Question Implicite Explicite

document, confort de lecture... Modèle d'enseignement de la compréhension (chapitre 2 p.26) Aujourd'hui on est plus conscient que l'enseignement de la compréhension doit aller plus loin que le simple fait de poser des questions. Nous devons passer à un enseignement explicite. Le professeur doit planifier son intervention mais sans rigidité de façon à pouvoir répondre aux besoins directs des élèves. La situation de lecture doit être significative et l'enseignant doit donner son 1/34 compréhension

roseau Jean de la fontaine est un grand poète du XVIIème siècle, principalement connu pour ses fables qui mettent en scène, par l’usage de la personnification, animaux et nature mais également humains ou encore divinités. Qu’elle soit explicite ou implicite, toutes ces fables comportent une morale et on un but de dénonciation, de critique notamment de la société de l’époque dans laquelle jean de la fontaine évoluait. Mais aujourd’hui, nous allons nous intéresser à une fable en particulier

ex : quelle est la capitale de la France ? il est facil de répondre Paris. Mémoire Procédurale  activité motrice aquis par la pratique la pratique : apprendre un instrument ou à nager. Mémoire explicite  ex : examen, souvent des difficulté dans cette mémoire dans le cas de pathologie. Mémoire Implicite  ex : petite chanson dans la tête, utile pour des enfants qui ont des problèmes d’apprentissage. (tout déficit cognitive se travaille  plasticité cérébrale) Distinction mémoire à court terme

définir la théorie de l’école de PALO-ALTO ? En quoi consiste la communication des organisations ? Et quelle est la pertinence du principe on ne peut pas ne pas communiquer par rapport à la communication des organisations ? Afin de répondre à ces questions et d’éclaircir la compréhension du cadre de communication des entreprises on doit d’abord en premier lieu définir la théorie de l’école de PALO-ALTO, ensuite clarifier la concordance de son principe et la communication des organisations, et finalement

handicap : déficience intellectuelle 2 1) Le handicap 2 2) Le handicap intellectuel 3 V. Présentation de la démarche de l’étude et des outils utilisés 3 1) Préparation de la commande 3 2) La rencontre avec le commanditaire 3 3) Les raisons explicites et implicites 4 4) L’élaboration du questionnaire 4 5) L’échantillonnage 5 6) L’enquête 5 VI. Présentation des résultats de l’étude 6 1) Les parents 6 2) Les enfants 6 3) Les adolescents 7 VII. Présentation des préconisations 7 1) Mode d’accueil et de

informations qui ne sont pas écrite de façon explicite Compétences : Faire des inférences Contenu  En travail collectif, on étudiera des textes courts et on prendra conscience que l’on peut répondre à des questions alors que l’information n’est pas écrite explicitement dans le texte. On prendra également conscience qu’une interprétation de la situation peut être possible. Objectif : Apprendre à chercher des informations. Contenu :   Répondre à des questions portant sur un texte documentaire contenant

repose d’abord sur l’énonciation, c’est-à-dire sur les modalités dans lesquelles l’énoncé est produit. Il convient de déterminer qui ? Parle à qui ? Où ?, quand ? Et dans quelle intention ? De la précision des réponses apportées à ces différentes questions dépend la réussite de toute argumentation que ce soit dans l’étude du texte proposé ou dans le choix de l’énonciation pour rédiger un devoir. 1. Qui ? À qui ? : Le système pronominal et les déterminants Ce sont en priorité les pronoms personnels

Question de corpus Textes : * La Fontaine, fables (1963), « Le Philosophe scythe » * Rousseau, Rêveries du promeneur solitaire (1776-1778), « Cinquième promenade » * Pascal, Pensées (1670) * Voltaire, « Le Mondain » (1736) Question : De quoi chacun des auteurs fait-il dépendre le bonheur ? Pour répondre à cette question, nous avons quatre textes. Une fable de La Fontaine, « Le Philosophe scythe » (1663), un extrait de « La Promenade » de Rousseau (1776-1778), puis un encore

omniscient (foyer de perception indécelable). • focalisation interne = la narration se limite au point de vue d'un personnage. • focalisation externe = le narrateur est une sorte de témoin ignorant. - ces points de vue entraînent un jugement implicite ou explicite du narrateur sur les personnages et une participation différente du lecteur à l'action : registres réaliste, comique, fantastique, pathétique. POSITION DU LECTEUR • identification possible. • lecture impatiente du déroulement de l'action

ou de dénoncer une injustice à travers un personnage inventé qu’à travers une argumentation explicite ? Il faut donc mettre en avant les forces et les faiblesses de l’argumentation indirecte, le récit des aventures d’un personnage inventé, qui par ses actes et ses expériences amène à réfléchir à un problème. Il faut en effet insister sur l’aspect "personnage inventé", imaginaire, puisqu’il n’est pas question d’argumentation directe dans le sujet. Il s’agit essentiellement d’une façon de présenter