Rapport De Diagnostic Micro Creche

......... 135 III Approches cliniques ................................................................. 155 9. Critères diagnostiques ...................................................................... 157 10. Outils de dépistage et de diagnostic................................................. 171 11. Comorbidités addictives et psychiatriques ...................................... 181 12. Traitements par approche cognitivo-comportementale .................. 191 13. Traitements par

SEGMENTATION 1 La macro-segmentation 1.1 La conceptualisation du marché de référence 1.2 Les structures du marché de référence 1.3 L’utilité d’une analyse de macro-segmentation 187 189 190 191 192 194 198 199 200 201 204 206 208 210 210 211 212 2 La micro-segmentation 2.1 2.2 2.3 2.4 2.5 2.6 2.7 La segmentation et la différenciation Les étapes de la démarche : segmentation-ciblage-positionnement La segmentation par avantages recherchés La segmentation socio-démographique ou descriptive La segmentation

6 187 L’ANALYSE DES BESOINS PAR LA SEGMENTATION 189 1 La macro-segmentation 190 1.1 La conceptualisation du marché de référence 1.2 Les structures du marché de référence 1.3 L’utilité d’une analyse de macro-segmentation 2 La micro-segmentation 2.1 2.2 2.3 2.4 2.5 2.6 2.7 La segmentation et la différenciation Les étapes de la démarche : segmentation-ciblage-positionnement La segmentation par avantages recherchés La segmentation socio-démographique ou descriptive

à fait au même rythme. La part des demandes de devis par rapport aux connexions est d’ailleurs moins forte en année 3 qu’en année 2. Il semble donc que le site intéresse de plus en plus de consommateurs mais nombre de consommateurs continuent vraisemblablement à demander des devis via les moyens plus traditionnels : téléphone, fax, point de vente. Question 3 Piste de réflexion • Toucher une clientèle plus large (éloignement par rapport à l’UC, comportement multicanal de certains consommateurs…)

facteurs devaient concourir. »1 La formation professionnelle est ancrée dans une économie du savoir où « l’investissement dans le développement des hommes par la connaissance, la formation et l’expérience devront prendre de plus en plus de place par rapport à l’investissement matériel. »2 Longtemps considérée comme une simple obligation de dépense pour l’entreprise, la formation a évolué qualitativement et quantitativement au cours de ces trois dernières décennies. Elle a importé progressivement les

........................................... 139 1.2. CONCILIATION PERFORMANCE ET BIEN-ETRE : UN THEME D’ACTUALITE.........140 1.2.1. QUELQUES NOUVELLES TENDANCES .................................................. 140 1.2.2. LES PROPOSITIONS DU « RAPPORT BIEN-ETRE ET EFFICACITE » ..........141 A. LES MESURES IMPLIQUANT LES ACTEURS DE L‟ENTREPRISE ............... 142 B. LES MESURES LIEES AUX CONDITIONS DE TRAVAIL ............................ 143 2. LES PRECONISATIONS ..............................

dynamiques entre professionnels et institutions et atouts ou lacunes de ces dernières. VII PARTIE 1 Les modalités du DC4 La réforme du DEES en 2007 1 L’éducateur spécialisé exerce les fonctions suivantes1 . • • • • Il établit une relation, un diagnostic éducatif. Il assure un accompagnement éducatif de la personne ou du groupe. Il conçoit et conduit une action socio-éducative au sein d’une équipe. Il construit un cadre d’analyse et une expertise des pratiques éducatives et sociales.  Dunod –

séquence si nécessaire. 4 a) Faire identifier la situation de l’échange : à la radio (sur France Info), un journaliste et un intervenant spécialisé, dans une émission sur l’histoire de l’informatique. CORRIGÉ 4 : a) 1. L’apparition des premiers micro-ordinateurs. 2. Aux États-Unis dans les années 1970. 3. Philippe Nieuwbourg est directeur du musée de l’Informatique de Paris. b) 1. L’Apple 2 est une machine qui s’ouvre sur l’extérieur grâce aux cartes d’extension. 2. Application aux caisses enregistreuses

(quantitatifs) mais aussi qualitatifs. Dans tous les cas, la connaissance est liée à de l’interprétation. Les données ne suffisent pas toujours, il faut s’intéresser à leur mode de construction. Exemple : La situation de la Communauté française par rapport à celle de la Communauté flamande. Au niveau de l’enseignement, la Communauté française est en dessous de la moyenne européenne. Mais la moyenne n’est pas toujours un indicateur cohérent car la différenciation entre les meilleures écoles et les moins

(pour ce qui concerne les volets Diagnostic et Orientations) au Syndicat mixte SCOT de Lens-Liévin-Hénin-Carvin qui se mettait alors en place en 2003. Selon les termes de la Loi d’Orientation pour la Ville du 13 juillet 1991 renforcée par la loi relative aux libertés et responsabilités locales du 13 août 2004 et le décret du 4 avril 2005 1 4 METHODE D’ELABORATION Le PLH se compose de 3 documents correspondant à 3 phases de l’élaboration: Un diagnostic, ce qu’il faut savoir Cette première