Racine Cruauté

(zélé), mais aussi son sadisme (« il se donne le plaisir de l’appliquer… »). Une ironie renforcée par la citation des Plaideurs de Racine. Présence d’une antiphrase « Le grave magistrat ». Le magistrat est vénal, mais surtout, il est cruel. Présence également d’un euphémisme « Le droit de faire des expériences », mais également une ironie dans « son prochain ». Cette cruauté, cette inhumanité, est mise en scène à travers un petit récit, dont les personnages sont le magistrat et sa femme. Cette scène

qualité d’ »un peuple humain » qui abolit la torture et leur pseudo « inhumanité » qui concerne un différend économique, politique et non plus humain ! b) La dénonciation de la cruauté En outre, Voltaire ne se contente pas uniquement de calomnier la torture. Il dénonce avec véhémence la pratique le la cruauté légalisée, cautionnée par tout un système judiciaire et médical. Si nous l’avons vu précédemment, notre auteur ne se délecte pas d’un spectacle horrible, il ne manque pas de fustiger

la torture est quelque chose de totalement inhumain et incivile, les praticiens et partisans de celle ci ne peuvent pas avoir de coeur, infliger de tels horreurs et douleurs à la fois à un autre être humain est un manque d'humanisme et d'une telle cruauté et humiliation pour le torturé... répondit l'homme sur un ton véhément. - Excusez mon impolitesse et mes maladresses mais la torture est un moyen de vérité, c'est un mode de pression auquel on peut recourir sur un être humain sans forcement être

Victor Hugo, Le Dernier Jour d'un condamné, Chapitre XIII Extrait, pages 108 à 112, lignes 631 à 755 1. Dressez le plan de l'extrait. 2. Énumérez cinq agissements qui illustrent la cruauté des gardiens envers les galériens. 3. Relevez les nombreuses références au corps des bagnards et expliquez l'effet visé sur le lecteur. 4. Analysez la scène des bagnards sous la pluie en répondant aux questions qui suivent a) Selon Hugo, cet événement vient changer en humiliation la torture des

banalisation de la torture La torture est une banalité et est un sujet de conversation, on peut le voir avec l’anecdote du magistrat et de sa femme qui lui demande « Mon petit coeur, n’avez-vous fait donner aujourd’hui la question à personne? ». B)Cruauté, barbarie, pratique perverse. La perversité associe l’inhumanité au plaisir. Les termes «donner la question», «expérience sur son prochain» etc. sont des reformulations de la torture. Il y a une ambiguïté du verbe «donner» qui est un rapprochement

souvent égoïste , cruel , méprisant et sans cœur . Le malheur des un fait le bonheurs des autres est ce peu être la raison suffisante a l'existence persistante de la torture .L'inégalité est omniprésente , sans ces misérable qui subisse les pire cruauté est dont personnes se soucie , il n'y aurait pas tout c'est personne prépondérante .Comment des personne de même race peuvent porté atteinte a un droit intangible qu'est la dignité et l’intégrité de la personne . Le cadavre de mon camarade n'est que

(niveau seconde ;)) Avant de pouvoir parler de barbarie, il faut d'abord rappeler la définition du mot. Le mot "barbare" vient du grec "barbaros" qui signifie d'abord "étranger". On voit donc qu'à l'origine, le mot barbare n'a pas une connotation de cruauté, seulement peut-être d'un peu de rejet. Mais au fil du temps le mot devient un élément d'exclusion ; on considère toute personne pratiquant des coutumes différentes et décalées, autrement dit une personne non civilisée, comme un barbare. Au 16ème

insouciantes alternent avec des moments plus délicats de danger et d’emprisonnement, menant le lecteur à un monde étranger de cruauté, d’absurdité et parfois de secours. Que serait donc l’importance de ces éléments dans le texte ? Le roman souligne la cruauté que Joffo avait subie, tantôt la cruauté de la société, tantôt la cruauté de la guerre, et parfois même la cruauté de sa vie, de cette existence qui l’a tordu depuis son jeune âge et lui a écrasé la face. Les discriminations incultes, injustifiées

des calificatif mélioratif comme « femme vertueuse » pour montrer le bonheur qu’il vit avec cette famille. II/ A la découverte de l’ile Champ lexical de la violence, choc de cette découverte « dur » « féroce » « barbarire » « excès de cruauté » Contraste entre le cadre idyllique et l’esclavage : antithèse (poli ¬¬– barbarie s’opposent) Opposition de 2 domaines : cadre et attitude, marque l’étonnement du narrateur Le message : personnes qui traitent d’autres personnes de façon inhumaine

d’inacceptable quelque soit l’approche du problème. Puis nous verrons l'enonciation et l'indignation de Voltaire face a cette barbarie et pour finir de quelle manière voltaire s’attaque à la justice. I Une constante dénonciation 1) la banalisation de la cruauté 2)Inhumanité de la torture 3) la mise en cause de la nation II La diversité des approches ironiques du problème 1)Le moyen des différents angles 2) l'enonciation et l'indignation 3)Au bon plaisir du juge