Rachitisme

taux de natalité. On parle des classes creuses qui auront des conséquences pour l'avenir. La guerre a laissée des séquelles sanitaires importantes : des maladies comme la tuberculose sont réapparues, la malnutrition a provoqué l'augmentation du rachitisme. En 5 ans de guerre l'espérance de vie a diminuée de 10 ans. 2) Un choc moral . La révélation des crimes que les nazis ont commis et particulièrement le génocide des juifs choque profondément les consciences. L' explosion des bombes sur Hiroshima

compassion « doux » « pensifs » « seuls » pour montrer la fragilité la sensibilité des enfants. * Prise de posit° d’Hugo augmente, commence par un voc appréciatif, valorisant pr les enfants mais dépréciatif pr le travail de « monstre hideux » à « rachitisme ». Commentaire d’Hugo « ils semblent […] hélas » au départ c’est un narrateur qui décrit puis un orateur qui prend parole. « On demande » auteur cherche à impliquer le public ensuite le narrateur « maudit » avec tout le voc de la maledict° « vice »

4) -beauté: "la jeunesse en fleur" (métaphore in praesentia), "anges" v.9 -Innnocence: "l'âge tendre" v.23 B)Fragilité physique -maladie: CL "fièvre" v.2, "pâleur" v.12 + métaphore in absentia "la cendre est sur leur joue" v.11 -maigreur: "rachitisme" v.18 (tête de vers==> sugg. du carnage) C)Petitesse par rapport au monde qui les entoure -CL de l'abaissement ("sous des meules" v.4, "Accroupis" v.7, "sous les dents" v.7) -"Petits comme nous sommes" v.15 D)Un destin imposé -"pensifs"

dénonce le travail des enfants car il détruit leur santé : "la cendre est sur leur joue". Par cendre, on peut entendre aussi la saleté, la poussière, mais aussi la mort. Les machines tuent les enfants et déforment leurs corps : "d'Apollon un bossu", "rachitisme". L'auteur utilise l'allitération en (f) pour montrer la difficulté qu'ont les enfants de respirer : "souffle", "étouffant", "défait", "fait". Le travail des enfants est également mauvais pour l'intelligence , comme le montrent l'opposition "de

1 : antithèse « tous ces enfants dot as un seul ne rit »  mettre en avant qu’ils devraient rire du fait de leur jeunesse et leur innocence - insiste sur leur mauvaise santé « que la fièvre maigrit; quelle pâleur ! », leur fatigue « bien las ; rachitisme ! », due à leur fragilité - anaphore vers 2 et 3 - « doux êtres pensifs » B) aspect répétitif du travail - « travailler quinze heures sous les meules, de l’aube au soir » C) dureté du travail, dureté presque incommensurable - Il souhaite

Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! » O servitude infâme imposée à l'enfant ! Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant Défait ce qu'a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée, La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée, Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! - D' Apollon un bossu, de Voltaire un crétin !

l’indignation « ! ». Registre mit en relief par la ponctuation, montre que VH est indigné. Il assimile le travail a de l’esclavage, de la torture et de la maltraitance. « Servitude » rappelle l’esclavage, « étouffant » montre le manque de liberté. « Rachitisme »montre la maltraitance. La conséquence de cet étouffement est de réduire à néant le travail de la nature. Apollon est la représentation physique de la beauté et Voltaire de la pensé. Vers 23 : Travail associé a un vautour qui mange l’âge tendre

sur leur joue.Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las.Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas !Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes,Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! »O servitude infâme imposée à l'enfant !Rachitisme ! travail dont le souffle étouffantDéfait ce qu'a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée,La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée,Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! -D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin !Travail mauvais

à différentes époques pour souligner la personnification de la machine. Victor Hugo décrit avec réalisme l'état physique des enfants. Il a insisté sur leur mauvaise santé : « que la fièvre maigrit ; quelle pâleur ! », leur fatigue « bien las ; rachitisme ! ». Il souhaite également attirer l'attention du lecteur sur le fait que les enfants sont souvent dominés ; il utilise à plusieurs reprise l'adverbe "sous" : « sous la meule », « sous les dents ». Les enfants sont de véritables outils à production

seul ». En fait tous ces enfants devraient rire. Il suscite l’intérêt du lecteur. Victor Hugo décrit avec réalisme l’état physique des enfants. Il insiste sur leur mauvaise santé « que la fièvre maigrit; quelle pâleur ! », leur fatigue « bien las ; rachitisme ! ». Il souhaite aussi attirer l’attention du lecteur sur le fait que les enfants sont constamment