Raoul Salan

d'avoir mis un terme à la vague d'attentats aveugles et gagné la «bataille d'Alger». Mais ce faisant, ils n'ont en rien gagné la guerre d'Algérie. Lassitude de l'opinion publique métropolitaine Le 12 décembre 1958, le général Maurice Challe succède à Raoul Salan à la tête des forces stationnées en Algérie. Il arrive à annihiler presque complètement la capacité de nuisance des indépendantistes, à Alger comme dans le djebel (la montagne). Les combattants des wilayas désertent et se rendent en masse aux autorités

partie de l’armée française d’Algérie. Un Comité de Salut public de l’Algérie Française se met en place avec à sa tête le général Salan, commandant en chef des forces françaises en Algérie. Ce dernier est nommé par la métropole comme délégué général en Algérie avec les pleins pouvoirs civils et militaires. Le 15 mai, poussé par les gaullistes et des militaires, le général Salan réclame le retour au pouvoir du général De Gaulle. Durant toute la fin mai, les pressions pour le retour de de Gaulle au pouvoir

l’armée française, qui sont été déjà humiliés par la défaite en Indochine, c’est une véritable trahison insupportable du pouvoir de la France. Donc, dans la nuit du 21 au 22 avril 1961, quatre généraux français, André Zeller, Edmond Jouhoud, Raoul Salan et Maurice Challe, opposés fortement à l'indépendance de l’Algérie, font sédition et s’emparent d’Alger avec des légionnaires et parachutistes. Pour faire face à cette crise, dans la nuit du 23 avril 1961, le Président de Gaulle, lance sur les

code] Article détaillé : Guerre d'Algérie. Le même jour a lieu à Alger une émeute de Pieds-Noirs qui craignaient que Pflimlin, soupçonné d'être favorable à des négociations avec le FLN, ne « brade l'Algérie ». Des généraux y prennent part, comme Raoul Salan, qui « prend en main les destinées de l'Algérie française », et Jacques Massu. Le gouvernorat général à Alger est occupé par les activistes, un Comité « de salut public » institué, défiant l'autorité de la métropole. Ce comité est soutenu par une

Figaro (affaire Caillaux) ; elle est acquittée (son avocat est Fernand Labori) ; Joseph Caillaux démissionne - mort de Déroulède (Barrès le remplace à la tête de la Ligue des patriotes) - vote de l’impôt sur le revenu - assassinat de Jaurès par Raoul Villain (Jouhaux et Barrès aux funérailles) - Poincaré proclame l’Union sacrée (gouvernement René Viviani ; Jules Guesde et Marcel Sembat entrent au gouvernement ; Carnet B inutile) - la bataille des frontières est un désastre pour les Français (échec

il rencontre Mao Zedong. Le 18 mai 1962, François Mitterrand est appelé à témoigner à décharge au procès du général Salan par Jean-Louis Tixier-Vignancour. Le témoignage de Mitterrand porta sur l'« affaire du Bazooka », tentative d'assassinat perpétrée contre le général Salan le 16 janvier 1957 et qui avait fait un mort, le colonel Rodier. Mitterrand appuya la thèse de Salan à propos du complot gaulliste fomenté (plus ou moins indirectement, c'est selon) par Michel Debré (d'autres personnalités

d'Algérie[modifier] Article détaillé : Guerre d'Algérie. Le même jour a lieu à Alger une émeute de Pieds-Noirs qui craignaient que Pflimlin, soupçonné d'être favorable à des négociations avec le FLN, ne « brade l'Algérie ». Des généraux y prennent part, comme Raoul Salan, qui « prend en main les destinées de l'Algérie française », et Jacques Massu. Le gouvernorat général à Alger est occupé par les activistes, un Comité « de salut public » institué, défiant l'autorité de la métropole. Ce comité est soutenu par une

signer avec Jean Sainteny et le général Leclerc, qui avaient su gagner leur confiance, des accords prévoyant une pacifique autonomie-indépendance du Viêt Nam à l'intérieur de l'Union française. Alors qu'ils voyageaient avec ce dernier et le Général Salan jusqu'à Biarritz pour signer ces accords avec le gouvernement français, Georges Thierry d'Argenlieu, apparenté à la famille Michelin - qui avait d'immenses intérêts dans les plantations d'hévea d'Indochine - fit capoter l'accord en suscitant la création

ressemblait cette organisation politique aussi étrange que violente, comment elle était structurée, quelles étaient les trajectoires de ses militants, leurs références idéologiques et leurs motivations diverses. Il dresse, en particulier du général Raoul Salan ou du chef des commandos Delta, Léon Degueldre, des portraits complexes et saisissants. Cinquante ans plus tard, cet ouvrage est l’occasion de prendre la mesure de la fragilité d’une République tout juste née d’un coup de force et alors à la merci

France déclenchent une opération militaire contre l'Egypte. 15.11. L'ONU inscrit la question algérienne à son ordre du jour. 05.12. Le gouvernement français dissout les conseils généraux et les municipalités en Algérie. 14 décembre : Le général Raoul Salan est nommé commandant en chef en Algérie. 1957             les tortures et exécutions sommaires 7 janvier : Les parachutistes du général Jacques Massu passent à l'offensive à Alger. 07.01. Le général Massu est chargé du maintien de l'ordre à Alger