Rapport De Saint Just Le 10 Octobre 1793

presque rien y connaître, une cantate de sa composition. Il passa l’hiver 1730-1731 à Neuchâtel où il vécut de leçons. Au printemps, il était de nouveau sur la route, interprète d’un soi-disant archimandrite, archevêque de Jérusalem qui quêtait pour le Saint-Sépulcre. Il passa par Berne et Soleure et se rendit à Paris où, en 1731, il comptait devenir précepteur du neveu d’un certain colonel Godard : on lui offrit une place de laquais ! Aussi, à la fin de l’année, revint-il, pour la troisième fois, auprès

Jean-Antoine-Nicolas de Caritat | | | |(1793-1794) | |

société de la cour. Les « modernes ». Malherbe. Théophile de Viau. Saint-Amant. Tristan l’Hermite. (p.17) 5.Le roman et la nouvelle dans la première moitié du XVIIème siècle. L’influence espagnole. Honoré d’Urfé. Charles Sorel. (p.21) 6.Les mouvement des idées. Descartes. Pascal. (p.23) 7.L’essor du théâtre. Corneille. (p.29) 8.La préciosité. Voiture. Mlle de Scudéry. (p.34) 9.Molière. La comédie « à l’espagnole ». (p.36) 10.L’appogée du classicisme. Boileau. Racine. La Fontaine. (p.41) 11

indépendante les uns des autres, mais toujours en étroite relation avec leurs contemporains, Héraclite et ses confrères ont pensé l’homme dans la société, expliqué les fondements des organisations, des ordres et même imaginé d’autres sociétés, plus justes ou plus morales. A ce titre, on mentionnera les deux grands fondateurs de la morale politique : ← -427-347 av JC : PLATON ← -384 -322 av JC : ARISTOTE Près de deux millénaires plus tard, ces auteurs ont été relayés, avec la Renaissance

Jardins dc I'Obsen'atoire. L'extraordinaire manifcste apollinien de la liontainc dcs Quatrc panies du N{onde. Le templc lunaire du Jardin du Luxcrnbourg. l-e mètre-étalon et lc méridien. L'ancien siège du Grand Orient. L'église du mlstère. l,c gnomon Je Saint-Sulpice : la matérialisation dc l'axc du mondc. Autour de I'axc du monde : la droite, ia gauche et le l\lilierr. l-c I-ouvre : un palais sur )a routc du pôle. I-e Palais-Rrrval : un autrc palais sous l'idLnnce dc I'axe du monde. I)c l'influencc du

aujourd’hui moins favorable, ce qui amène à s’interroger sur l’état des forces en présence en définissant d’abord les deux notions en cause (I) et de présenter ensuite la situation actuelle de leurs relations. Une conclusion conflictuelle des rapports nous amène à envisager le recours à des moyens de coercition pour faire triompher le principe de légitimité démocratique avec des critères bien déterminés (II). I. Retour sur deux notions fondamentales du droit international : souveraineté

13. SOMMAIRE RIDICULE PATRICE LECONTE LE FILM LE RÉALISATEUR GENÈSE DU FILM PERSONNAGES DÉCOUPAGE SÉQUENTIEL DRAMATURGIE ANALYSE D'UNE SÉQUENCE MISE EN SCÈNE & SIGNIFICATIONS RETOURS D’IMAGES Frédéric Strauss, Michel Cyprien 2 4 6 8 9 10 13 16 INFOS INFORMATIONS DIVERSES 17 PA S S E R E L L E S DANS L’ESPRIT DU XVIIIe SIÈCLE AUTEUR ET/OU RÉALISATEUR 21 24 RELAIS PISTES DE TRAVAIL 25 L E R É A L I S AT E U R Patrice Leconte, inventeur de prototypes Patrice

être aujourd’hui moins favorable, ce qui amène à s’interroger sur l’état des forces en présence en définissant d’abord les deux notions en cause (I) et de présenter ensuite la situation actuelle de leurs relations. Une conclusion conflictuelle des rapports nous amène à envisager le recours à des moyens de coercition pour faire triompher le principe de légitimité démocratique avec des critères bien déterminés (II). I. Retour sur deux notions fondamentales du droit international : souveraineté

publiques est plus juridique et moins politique que celle des droits de l'homme. Cette notion n'est apparue en France que dans la constitution du second Empire 1852. Jusque la on se référait à LA liberté publique telle que dans la constitution du 24 juin 1793 puis du 4 juin 1814. 2) La portée On retrouve ce concept dans les droits de la presse, le principe de séparation de l'église et de l'état. L'article 34 de la constitution de 1958 consacre la notion de libertés publiques "la loi fixe les règles

telle société à telle époque. Le droit est l’art du bon et de l’équitable. Victor Hugo écrivait : « Qu’y a-t-il au dessus de la justice ? L’équité ». La notion d’équité est difficile à cerner, tout comme sa fonction et sa place par rapport au droit et à la justice. On oppose le droit strict[7] à l’équité : l’équité repousse la lettre de la loi, si celle-ci est contraire à la justice. Un adage romain dit : Summum ius, summa iniuria : « Droit extrème, suprème injustice ». L’adage est