raconte qu'un jour son maître dur et cruel, s'amusait à torturer la jambe de son esclave, celui-ci l'avertit plusieurs fois qu'il allait la lui briser. Il la brisa et Epictète se contenta de remarquer : « Je vous avais bien dit que vous me la casseriez. ». Une fois affranchi, Epictète vécut assez longtemps à Rome. Divers témoignages nous apprennent que sa sagesse était

I) Le piège de l'empathie Nous ne pouvons jamais nous mettre à la place de l'autre... même quand nous avons vécu des situations similaires aux siennes,  nous ne sommes pas lui. Il perçoit l'évènement à travers le prisme de l'histoire de vie qui est la sienne et il ne peut percevoir la même chose que nous,  car notre histoire de vie à nous, est forcément différente. L'art de la communication, c'est l'art de l'acuité qui permet de voir et accueillir cette différence de perception. Et pourtant! Si

arriver à comprendre l’évolution dans le temps, l’implication du soi. Le soi devient un paradigme dominant. La thématique du soi est très importante dans la psychologie socialeAu delà du fait que la notion du soi apparaît à une date particulière et interprète des théories classiques, qu’est ce que la psychologie sociale a apporté sur l’étude du soi ? Le concept de soi : • schéma de soi, • les sois

Autrui : « Autrui c’est l’autre, c'est-à-dire le moi qui n’est pas moi » Sartre. Il faut réserver ce terme aux être humains. L’autre, c’est l’être humain que je ne suis pas, et il est autrui dans la mesure où je ne suis pas lui. Par définition, autrui se distingue de moi : c’est ce que l’on appelle l’altérité→ caractère qui fait qu’il n’est pas comme moi. Lorsque l’altérité est très forte, elle peut devenir étrangeté : différence par la couleur de peau, physique, mœurs, coutûmes, langue, vêtements…

philosophie, il est traditionnel d’opposer deux types d’écrits et deux formes d’activités très différents. D’un côté, il y a les philosophes originaux, qui représentent l’objet de l’histoire de la philosophie, de l’autre, les interprètes, qui étudient cette histoire…… Le philosophe étudie la réalité, tandis que l’interprète étudie la théorie que le premier a produite. C’est pourquoi il y a entre eux un rapport de subordination : il faut que le philosophe ait déjà produit une théorie pour que l’interprète

connais. Mais pour répondre à la question, il faut saisir le sens du comparatif « le mieux placé » suppose que même si je peux me connaître, ce n’est pas moi qui y réussis le mieux ; il faudra donc en comprendre les raisons et déterminer alors qui ou quoi peut prétendre mieux me connaître que moi. Il conviendra alors de réfléchir à la question de la connaissance de soi : a-t-elle des limites, faut-il y renoncer ? 1.1 La conscience me permet de me connaître a) La conscience de soi est au

histoire, liberté, conscience ), d'autrui ( avec entre autres le paradoxe d'autrui qui " est un autre que moi mais a la fois un autre moi meme " ), le langage, le rapport nature-culture ( on a a DEVENIR soir meme ), la liberté, le bonheur, l'art ( avec le style ). - " suffit-il " -> condition nécessaire ET suffisante ? présupposé : je peux etre moi meme que si je suis en relation avec autrui. peut etre n'est on pas soi meme, peut etre doit on le devenir : présuppose une nature. - " etre soi meme

Chapitre 5 Autrui et société La thématique de la société sera traité 3fois dans l’année. Ici on en parlera une deuxième fois dans le cours sur le travail, puisque fondamentalement la société moderne est organisée autour du travail. Ainsi que dans le cours de fin d’année, sur la justice. Intro : a. Caricature de problématisation Si « Je » = sujet ; et si autrui = autre « Je » (tiré du latin alter-égo), alors il si c’est un autre « Je » il est différend du « Je ». Peut-on

sensible des choses et donc s'adresse aux sens, mais aussi à l'émotion, au désir. "Le beau est ce qui plaît sans concept" (Kant). La vérité au contraire concerne directement l'intellect. 2) L'œuvre se donne à interpréter et non à expliquer : les interprétations sont plurielles, multiples, alors que l'explication est unique et tend vers l'Idée. L'interprétation de l'œuvre se fonde sur une sensibilité, un vécu toujours subjectif, répondant à la subjectivité de celui qui l'a faite. II – L'art est

premier temps à la notion de jugement puis, dans un second temps à la notion d'autrui. Tout d'abord, nous savons qu'au sens philosophique un jugement est une proposition attribuant une qualité à un sujet, qui peut être un être ou une chose. Dans un second temps, nous savons qu'autrui n'est pas une chose, c'est un individu humain comme moi, une sorte d'alter-ego. L'autre est un sujet qui porte sur moi un regard subjectif auquel je me confronte. Pour penser, il faut que je me confronte à autrui. Ainsi