Ratio Cooke

ainsi que l’équilibre de leur structure financière. Normes de gestion issues de directives européenne et prennent la forme de ratios prudentiels ou réglementaires Ratio de capital minimum : pour recevoir un agrément l’établissement de crédit doit posséder un montant de capital minimum (différent suivant le type d’établissement de crédit) Ratio de solvabilité : c’est le ratio qui doit permettre à la banque de maitriser son risque de crédit Trois comités de Bâle  Bâle I (1988) Bâle II  les

premier ratio de solvabilité, le Ratio Cooke (1988). Le Ratio Cooke posait une contrainte sur les fonds propres des banques, ceux-ci devant représenter au moins 8% du total de leurs engagements pondérés par le risque associé à chaque type de crédit. Les banques se sont donc vues imposer une norme de fonds propres dits « prudentiels ». Cette réglementation bancaire n’étant pas suffisante, ont suivis les accords de Bâle II (2006) qui ont établis un nouveau ratio, le ratio Mc Donough. Ce ratio maintient

......... 22 Sous chapitre 3 : Les mesures réglementaires. .............................................................. 23 4 Etude du risque des crédits bancaires. Section 1 :Le ratio COOKE ou coefficient de solvabilité. .............................................. 25 1. Modalités de calcul du ratio de solvabilité. .................................................. 25 1.1 Analyse technique du numérateur : Les fonds propres nets...................... 26 1.2 Analyse technique du dénominateur

● Des actions de cet émetteur ● Une option d’achat sur les actions de cet émetteur ● Un Crédit Default Swap (R) ● Il n’est pas possible de se prémunir A6) Le ratio de Cooke c’est: ● Un ratio de solvabilité bancaire (R) ● Le ratio entre Le prix d’une action et son rendement ● Le ratio entre le coupon couru d’une obligation et le coupon total ● Le rapport entre les liquidités qu’une société ne peut pas prêter et ses fonds propres (R) A7) Un émetteur qui

pour la quasi-totalité des banques internationales. Toutefois, le ratio de solvabilité actuel ne constitue plus qu’une mesure simplificatrice des risques auxquels une banque est exposée et ne permet pas de prendre en compte les nombreuses évolutions technologiques qui ont eu lieu dans le domaine de la finance. C’est donc afin de remédier à ces insuffisances que le Comité de Bâle a entamé, dès 1998, une réflexion sur la réforme du ratio de solvabilité, avec les objectifs principaux : •Construire

réglementations : Comité de Bâle Bâle 1 en 1988 Mise en place du ratio Cooke, limiter le risque de crédit. La banque couvre ses pertes par ses capitaux propres. En l’absence de capitaux propres, la banque utilise les dépôts des clients ou fait des emprunts. Un niveau important de fonds propres permet d’éviter la faillite de la banque face à des pertes. Ratio Cooke : Mt des fp réglementaires/ Mt des engagements de crédit > 8% Bâle 2 en 2004 : Ratio MacDonough -Affine la mesure de risque de crédit -Prise

processus de gestion des risques -3- Section 3 : règlementations et exigences prudentielles Section 4 : les faiblesses de Bâle I C hapitre III : La nouvelle reforme de coefficient de solvabilité Section 1 : Pilier I: fidélité à l'esprit du ratio et adaptation avec des exigences en fonds propres renouvelées Section 2 : la surveillance prudentielle et la discipline de marché -4- INTRODUCTION GÉNÉRALE -5- La modélisation des échanges, les émergences de nouvelles zones économiques

tentatives pour prévenir les risques liés à la globalisation financière : C- Des tentatives fragmentaires : 6) Au niveau micro économique : * amélioration de la réglementation prudentielle internationale : ex du ratio Cooke et de son processus de révision (Bâle II) * taxation des mouvements de capitaux : la taxe Tobin. 7) Au niveau macro économique : * tentatives de stabilisation des taux de change depuis les accords du Plaza

exemples III. Les accords de Bâle I 1. historique du Comité de Bâle 2. le ratio de COOKE 3. le processus de gestion des risques a. Évaluation des risques b. Gestion et contrôle des risques c. Surveillance permanente des risques 4. Réglementation et exigences prudentielles a. Adéquation des fonds propres b. Gestion du risque de crédit c. Gestion de la liquidité 5. Insuffisances des anciens accords Conclusion CHAP 2 : La réforme du ratio de solvabilité Introduction I. Les préalables à la mise en oeuvre de

plutôt de les inciter à limiter les prises de risques excessifs. (Heinrichs, 1999) La stabilité des banques est possible en renforçant les exigences en fonds propres car cette période de crise a été accentuée par une importante dégradation des ratios de solvabilité des banques internationales. Une banque est, en effet, plus crédible si une partie de son actif circulant est financé par du capital, plutôt que par des créances courts terme. (Gourieroux et Tiomo, 2007) C’est dans ce contexte que