Racine Les Plaideurs

suffisant de cassation. Chapitre 1 : La théorie générale de l’action en justice En procédure on distingue la théorie de l’action, la théorie de l’instance, et la théorie de la juridiction. L’action c’est un droit fondamental qui puise ses racines dans l’état de droit et en même temps ce n’est pas un droit illimité, il est encadré et soumis à des conditions qui déterminent la recevabilité de l’action. Section 1 : La reconnaissance du droit d’agir en justice Cette reconnaissance est marquée

seigneuriale : seigneur a sous sa garde le jeune noble et celui-ci ne reprendra le fief qu’au moment de sa majorité. • La famille noble servile. Il faut distinguer la servitude antique et le servage médiéval et l’esclavage moderne. Ils sont tous la racine de servus qui est l’esclave en latin. L’esclavage pose des problèmes ethniques et de races alors qu’au moyen-âge c’est économique. A Rome il peut être un précepteur, un chef d’entreprise, un comédien. A l’époque médiéval on connait l’esclavage :

cohérent et complet de règles abstraites. C'est un droit largement coûtumié, profondément lié à l'inteprétation des règles juridiques est confié à des prêtres que l'on appelle pontifes. 9 sur 63 a) les racines religieuses du droit Comme tous les droits romains, l'ancien droit primitif plonge ses racines dans la religion, les coutûmes des ancêtres (les mores maiorum : mœurs des anciens) sont sous la dépendance du fas. Le mot fas vient d'un mot plus ancien qui signifie dire. C'est ce que les dieux ont

la morale. Autre signe de l’imprégnation religieuse, l’ordalie. Souvent appelée jugement divin, il est un mode de preuve qui fait appel aux Dieux. Le plaideur est soumis à une épreuve matérielle destinée, en l’absence de preuve, à révéler la vérité. En Mésopotamie, elle prend fréquemment la forme de l’ordalie fluviale. Le juge ordonne que le plaideur (le plus souvent le demandeur) aille au « dieu-Fleuve ». « L’ordaliste » entre à pied dans le fleuve et s’y avance jusqu’à une certaine profondeur

circonstances concrètes, matérielles, et contingentes. Il va de soi que les mots du droit, ses concepts, ses mécanismes et ses règles ne sont pas né d'hier. Ainsi le code civil de 1804 qui pour parti s'applique encore de nos jour, plonge de profonde racine dans le passé. Ce qui signifie que le droit français comme d'ailleurs les autres droit européen est l'héritier d'une longue histoire. Ce sont les romains qui ont posé les fondements sur lesquels se sont édifié le droit continental. On va mener une

justice aux sujets. La loi va être un élément de la construction de l’état. La chose à exister avant le mot « état ». Il faut attendre le 16è siècle pour que ce vocabulaire soit utilisé. Si sa naissance est assez récente elle a en réalité des racines historiques, juridiques beaucoup plus lointaine que l’on peut déjà trouver: la cité et l’empire qui permettent la vie en société et c’est notamment vers l’Antiquité que l’on va se tourner pour essayer de saisir les matériaux qui vont servir beaucoup

s’efface. Dix neuf pièces sur quatre vingt treize nous sont parvenues. Parmi elles : Hippolyte, Andromaque, Oreste, Electre : tragédies « psychologiques. Produisent une émotion d’ordre passionnel et non plus moral. (cf. notre 17ème siècle avec Racine). La tragédie. Aucune scène d’amour dans la tragédie grecque. Destin : on parle du « fatum », du destin, qui écrase le héros tragique. Or il s’agit là d’un mot latin ! Dans la tragédie grecque, la fatalité porte le même nom que l’erreur :

turcs en 1453 I-les institutions politique de Rome Réutilisation de certains mots: Empires, sénat, sénateur. Il n'y a pas de caractère démocratique emprunté au régime romain, emprunté a athéne mais non a Rome polygarchique. Aristocratique : racine grecque valorisant (aristoy:les meilleurs) , Oligarchique: péjoratif, le gouv d'une cité ou le gouv d'une entreprise est accaparé pas une minorité qui ne voit que ces intérêt égoïste et non globale. A-La royauté. Les institutions politique

s’imposent aux membres de la société. Les concepts du droit, ses mots, ses mécanismes et ses règles ne sont pas nés d’hier et ne sont pas non plus issues de la volonté arbitraire du législateur. Le code civil de 1804 plonge de profonde racine dans le passé, et ses racines remontent jusqu’à Rome. Les romains sont ceux qui ont posé les fondements sur lesquels sont édifiés tous les droits actuels de l’Europe continentale. Il y ‘a en effet une différence avec la Common Law anglo-saxon. Le lègues juridique

que l’aristocratie romaine soit assez sceptique ms masses populaires se montrent enthousiastes. Derrière l’empereur, il y a Manifestation collective de confiance. La théorie du dt divin que le Xisme va récupérer plus tard prend ici ses 1er germes, racines. Elle véhicule l’idée que le prince est pieux, en contact ac la divinité, qu’il est la loi personnifiée, il n’est pas un tyran. En 313, l’empereur Constantin, se convertit au Xisme, les persécutions vs. Xens cessent. L’église est reconnue par Constantin