Querelle des Bouffons

écrit ‘La belle Antiquité fut tjrs vénérable / Mais je ne crois jms qu’elle fut adorable’. LF Racine Boileau (anciens) présents > déclenchmt querelle. Enjeux de cette querelle pr P II (soutenir le régime), cult (adapte la culture antiq pr fonder une cult nationale, ‘moderne’). Les contes, un genre moderne : La publict des contes et la Querelle : Contes = prolongmt à la Q. Volonté d’inventer un genre moderne, national et moral (voir Préface de 1695). Pr lui, le merveilleux

théâtre expérimental, un théâtre à l’essai, un théâtre qui ne cesse de parler du théâtre » (F. Lestringant). Il est clair, enfin, que, « en quête d’auteur, son personnage, [qui] s’improvise metteur en scène, [est aussi cet] homme autoproclamé officiel Bouffon qui, jouant son rôle, convertit la dimension ludique de ses actes en promesse héroïque, en gage politique ». Comment mieux mettre en évidence cette « spécularité théâtrale » et ses implications (critiques, voire polémiques) ? Le présent numéro de

dans le piège et en profite pour lire le billet. Il découvre qu'il s'agit bien d'une lettre du cousin de Rosine. Celle-ci accepte ses excuses et consent à la paix. Bartholo sort, et Rosine se désole car, dans sa lettre, Lindor lui recommandait la querelle ouverte avec son tuteur. Acte III Peu après, le comte se présente à nouveau chez Bartolo, cette fois déguisé en maître de chant, Alonso. Il prétend être le remplaçant de Don Bazilio qui serait atteint d'une maladie. Bartholo le croit. D'abord

milieu bourgeois ou paysan, par le nombre des personnages réduit à trois ou quatre, dont un personnage bouffon, par le style plein de vie et d’entrain. Contrairement à l’opéra-comique, l’opéra bouffe n’admet pas le parlé. La représentation à l’Opéra, en 1752, de la Servante Maîtresse de Pergolèse, jouée par une troupe italienne, obtient un succès triomphal et déchaîne la Querelle des Bouffons entre les partisans de la musique française et ceux de la musique italienne. La famille royale, les écrivains

réparations étaient alors effectuées avec des morceaux de tissu qui n'étaient pas toujours de la couleur souhaitée, d'où leurs ressemblance avec le costume d'Arlequin. Mais sur le terrain, les « Quins », comme on les surnommait, étaient tout sauf des bouffons sortis de la commedia dell’arte. Ambitieux, ils proposèrent à l’USP des derbys féroces. En 1927, un arbitre dut ainsi sortir pas moins de dix joueurs, tant la bataille avait été virulente[1]. De la fusion USP-Arlequins au dernier titre du XXeme

les bonnes, les valets de curé... propageaient en tous lieux les racontars. Sans oublier les courtisans cérémonieux glosant à l'infini comme de vulgaires harengères dans ce microcosme volontiers cancanier. Que ce soit au sujet des quémandeurs, des querelles de préséance et autres rivalités claniques ou bien aussi du moindre détail des rituels pompeux de Versailles, de la dernière aventure galante ou fleurette. Dans les séminaires, dans les cours des palais, dans les collèges, les presbytères, dans les

d'écriture. D'un côté, les partisans du progrès de l'innovation en matière de création artistique, les Modernes (Fontenelle), de l'autre ceux qui s'attachent aux anciennes façon de faire de l'Antiquité, les Anciens (Boileau et La Fontaine). Cette querelle souligne un changement important dans les mentalités. La Raison, l'esprit et le refus de la tradition vont faire naître des textes révolutionnaires qui attaquent directement l'Église (très forte à cette époque) et les institutions. 1723-1774 : Règne

de Moïse. Dieu empêche l'achèvement de la tour en plongeant les bâtisseurs dans la confusion des langues pour ensuite les disperser à la surface de la terre. A l'époque de Bruegel l'ancien, l'éclatement de l'Eglise donne un regain d'actualité aux querelles linguistiques. Index des œuvres peintes o o o o o o o o o o o o o o o o o o o o o o o o o o o o o 1.1 Le Retable de Saint-Bavon 1.2 Le Christ et les apôtres au lac de Tibériade 1.3 La Tentation de Saint-Antoine 1.4 Paysage fluvial avec la parabole

rapport dominant/dominé est bien là puisque Clov sert Hamm tout au long de la pièce (notons par ailleurs que, s’il affirme quitter Hamm, le spectateur n’assiste jamais au départ de Clov : partira t-il vraiment ?). Clov a également quelque chose du bouffon qui fait partie du duo clownesque : en effet, alors questionne Hamm quant à son utilité, ce dernier répond « A me donner la réplique ». On retrouve également le duo maître/valet avec la complicité d’objets inattendus qui rendent ces personnages semblables

fruits : de la nature supposée diabolique de l’animal ne subsiste qu’une chatoyante représentation du péché de gourmandise. Le roman comique relègue cette croyance parmi les superstitions d’un autre âge et s’amuse à voir dans le singe la dégradation bouffonne de la figure humaine. Cette aptitude imitatrice est exploitée par les montreurs de foire qui produisent sur leurs tréteaux en plein air des singes costumés en gentilshommes, avec bottes, chapeau, cape et épée. L’imitation fait recette, car les badauds