Rationalisme

lensemble des facteurs qui peuvent lexpliquer). J.-J. Rousseau (1712-1778) Sa thorie (quil expose dans le DOIH) est que lhomme est naturellement bon mais il est corrompu par la socit. il oppose la vie sociale un tat de nature. Il utilise la mthode du rationalisme intgral (synthse entre la dduction et lintrospection) il part de son propre malaise et llargit lensemble de la population, tout en restant objectif et rationnel. Condorcet (1743-1794) Il est surtout connu pour ses actions rvolutionnaires. Il sintressait

en évidence les structures essentielles de la conscience. La conscience n'est pas substantielle, c'est une réalité expérimentée par le sujet transcendantal. Elle est constituée d'un ensemble d'actes. Husserl dans une volonté de s'ancrer dans le rationalisme détaille d'ailleurs une typologie des actes de conscience. L'importance de la rationalité La conscience constituante confère à l'être son intelligibilité qui le rend pensable. Husserl parvient à fonder une philosophie rationnelle à partir


on
voit
sur
le
plan
artistique
que
beaucoup
d’artistes
 tentent
de
donner
au
plaisir
la
part
qu’il
n’a
jamais
eu
auparavant.
Le
plaisir
est
mis
à
 l’honneur.

 
 2.
Le
18ème
siècle
va
également
être
partagé
par
une
querelle
très
célèbre
qui
oppose
 deux
pans
massifs
de
la
philosophie
:
le
rationalisme
d’une
part
(Kant)
et
l’empirisme
 d’autre
part.

 Cette
querelle
est
présente
bien
avant
mais
particulièrement
forte
à
cette
période.
On
 peut
y
déposer
deux
noms
qui
la
symbolise
:
Descartes
et
Locke.
 
 Descartes
est
le
grand
adversaire
de
la
sensibilité

qu'elles concernent l'homme dans son humanité intrinsèque, mis à part ses particularités, qui le rattachent à tel ou tel groupe ethnique, religieux, économique ou culturel. En revanche, les grandes options fondamentales (spiritualisme, matérialisme, rationalisme, existentialisme, humanisme), loin de s'exclure absolument, s'entrecroisent dans le champ doctrinal de la philosophie. Elles ont ainsi produit et ne cessent de produire, par alliance ou par détachement, de nombreux courants philosophiques particuliers

moderne" (1932), "Les intuitions atomistiques" (1933), "Le nouvel esprit scientifique" (1934), "L'expérience de l'espace dans la physique contemporaine" (1937), "La formation de l'esprit scientifique" (1938), "La philosophie du non" (1940), "Le rationalisme appliqué" (1949), "L'activité rationaliste de la physique contemporaine" (1951), "Le matérialisme rationnel" (1953). Ensuite une partie portant sur l'imagination créatrice, avec notamment "La psychanalyse du feu" (1938), "L'eau et les rêves" (1942)

réflexion est une seconde source de connaissance, à part entière : c’est l’entendement, la faculté à comprendre, qui produit les idées complexes de substance, de qualité, de relation de cause à effet, etc. En ce sens, l’empirisme n’est pas opposé du rationalisme (une doctrine fondant toute connaissance sur la raison) : il en est seulement une autre modalité, qui prête plus d’attention au rôle de l’expérience, mais n’y réduit pas toute connaissance. Ici, l’auteur prend en compte tout type d’expérience

Quand Pascal dit qu’il est excessif de n’admettre que la raison ou qu’il y a une infinité de choses qui la surpassent, il veut circonscrire un champ d’action à la raison. Mais, ce faisant, il remet en cause la toute puissance de la raison, un rationalisme dogmatique, qui de Socrate à Descartes avait pour ambition de tout connaître, de tout expliquer. Alors, après avoir affirmé que les choses naturelles surpassent la raison, il s’interroge sur les choses surnaturelles. On voit bien qu’il s’oppose

quel point donné. De ce fait si l'une est acquise, l'autre est automatiquement exclue. Et pour fait, ces deux notions ont des définitions très distincte l'une de l'autre. La science est reconnue comme étant une connaissance, qui fait appel au rationalisme, et qui s'organise de façon objective et méthodique, elle ne reconnaît que ce qui est définit par preuve mathématiques. Alors que la religion repose sur des dogmes, des croyances qui font appel à la foi. Mais la science et la religion font-elles

qui ne donnerait plus l'apparence de la vérité que la vérité elle-même. Comment distinguer le vrai du véridique et du vraisemblale ? Existe t-il des différences de degré entre ces notions ou faudrait-il les distinguer par nature, comme le fait le rationalisme classique (philosophes grecs) ? Où se situent les vérités premières dans leur rapport à la vérité ou justement à l'erreur ? Autrement dit, peut-on dire qu'il n'y a pas de vérités premières, qu'il n'y a que des erreurs premières ? Nous verrons

dans notre exposé. Nous commencerons pas des idées axées sur le relationismes, puis certifierons la vérité des mathématiques par la raison, tout en énoncant leurs limites, enfin nous terminerons sur les idées relativistes quant à ce sujet. Le rationalisme est une croyance qui définit la seule source de toute connaissance comme étant la raison. Ainsi, pour le rationaliste, même ce que l'on observe, c'est à dire le réel, le concret, ne serait qu'une démonstration par la raison. Ce réel ne serait reconnu