Rationalité économique

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .24 5.1 Une organisation transverse du sourcing . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .24 5.2 Rationalité économique d’un projet de sourcing : «un raisonnement en coûts complets» . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24 5.3 Le choix des produits à sourcer . . . .

par la raison La raison établit des liaisons nécessaires entre les choses ou les êtres ou les évènements. La raison relie la cause à l’effet car le raisonnement logique veut que tout effet ait une cause, une raison. C’est ce qui s’appelle la RATIONALITE (caractère de ce qui est rationnel). Ce qui est rationnel est : - ce qui appartient à la nature de la raison et qui est conforme à son caractère (concepts, manières de raisonner, catégorisations, méthodes hypothético-déductives …etc.)

absolument impossible d'aborder une connaissance globale et détaillée de l'Univers et plus encore, de situer dans l'instant, une connaissance ponctuelle dans la totalité de ses relations au sein du système cognitif auquel elle appartient. La rationalité restreinte limite considérablement le nombre de données manipulables dans une analyse cognitive. Nous avons seulement le choix entre une appréhension très large avec une définition très médiocre ou une analyse détaillée dans un champ restreint

partir de Darwin, s'oppose non seulement au fixisme, mais à l'idée même de dessein divin dans la mesure où elle fait reposer l'évolution sur des modifications ou mutations hasardeuses, qui sont ensuite sélectionnées par l'environnement. Ici la rationalité scientifique vient mettre en question un dogme, un point de doctrine religieuse fondamental. La religion peut-elle être l'objet d'une critique rationnelle? La religion peut se définir comme ensemble de croyances – dogmes – et de rites reliant l'homme

preuve suffit à disqualifier le préjugé. Cependant, justement parce que le préjugé n'est pas hypothétique, il a un caractère définitif qui le situe hors d'atteinte de toute argumentation. Que peut la raison si on refuse au départ les armes de la rationalité ? La preuve fonde, mais le préjugé se passe de fondement. Il n'a donc que faire d'une preuve. La preuve ne peut que débouter une autre preuve en montrant son invalidité. Cette question rejoint donc la question plus large des relations entre la

de pouvoir agir efficacement, mais également de réfléchir à la construction d’une « morale politique ». Car La raison d’Etat a pour objectif de mettre en avant le pouvoir de l’Etat. Cependant, elle place au cœur de la vie politique un mélange de rationalité et d’irrationalité, de règle mais aussi d’exception et de clarté et d’ombre ce qui fait que La raison d’Etat finit par brouiller complètement les repères entre les distinctions. Tout ce qui est vrai en politique se trouve par conséquent dans l'apparence

débat intérieur conscient ou / et inconscient qui existe en chaque homme. Goldmund et Narcisse sont deux entités humaines différentes certes mais peuvent et doivent aussi être considérés comme étant la représentation du devoir, de la raison, de la rationalité (Narcisse) et comme étant une représentation plus instinctive de la vie dans ses plus simples exigences (Goldmund). L’amour que se portent ainsi Narcisse et Goldmund, n’est en rien pervers, et ne représente que la réunion de ces deux « moi »

générale, portant par exemple sur la moralité de l'argent, sujet intraitable s'il en est tant il est susceptible de recevoir de réponses contradictoires dont on aurait peu de chances de sortir. Il faut ici bien considérer la relation qui unit la rationalité de l'argent et le vices auxquels il est prétendument attaché; se demander par exemple en quoi l'univers de calculs et de chiffres qui est celui de l'argent menace les valeurs humaines. - On voit peut-être mal dans un premier temps ce que les chiffres

croire. Bien plus, la foi se fonde sur des données de vérités admises comme objectives par l’intelligence d’une même communauté croyante et ne peut pas s’opposer a priori à la raison. En fait, la foi mue par l’intelligence des choses divines a sa rationalité propre. L’objectivité que revendiquent les vérités de foi incline à reconnaître que c’est à l’intérieur même de la foi que les dogmes sont accessibles à la raison humaine. La raison qui croit et la raison logique sont aux antipodes. L’irrationnel

* En toute rigueur, subjectif signifie: qui est propre au sujet, qui appartient au sujet dans la mesure où c'est du domaine de la conscience. - Le jugement comme affirmation qui relie deux concepts est, bien entendu, d'abord un phénomène subjectif: ce n'est que par son expression verbale qu'il devient un phénomène objectif. On peut noter, qu'avec Kant, toute connaissance est subjective (le sujet ne retrouve dans l'objet que ce qu'il y a mis), ce qui signifie qu'elle participe