Ratio Cooke

l’obligation de détenir un minimum de capitaux propres constitue une façon de réduire le risque moral car la banque a plus à perdre en cas de défaillance. * Le ratio de solvabilité brute : il se définit par le rapport des capitaux propres et le total des actifs du bilan, il donne une mesure brute de la sovabilité. * Le ratio de levier financier : il indique combien d’unités d’actifs rémunérateurs peuvent générer chaque unité de capitaux propres détenue par la banque. La banque s’endette

a été créé fin 1974 par les gouverneurs des banques centrales du G 10 (onze pays: Allemagne, Belgique, Canada, Etats-Unis, France, Italie, Japon, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède et Suisse). Le Comité était initialement appelé le « Comité Cooke », du nom de Peter Cooke, directeur de la Banque d'Angleterre qui avait été un des premiers à proposer sa création et fut son premier président. Le Comité se compose aujourd hui de représentants des banques centrales et des autorités prudentielles de 27 pays

l’accord de Bâle1. Le dispositif d’accord Bâle1 : ratio Cooke Le centre de l’accord de Bâle1 était le ratio Cooke appelé par référence au président du comité de Bâle. Les participants dans ce comité ont abordé ce ratio international de solvabilité. Depuis sa publication, il est appliqué par les banques. Il définit les exigences en fonds propres qu’elles doivent respecter en fonction des risques requis. L’accord Bâle1 dit que le ratio des fonds propres réglementaires (au sens large) d’un

de la BRI a défini un ratio de capitalisation, le ratio Cooke. Ce ratio qui constitue une norme prudentielle internationale applicable à tous les établissements bancaires, permet de vérifier que les banques disposent de réserves proportionnelles à leurs engagements à hauteur d’au moins 8 %. Le Comité de Bâle s’est engagé depuis quelques années dans une réforme du ratio Cooke, ce qui a débouché sur la mise en place d’un nouveau ratio prudentiel, le ratio MacDonough. Ce ratio définit de nouvelles

............................................................. 5 1ERE PARTIE : LA MODELISATION DU RISQUE DE CREDIT DANS UN NOUVEAU CADRE PRUDENTIEL : UN EXERCICE COMPLEXE ..... 10 CHAPITRE 1 : L’EVALUATION DU RISQUE DE CREDIT DANS LA REFORME DU RATIO COOKE .............................................................................................. 12 SECTION 1 : UN TRAITEMENT DU RISQUE DE CREDIT PLUS EXHAUSTIF ET MIEUX DIFFERENCIE EN FONCTION DU NIVEAU DE RISQUE ..............................

particulier respecter des ratios de couverture et de division des risques. » Ces normes de gestion sont des normes quantitatives qui permettent d’évaluer les risques encourus pour limiter au maximum les perturbations financières. En France, le comité de la réglementation bancaire et financière (CRBF) [8] a pris en compte les premiers travaux du comité de Bâle [9] et les directives communautaires pour définir ces normes autour de la notion de fonds propres. Deux exemples : ( ratio de solvabilité (inspiré

international, a proposé une réforme du ratio COOKE en 99. =>Ratio jugé insuffisamment adapté aux nouvelles techniques de gestion bancaire => A travers le piler 1 : exigence mini en FP, Naissance du ratio MC DONOUGHT qui entre en vigueur en 2007 et 2008 en fonction de la méthode de calcul choisie par l’établissement b-MC DONOUGHT impose une pondération plus fine des risques de crédit Le ratio MAC DONOUGHT remédie à l’aspect mécanique du ratio COOKE qui n’est plus adapté à la sophistication

du risque systémique * Bale I : ration de cooke, ratio prudentiel * Fonds propres +8% risque pondéré * * Bale II * 3 piliers * 1° exigence minimale de fonds propres : nouvelles approches de calcul ratio Mcdonough * 2°surveillance des autorités prudentielles : évaluation des risques, dotation en capital spécifiqueà chaue banque. * 3°Transparence et discipline de marché * * Bâle III * Solvabilité revue ratio * * * * *

élaborer des règles prudentielles internationales Suite a une initiative de P. Volcker (président de la FED) en 1984, le comité de Bâle, réuni sous l’égide de la banque des règlements internationaux et présidé par M. Cooke, a défini en 1988 un ratio de capitalisation (dit ratio Cooke). Ce ratio, qui constitue une norme prudentielle internationale applicable à tous les établissements bancaires, permet de vérifier que les banques disposent de réserves proportionnelles à leurs engagements à hauteur d’au moins

sommer introduction Générale Partie I : Le risque de crédit : Principal risque bancaire Chapitre I: LE RISQUE DE CREDIT : cadre réglementaire Section 1 : Définitions du risque de crédit Section 2 : Le Ratio européen de solvabilité  Section 3 : La réforme du comité de Bâle II  Chapitre II : La gestion du risque crédit Section 1 : La stratégie bancaire en matière de gestion du risque crédit  Section 2 : Gestion des Fonds propres bancaires et risques  Chapitre IiI : L'analyse du risque