R2-D2

chaud. Parmi tous les rayons issus d’un point P du palmier, deux parviennent à l’observateur : R1 et R2 (Fig. 2.15). Les traits pointillés indiquent la direction apparente P de ces rayons pour l’œil. R2 Ainsi, le faisceau F1 de P’’ rayons voisins de R1 contriR1 bue à former une image P’ de P, P’ appartenant à l’image inversée de l’arbre. De façon analogue, le faisceau F2 P’ de rayons voisins de R2 contribue à former une image P’’ de P, P’’ appartenant à l’imaFig. 2.15. Mirage inférieur. Parmi tous

− ρ0 ∂tt w + d2 f (∂x w) · ∂xx w · v dx dt 2 (o` par un l´ger abus de notation on a identifi´ la forme lin´aire d2 f (∂x w) · ∂xx w ` u e e e a 2 un vecteur; on peut aussi d´finir d f (∂x w) comme la matrice Hessienne de f en ∂x w, e auquel cas il n’y a pas d’abus de notation). Ceci ´tant vrai quel que soit v (tel que e ´ v(0, t) = v(L, t) = v(x, t0 ) = v(x, t1 ) = 0), on en d´duit l’EDP non-lin´aire du second e e ordre, dite ´quation des ondes non lin´aire : e e 2 2 ρ0 ∂tt w − d2 f (∂x w) · ∂xx

appelle plan affine u v − − engendré (ou dirigé) par les vecteurs → et → et passant par A l’ensemble, noté P, des points M de E tels que le u v − − vecteur AM est combinaison linéaire de → et → : u v −→ − −→ − − − AM = α→ + β→ . u v P = M ∈ E | ∃ α, β ∈ R2 : Remarque 3.2 − − – Avec les notations précédentes : M est élément du plan affine passant par A et engendré par → et → si et seulement si u v −→ − → et → : P . − − le vecteur AM est élément du plan vectoriel engendré par u v − − – Le couple →, →

permet de juger la qualité d’ajustement d’un modèle : en effet, plus la variance expliquée SCE est proche de la variance SCT, et meilleure est l’ajustement du nuage des points par la droite des moindres carrés. On utilise en général le rapport suivant : R2= (yt-y)2(yt-y)2=1-et2(yt-y)= SCRSCT Il est appelé coefficient de détermination * Tableau d’analyse de la variance Le tableau d’analyse de la variance pour un modèle de régression simple est le suivant : Source de variation | Somme des carrés

Largeur de dent Saillie ha = m Pas au primitif Diamètre de tête da = d + 2m Diamètre de pied 4) Engrenage : conditions d’engrènement La roue et le pignon ont même module et même pas. On définit l’entraxe de l’engrenage à contact extérieur par a=r1+r2 hf = 1,25 . m h = 2,25 . m b p=π.d =π.m Z df = d – 2,5 . m Feuille 1 Construction Mécanique SOLUTIONS CONSTRUCTIVES COURS Transmission de mouvement par obstacle L.P. AULNOYE Engrenages cylindriques à denture droite Feuille 2 5) Représentation

GUA 971 GUA 12''5 Q 12''7 q 12''8 q 13''2 13''3 13''5 13''6 908 878 863 R2 803 789 760 746 100m/-17ans Filles (28/02/2011) 1 2 3 4 CHALDER Liveline LESDEL Vanessa GERNIDY Andreyanna PETIT HOMME Emilie Série 2 Vent : NC 1118522 1044797 659186 1123438 MIF /96 MIF /97 CAF /95 MIF /96 Stade Lamentin Stade Lamentin Juventus Sainte-anne Felin'x 971 GUA 971 GUA 971 GUA 971 GUA 12''5 Q 12''8 q 13''1 14''0 908 863 R2 818 691 100m/-17ans Filles (28/02/2011) 1 2 3 4 4 6 EMMANUEL Elodie DOMOISON

employés, à savoir : son nom, son prénom, son emploi, son salaire… une telle relation pouvait être décrite de la façon suivante EMPLOYE(NOM, PRENOM, EMPLOI, SALAIRE) Un schéma d’une relation est noté sous la forme : R(A1 :D1,A2 :D2,A2 :D3 ,….,An :Dn) 4. Clé : On distingue quatre type de clé à savoir : Clé candidate :c’est un ensemble d’attribut qui permet de définir un et un seul enregistrement Clé primaire : est une clé candidate retenue comme clé de la relation Clé secondaire

actionnaires Michel Albouy Coût des fonds propres Taux de rentabilité et prix de l’action : bis Mais P1 dépend également de P2 et de D2 : D 2 + P2 P1 = 1 + Ri Michel Albouy Coût des fonds propres Taux de rentabilité et prix de l’action : suite Le prix actuel dépend donc des anticipations futures sur plusieurs périodes D1 D2 P2 P0 = + + 2 2 1 + Ri (1 + Ri ) (1 + Ri ) Michel Albouy Coût des fonds propres Taux de rentabilité et prix de l’action : suite

par exemple, dans e c a e le circuit de la figure 5.1, les r´sistances R1 et R2 constituent un chemin de retour de e contre-r´action n´gative pour l’amplificateur op´rationnel. e e e Quels sont les effets d’une contre-r´action n´gative sur ce circuit ? Les principaux e e effets sont les suivants : 1. Diminution du gain en tension CHAPITRE 5. LABORATOIRE 4 : L’AMPLIFICATEUR AUDIO 49 V+ Vin V− A + − Vout R2 VA R1 RL Fig. 5.1 – Contre r´action n´gative ` base d’un ampli-op e e a En

figure 5 page 3. 2.4.1 Indiquer le mode de fonctionnement de l’A.D.I.1, en le justifiant. 2.4.2 Exprimer v+ en fonction de R1, R2 et u’2. 2.4.3 Après avoir rappellé la condition de basculement d’un comparateur, exprimer les valeurs de U1B et U1H , en fonction de VCC , R1 et R2 . 2.4.4 On donne R1 = 1 k, U1H = 200 mV, U1B = - 200 mV. A quelle valeur faut-il ajuster R2 ? 2.5 Tracer u’2(t) sur le DOCUMENT N°1, page 10. 2.6 Quel est le rôle de la diode D1, supposée parfaite ? Donner alors le graphe