Que Nous Apporte Le Travail Nietzsche

la musique classique. En quoi ces genres diffèrent-ils ? La musique « phrygienne » est la musique des courtisanes, des joueuses de flûte, et des tripots où le peuple aime à se reposer après le travail. Elle fait donc intégalement partie de l’univers du travail, puisqu’elle en est l’autre face : pas de travail sans repos réparateur. Elle s’adresse à des âmes épuisées qui n’ont pas d’énergie de reste pour une activité quelconque de l’esprit. Aussi les variétés ne contiennent-elles rien qui exige un effort

JE PROFITE DE CETTE ORAL POUR VOUS ENTRETENIR DE MA PASSION: LE dessin PLAN : I) LE dessein : UN VERITABLE APPORT PERSONNEL II) LA DIFFICULTE DE VIVRE CETTE PASSION : L’ART N’EST PAS CONSIDERE A SA VALEUR MERITE PROBLEMATIQUE : EST-IL REEELLEMENT POSSIBLE, DANS NOTRE SOCIETE ACTUELLE, DE VIVRE GRANDEMENT DE SA PASSION ? NIETZSCHE (PHILOSOPHE ALLEMAND DU 19ème) REPOND A MA PLACE : « SANS LA MUSIQUE LA VIE SERAIT UNE ERREUR ». JE SUIS TOUT A FAIT D’ACCORD AVEC CETTE

c'est á diré dans le domaine oü se déroule le cycle empirique de la production, de la répartition et de la consommation. Des le moment oü Pon procede á la transposition qui est devenue courante chez les philosophes depuis Lotze et surtout depuis Nietzsche, on est amené á assimiler plus ou moins directement Thomme qui se voue á la recherche de la vérité ou á la création artistique, au producteur qui se situé á un point déter» miné du circuit. Certes il est vrai de diré par exemple que Partiste

Le travail est avant tout un moyen de subvenir aux besoins des hommes. Travailler permet la création de biens matériels ou immatériels satisfaisant les besoins, et également définit la manière d’être Homme dans un mode de production. En se basant sur le modèle du travail, nous dirions qu’il est un devoir pour l’Homme, donc n’est pas un loisir et n’est pas censé apporter satisfaction dans son action. Cependant, nous pourrions penser que l’action du travail, dans ce qu’elle concède, c’est-à-dire

travers cette phrase que toute œuvre d’art est belle, bien qu’elle ne représente pas nécessairement quelque chose de beau. La beauté de l’œuvre tient davantage de la façon dont l’artiste la perçoit et la reproduit que de sa beauté réelle. Selon Nietzsche, « l'art doit surtout et avant tout embellir la vie ». Il rejoint dans ce sens la philosophie de Kant, qui décrit l’art comme une belle représentation de la réalité. L’acte artistique a comme finalité la beauté en elle-même, il ne peut donc que la

désirant ressent un état de manque impalpable, qu’il se met à l’esprit de combler, afin de calfeutrer un vide originel intérieur et d’engendrer le plaisir. Mais ce maque ne se manifesterait pas sans la présence d’une société influente, qui modifie, travail les désirs des Hommes, tant matérielles, que sociaux et psychologiques. L’Homme serait donc éternellement soumis à des désirs qu’il ne parviendrait pas à assouvir, comme l’illustre le mythe du « Tonneaux des Danaïdes » de Schopenhauer, philosophe

« [fait] de la musique et [passe] beaucoup de temps à réfléchir ». Au fil de ses musiques, interviews et conférences, s’éveillent de nombreux questionnements et réflexions qui s’étendent sur de nombreux champs : de la déontologie du travail de musicien, des chemins de la confiance en passant par l’individu au sein du groupe jusqu’à la Nature même des choses… Il avoue aimer faire « le contraire », il remet en doute le concept de normalité et outrepasse les frontières de l’absurde. Il

civique est intense et occupe un place primordiale : les Grecs ont un vif désir de participer à la vie politique. Les « scole », c’est-à-dire les loisirs, englobent toutes les activités intellectuelles, non-utilitaires (matérielles), non-économiques (≠ travail) et collectives (ex : politique, arts,…). Ainsi, est lire celui qui se consacre à 100% aux loisirs (d’où esclavage). La conversation est pour l’Homme le souffle de la vie. Figure 1: Frise chronologique de la Grèce Antique D) L’organisation de la

PATRICK BEAUDOIN LA FONCTION CULTURELLE DE L'ART CHEZ LE JEUNE NIETZSCHE ET SON ABOUTISSEMENT AVEC LE SURHOMME Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures de l'Université Laval dans le cadre du programme de maîtrise en philosophie pour l'obtention du grade de maître es arts (M.A.) FACULTE DE PHILOSOPHIE UNIVERSITÉ LAVAL QUÉBEC 2007 Patrick Beaudoin, 2007 Remerciements Je tiens à remercier tout particulièrement Madame Marie-Andrée Ricard, pour sa patience et son soutien. Ce mémoire

essentiel. Dans l’exemple proposé, le sujet est intraitable par un candidat ne disposant pas d’un solide cours sur la notion de liberté. Qui n’a aucune idée de l’antinomie :déterminisme-liberté ; de la thèse sartrienne est voué à l’échec. Le premier travail consiste donc avec l’inventaire conceptuel à trouver les références pertinentes pour le traitement du sujet. (Attention : Souvenez-vous de ce qui a été dit précédemment. Mobiliser une culture ne signifie pas se dispenser de penser, en récitant ce