Rapport De Saint Just Au Nom Du Comité De Salut Public

sera aeeueilli sans trop de sévérité; e'est • une chronique et non pas une histoire, et il abdique de bon creur sa part de eette magistrature philosophique qui juge les siecles et les hommes, et modestement distribue les eouronnes d'immortelles au nom de la postérilé. 1 Les dernieres marqUlses.· (1774 - (178!J) Les dernieres marquises s' étaient transformées apres le regue charmant de Louis XV; l' école de Greuze, un peu sentimentale, re mpla~ait les élégances rubantées de \Vateau, de Bouchel'

fille ce jeu-là, les messieurs et les dames se jettent les uns sur les autres sans la moindre pudeur, et aussitôt les valets rappliquent. (Entrent Camille, Lucile et Lacroix) HERAULT : Quel sombre regard ! Tu as fait un trou dans ton bonnet rouge ? Le saint patron des jacobins avait sa tête des mauvais jours ? Il a plu pendant la guillotine ? Ou bien tu étais mal placé et tu n’as rien pu voir ? LACROIX: Encore vingt victimes aujourd’hui. Nous étions dans l’erreur : on a envoyé les hébertistes à l’échafaud

oppressant les minorités. Le terme politélia d’Aristote est remplacé par lui-même à la place de res publica. Notre régime actuel est possédé par le plus grand nombre mais a pour but le droit commun. L’idée même de République est un concept d’intérêt public, les pouvoirs souverains mènent en action dans un intérêt général qui dépasse les intérêts particuliers et qui vise le bien commun. A ceci s’ajoute l’idée de la République qui est intrinsèquement liée à l’idée de politique. L’activité la plus archaïque

société égalitaire. Mais d’abord sur le plan intellectuel, une révolution des esprits. Toutes les bases de la société, la conception de l’homme, est battu en brèche, on raisonne de manière différente. D’abord, on envisage le pouvoir, la société, les rapports de manière rationnelle, donc avec la raison. Car avant le système était irrationnel, sur le mystère divin. On s’axe sur l’homme et moins sur la société, donc un droit plus individualiste. PARAGRAPHE 1 : Une philosophie individualiste. C’est

déclaration et par la voix de Danton, les députés proclamèrent à l'unanimité la propriété sacrée. Collot d'Herbois proposa ensuite l'abolition de la royauté qui fut votée à l'unanimité également. Le 22 septembre Billaud-Varenne proposait que tous les actes publics portent désormais la date de l'an I de la République. Le 25 septembre enfin, Couthon proposait et faisait adopter par l'assemblée la devise "La République est une et indivisible". Ces préliminaires étant faits avec une apparente unanimité "l'Assemblée

jours plus tard en Assemblée Constituante. La prise de la bastille. Elle est provoquée par la concentration des troupes royales autour de Paris et de Versailles et, surtout, par le renvoi de Necker. Les électeurs du tiers état organisent un comité permanent une milice bourgeoise pour maintenir l'ordre. Ils demandent fusils à Launay, gouverneur de la Bastille, Il refuse. Un premier assaut coûte une centaine de morts aux assaillants, mais les gardes-françaises, amenant des canons pour briser

FRANCAISE INTRODUCTION : Un évènement fondateur de notre démocratie. Met fin à des millénaires de monarchie absolue, inspire la plupart des démocraties du monde en changeant le rapport au politique : le sujet devient citoyen, il décide de prendre par lui-même à l’administration de la vie publique. Bouleverse aussi les rapports sociaux, amenant la bourgeoisie à obtenir à la fois le pouvoir politique et économique et donc à participer à l’élite. Le retour en arrière est impossible, même si le XIXème siècle

relai dans toutes les provinces du royaume. L’idée véritablement c’est pour la monarchie de contrôler ce qui se passe sur le territoire pour cela on envoie des commissaires extraordinaires dans tout le royaume (ce sont des hommes de confiance du roi nommés et révocables sur un signe de tête du roi ce sont les intendants). Ces intendants sont un outil de la royauté et ils ont une mission qui est d’assurer le lien permanent entre les provinces et le roi. Ils disposaient de large pouvoir en matière de

citoyenneté politique en 1793 En 1793, lors de la Convention du 24 avril, Saint-Just disait : « le peuple français vote la liberté du monde. » Pourtant, c’est bien quelques mois plus tard, dans ce texte : Rapport du 9 brumaire an II [footnoteRef:1] sur l’interdiction des clubs de femmes que Jean-Pierre-André AMAR , au nom du comité de Sûreté générale, fera naître les prémices d’un décret sur l’interdiction des clubs

séparées. Alors que les députes de la noblesse et du haut clergé obéissent et s'en vont, les députés du tiers état et ceux du bas clergé restent immobiles. Bailly, élu président en tant que doyen, lance au marquis de Dreux-Brézé venu leur demander au nom du roi de partir, cette phrase : « Allez dire à votre maître monsieur, que la Nation assemblée n'a d'ordre à recevoir de personne », à la suite de laquelle Mirabeau rajoute: « Nous sommes ici par la volonté du peuple et nous ne partirons que par la