Question Préjudicielle

Proposition de programme d’enseignement modulaire Manuel à l’intention des enseignants Manuel à l’intention des élèves Manuel à l’intention des parents Manuel des relations éthiques avec les professionnels Manuel de maîtrise de l’Internet FAQ : Foire Aux Questions Glossaire raisonné de l’éducation aux médias Références, ressources et bonnes pratiques Contributeurs 4 5 7 9 21 53 63 85 105 159 175 195 205 L’éducation aux médias Remerciements Ce kit est en grande partie le produit du “projet MENTOR”

( l'argument de Sépulvéda n'est pas fondé, pas valable) - argument ad-hominem = retourne contre Sépulvéda ses propres arguments - questions rhétoriques - 2 questions rhétoriques pour rappeler que Sépulvéda est le plus fautif - ch. Lexical de la souffrance + interrogations/ exclamations ( s'appuie sure son vécu, ses connaissances de la réalité) + questions réthoriques (rappel de sa thèse, prise de position) B) L'argumentation de Sépulvéda (5 arg) = qui ne repose pas sur la réalité consiste

déjà maîtrisés • Grande efficacité • L’apprenant est en position centrale avec autour tout le soutien nécessaire • Possibilité de varier les méthodologies • Interactivité, pré et post-tests, forum de discussion/ groupes de diffusion, FAQ (foire aux questions), navigation transparente à travers le contenu• Augmente la productivité • Préparation soignée et cohérente du contenu | • Connaissance et expérience insuffisantes du PC / Internet / . . . L’environnement est un obstacle qui doit être franchi en

que l’enfance est un âge d’or qui nous échappe rapidement .Il affirme ainsi que la dignité concerne autant les adultes que les enfants. Il attaque ses adversaires que la thèse qui lui est opposé et ce grâce à des argument ad hominem .Grace à une question oratoire « père savez vous le moment ou la mort attend vos enfants »Rousseau tente de touch é le lecteur en affirmant une réalité de 18eme siècle , une forte mortalité infantile .Rousseau attaque ensuite la thèse adverse en démontrant le manque de

Questions Phèdre acte 4 scène 1) On remarque une relation particulière entre les deux protagonistes. Le fils, Hippolyte, le vouvoie et l’apostrophe de façon respectueuse : «seigneur», « mon père». Quant à lui Thésée tutoie son fils et le traite de «traître». Ces deux personnages n’ont jamais eux de relation père-fils très proche, étant donné qu’il a retrouvé son père depuis peu et se retrouve d’ores et déjà accusé d’aimer sa belle-mère, donc de semer le trouble. 2) Hippolyte n’accuse pas Phèdre

d’avoir le droit d’appeler le roi « Sire », de savoir le saluer en trois paroles, de prodiguer des titres officiels où il est question de Sérénité, de Souveraineté, de Magnificence. Ils s’en barbouillent le museau, s’ébattent dans la flatterie ; tels sont les talents essentiels du noble et du courtisan. » Analyse stylistique : L1 : « Que dirai-je des Gens de la cour ? » question rhétorique pour lancer le sujet L1 et 2 : « rampant, servile, sot, vil » énumération plus gradation, pour désigner les

aux pronoms de la première personne L’exclamation : les phrases de type exclamatif traduisent une émotion que l’émetteur veut faire partager au destinataire. Ex :" Jeunesse, jeunesse ! Sois toujours avec la justice. " Zola La question oratoire (appelée aussi "fausse question") fournit implicitement la réponse attendue. Elle conduit le destinataire à partager une opinion. Ex : "Tu es venu ; nous sommes-nous jetés sur ta personne ? Avons-nous pillé ton vaisseau" Diderot L’apostrophe : l’émetteur interpelle

assonance en ie Cependant, l’art poétique reste nuancé, Il n’y a pas de règles précises énoncées. Enfin, à travers ce poème on retrouve un art poétique argumentatif. Tout d'abord par les types de phrases utilisées : des phrases exclamatives, des questions rhétoriques. Puis de part le lexique péjoratif : sourd, faux, creux, fou, cruel, impur ... Pour finir, on notera l’implication du locuteur avec des expressions telles que : « nous voulons » Conclusion: Pour conclure sur ce que je viens de vous

LA QUESTION LINGUISTIQUE 1. 1830 : LE FRANÇAIS EST LA SEULE LANGUE OFFICIELLE (UNILINGUISME NATIONAL) Par réaction contre la Politique de "Hollandisation" de Guillaume 1er entre 1815 et 1830, la constitution de 1831 impose le Français comme seule langue officielle (Administration – Justice – Armée – Enseignement). Le Flamand et le Wallon sont des "Patois" tolérés. 2. 1830-1914: NAISSANCE DU MOUVEMENT FLAMAND Trois origines : Un courant d'origine

ressort classique de comédie Dorine oppose à l’enfermement du perso dans son rôle déroutant = > Dorine brille par son ironie mal perçu par Tartuffe = > effet comique ; fausse naïveté v.860 Tartuffe devient ridicule ironie railleur v.863-866 _ Question rhétorique v.863-864 v865 : tournure négative + interrogative : mise en évidence « naïveté » de Dorine contraste avec flamme perverse de Tartuffe Dorine en profite pour dénigrer Tartuffe en le réduisant à son épiderme : au contraire = >