Raison

 Monsieur, Dans le contexte du 17e siècle, le siècle de la raison est marqué par la grande révolution scientifique. La théorie disant que la terre est au centre de l’univers a été renversée. Leperfectionnement du télescope que vous avez fait a permis d’appuyer cette théorie. La place que l’être humain occupe est remise en question étant donné que la terre n’est plus le centre de l’univers.En faisant partie de la longue tradition philosophique du rationalisme, vous avez marqué la pensée occidentale

le désir né de la passion de l'homme, la volonté est motivé par la raison humaine, par un choix rationnel, basé sur un arbitrage moral, il y a donc une opposition entre le désir et la volonté. L'homme est conscient en effet des désirs qui pourront lui apporter satisfaction, le guider vers la réussite, l'accomplissement de soi. La volonté serait l'expression non seulement de la liberté d'arbitrage d'un homme, mais aussi de sa raison et de sa capacité à choisir une voie qu'il pense la meilleure pour

nature). Hegel, Principe de la philosophie du droit, après révolution française, formation de la société civile. Inapproprié pour les animaux car uniquement valable pour les hommes. La raison est une faculté de calcul, elle permet d’arbitrer et de prendre des décisions. La société est le résultat de la raison or la raison est le propre de l’homme et donc ne concerne que lui. Être humain est un animal parmi d’autres animaux, démontré par la biologie. Séparation entre l’homme et les autres animaux apparait

elle s’appuie sur la raison humaine. Or, dit-il, la raison humaine est subjective et ne peut être détentrice de La vérité, ce que Montaigne exprime notamment lorsqu’il définit la raison comme une « apparence de discours que chacun porte en soi. » Il estime que le jugement de l’homme varie selon son état de santé, par exemple : un homme malade n’aura pas le même jugement sur la vie qu’un homme en bonne santé. De même, Montaigne pense qu’il n’est pas sage de se fier à la raison humaine, tant « nos passions

nous convaincre qu’il existe une différence de nature entre connaissance humaine et connaissance animale. Il établit, en effet, une distinction essentielle entre l’instinct animal, qui revêt parfois toutes les apparences de la connaissance, et la raison qui permet à l’homme d’accumuler les connaissances et de progresser. La première phrase du texte exprime clairement ce que Pascal veut démontrer : le développement du texte va répondre en deux temps à la question posée par cette première phrase

comme ce qui concerne la relation entre l'humanité et Dieu. Certains philosophes se sont engagés dans une compréhension ou « pensée » du monde basée sur la raison. Un terme spécifique a été donnée a cette recherche, celle de « religion naturelle ». Ainsi la « religion naturelle » désigne la pensée des philosophes qui entendent faire de la raison ou " lumière naturelle " le fondement de toute connaissance. Elle fait aussi référence a la construction d’un système de pensée pour établir la base d’un déisme

le tient de sa nature corrompue par le péché originel qui a corrompu aussi sa raison. Parmi les facultés qui altèrent son jugement, il y a celles qu’il nomme « les puissances trompeuses ». Quelles sont-elles et qu’impliquent-elles ? Littérature – Bac L Les puissances trompeuses Selon Pascal, l’homme est incapable de vérité. Ceci, il le tient de sa nature corrompue par le péché originel qui a corrompu aussi sa raison. Parmi les facultés qui altèrent son jugement, il y a celles qu’il nomme « les

contraire le seul être doué de raison. Vu que c'est le propre de l'homme de pouvoir penser, quoi de mieux que la science pour satisfaire le besoin d'accomplir ce pour quoi il a été fait? En effet, la science, c'est la recherche du savoir, lorsqu'on fait de la science, on fait des raisonnements, on cherche a construire des énoncés de manière logique etc. Cela procure du plaisir chez l'Homme car cela correspond parfaitement a sa fonction propre ( c'est a dire penser, raisonner). Cependant, l'Homme n'a

xonnu l'Homme", double nature de l'Homme Liasse II, III et IV = vanité et misère de l'Homme, soumission à l'apparence = ennui, angoisse Liasse V, raison des effets = la cause de ces effets est la société humaine réglée par la concupiscence (désir impossible à assouvir car sans justification précise) C'est la première preuve de l'Homme à comprendre la raison des effets, il est sur le chemin de la grandeur. Liasse VI : la grandeur de l'Homme Il a conscience de sa misère et c'est ce qui le différencie

Hobbes porte ainsi un jugement sur la superstition : elle naît d’un mauvais usage de notre raison. opposition entre bon sens et superstition Hobbes en arrive ainsi aux deux écueils que nous annoncions : la superstition et l’athéisme. définitions proposées par Hobbes : superstition est la crainte que l'on a des choses invisibles c'est a dire de que l'on ne peut pas prévoir ou contrôler,, en l'absence de raison c'est a dire de bon sens et de rationnel la superstition devient omniprésente et c'est pour