Rapport De Meditel

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 Organisation de l’atelier technique de préparation du Rapport Genre 2009 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 Ateliers sur la Réforme Budgétaire axée sur les Résultats, intégrant la « dimension Genre » : renforcement des compétences des départements

CIH et de la BNDE. Sur la base d’un PER 20022 sectoriel estimé à 13,9x, la valeur de l’action BMCE ressort à MAD 354,8 soit une décote de 12,7% par rapport au prix offert dans le cadre de l’Offre Publique de Vente. Sur la base d’un Price /Book Value sectoriel 2002E de 1,4x, la valeur de l’action BMCE s’établit à MAD 428, soit une prime de 7% par rapport au prix de l’opération. 3- Synthèse des résultats obtenus 2 Calculé sur la base des cours en bourse au 17 janvier 2003 * Estimation BMCE Capital

réaliser un travail de meilleure qualité que le robot. Sa part augmente à nouveau dans la combinaison productive. 2-2- la productivité La productivité d’un facteur de production se définie comme : § le rapport entre la valeur de la production et la quantité de facteur utilisée, ou comme : § le rapport entre la valeur de la production et le coût du facteur (elle indique dans ce dernier cas, ce que produit 1 dh dépensé en facteur travail ou capital. Une productivité élevée signifie que l’Ese combine

crise[10] - Une spéculation boursière excessive : tout le monde cherche à faire du profit en achetant (souvent à crédit) et en vendant des actions. - Cette folle activité boursière cache une crise de la production : on produit trop par rapport à ce que les américains peuvent consommer. - En conséquence il y a de plus en plus d’actionnaires qui veulent vendre au plus vite. Le 24 octobre 1929 c’est le krach boursier : 13 millions d’actions sont mises en vente, les cours s’effondrent

disposent d’un site web et la moyenne des micros ordinateurs par entreprise est de 6 seulement. D’un autre côté, le rapport relatif au contrat progrès du secteur, élaboré par l’APEBI2 en 2001 confirme les résultats de cette étude et avance des chiffres encore plus alarmants en ce qui concerne l’utilisation de ces technologies par le marché professionnel. En effet, selon ce rapport, on estime le nombre des entreprises, tout secteur confondu, qui ont accès à l’Internet à 5%.3 Il semblerait d’après

du Maroc pour les investissements directs étrangers dans un monde fortement concurrentiel ..................................................................................................... 23 2.6. Positionnement mondial du Maroc selon certains rapports internationaux..................... 26 2.7. Opportunités sectorielles à l’international ........................................................................ 27 2.7.1. L’industrie automobile marocaine sur la carte mondiale des constructeurs..

............................................................................................................................................................................................................................................... 61 RAPPORT FINANCIER 2010 ÉTATS FINANCIERS ................................................................................................................................................................... 63 64 72 74 ...........................

7% 1,7% 1,0% 2000 5,6% 2003 2004 Croissance du PIB 2005 4,4% 4,6% 2,9% 2,4% 4,2% 3,5% 1,4% 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013E 2014E Croissance du PIB non-agricole Source : Rapports annuels Bank-Al-Maghrib, Estimations CFG Research pour 2013E, et Estimations CFG Research pour 2014E sur la base d’un consensus des prévisions de divers organismes nationaux et internationaux Le ralentissement des activités non agricoles s’explique

la période 2001-2007 contre 107 milliers d’hectares durant la période 1996-2000, 163 milliers d’hectares durant la période 1990-1995 et 78,7 milliers d’hectares en moyenne durant la période 1980-1989. Par contre, les rendements restent faibles par rapport au III Direction des Etudes et des Prévisions Financières potentiel observé lors des bonnes années agricoles : 10 et 12,6 quintaux par hectare durant la période 1980-1989, 5,9 et 11,9 en 1990-1995, 7,3 et 18,8 durant la période 1996-2000 et

ont été réalisés vers une société de l’information à la fois inclusive et capable de soutenir les efforts du Maroc à fonder son développement sur la richesse de son capital humain. Sans avoir la prétention de tout décrire et de tout régler, ce rapport est concentré sur l’essentiel, et son objet est de dresser le bilan de la stratégie e-Maroc 2010 et de baliser son évolution. C’est dans ce sens qu’il est structuré autour de trois thèmes principaux : Réalisations, Orientations et Plans d’action.