Raisonnement par l'absurde

2.2.1 Convaincre = Dialectique Pour convaincre, celui qui argumente fait appel à la raison, aux facultés d’analyse et de raisonnement, à l’esprit critique du destinataire pour obtenir son accord après mûre réflexion.Il formule une thèseIl s’aide d’arguments, c’est-à-dire des éléments de preuve destinés à l’étayer ou à la réfuter.Ces arguments sont eux-mêmes illustrés par des exemples variés : tirés de l’expérience personnelle, des lectures, des divers domaines de la connaissance : sciences, histoire

consiste à dire, en se moquant, le contraire de ce que l'on pense afin d'amener le lecteur à se poser des questions. Il a pour but de critiquer ou de dénoncer certaines pratiques, en recourant à l'antiphrase. - L'absurde : propos déroutants par leur absence de logique et où la relation entre cause à effet est défectueuse. - Le registre polémique : expression d'échange d'opinions contradictoires. - Le registre oratoire: expression entraînant

Introduction : Albert Camus, auteur et philosophe engagé, du XX siècle, est notamment connu pour son théâtre, ses romans et ses essais, qui s’inscrivent dans le courant littéraire de l’Absurde. Il est honoré du prix Nobel de Littérature en 1957. Il prononce alors les « Discours de Suède », face à l’Hôtel de ville de Stockholm, le 10 Décembre 1957. Il le dédicace à son instituteur Louis Germain. L’extrait que nous allons étudier se situe au début de l’œuvre. A. Camus propose, dans ce passage, sa

répercussions de la Seconde Guerre mondiale et de la Guerre froide qui s’en est suivie, la littérature du début du XXe siècle a pris, avec les écrivains existentialistes, la voie de l’engagement social et politique. Au même moment, le théâtre de l’absurde a lui aussi cherché à traduire, tant par la forme que par le contenu de ses pièces, le non-sens de cette époque et le malaise existentiel qui en résultait. Eugène Ionesco, l’un des porte-paroles de ce théâtre, dénonce, dans sa pièce Rhinocéros

travail se réduisent. Or l’Homme, à la différence de l’animal, est un être doté d’esprit et de capacités intellectuelles. Le travail semble donc l’éloigner de cette dimension ainsi que de la liberté de mener sa vie comme il l’entend. 2) Le raisonnement par l’absurde Mais si l’Homme ne travaille pas par nécessité, il travaille donc pour le plaisir. On peut trouver deux formes de travail pour le plaisir. Le premier est non rémunéré, il s’agit du bénévolat. Ce travail volontaire a pour but d’aider d’autres

=>utilise des arguments d’expériences qui sont donc basé sur sa réflexion c) un auteur qui cherche à convaincre nbrs connecteurs logiques=>hypothèses, cause, conséquence fait appel à la raison du lecteur et à sa réflexion 1er paragraphe : raisonnement par l’absurde : hypothèse qui envisage la thèse contraire pour ensuite mieux la réfuter. 2ème paragraphe : généralisation sur le bonheur et transmet sa pensée à tous les hommes chaque thèse est argumenté série de déduction introduite par l’anaphore

-fantastique : doute et peur chez le lecteur.hésitation entre interprétation rationnelle et surnaturelle, événements étranges Les types de raisonnements : -inductif : parts d’observations particulières et conclusion générale. -analogique:comparaison, conclusion -dialectique : arguments favorables/défavorables -par comparaison : points communs et différences -par l'absurde : conséquences absurdes d'une proposition à réfuter -opposition : valoriser une thèse et opposer la thèse adverse -concessif: admettre

de l’épanouissement de l’individu dans la société. Débat philo donc 2 thèses : Pour A : il faut ê franc, sincère, avoir des règles strictes Pour P : il faut s’adapter à chacun et faire preuve de politesse, de respect. Alceste : -raisonnement par l’absurde (il se justifie et se contredit) -cherche à persuader (champ lex de sentiments : « fureur » v20, « honte » v14) -subjectivité (il donne son avis « je ne trouve » v93, « j’ai tort ou j’ai raison » v192) -tente de culpabiliser Philinte

l'Homme, en mettant en scène des animaux se faisant la guerre. Il prend pour premier exemple « tous les chats d'un grand pays », et grossit les faits avec l'hyperbole « par milliers ». La Bruyère exagère volontairement (logique de l'absurde, ou raisonnement par l'absurde) le nombre des belligérants (« neuf à dix mille chats ») et les conséquences désastreuses du carnage ( « infecté l'air à dix lieues de là »). Ces hyperboles amplifient l'horreur de la guerre, en témoigne l'expression « abominable

l’amour, ainsi que la sexualité. Dès lors, nous mettrons en opposition civilisation et sexualité, c'est-à-dire relations sociales et amicales à satisfactions mutuelles entre deux êtres. Dans la troisième partie, Freud nous offre un court raisonnement par l’absurde et émet l’hypothèse d’une société basée sur des relations à deux. Ils se satisferaient ainsi l’un l’autre, par l’amour qui les lierait. Cependant, la réalité est toute autre, car la civilisation met en valeurs plusieurs types d’unions