Rationnement De Crédit

GBAGUIDI ϭϮ Analyse des déterminants de l’investissement public et ses effets sur la croissance économique du Bénin. environnement de crédits octroyés de manière discrétionnaire, et donc à aggraver le rationnement de crédit. En fait, pour Mckinnon et Shaw, il faut plutôt des taux d’intérêts élevés pour générer de l’épargne, laquelle épargne accroîtra le crédit nécessaire au financement de l’investissement et par conséquent accroître le niveau de l’investissement. En outre, Blejer et Khan (1987)

affole les marchés, les taux d’intérêt augmentent et les États se trouvent en incapacité de trouver d’autres fonds pour financer leur emprunt et alourdissent donc encore plus leur dette. De plus, l’abaissement d’une note occasionne un credit crunch (rationnement du crédit) craignant une insolvabilité de l’emprunteur. On peut prendre l’exemple de la Grèce qui, depuis l’abaissement de sa note à un taux beaucoup plus élevé que ses voisins européens. Au vu des problèmes constatés des agences de notation

>>> NON a) Les origines de cette crise. Erreurs des dirigeants Emprunts irresponsable = Prêts irresponsables sur marchés internationaux du crédit -Les prêts à des gouvernements étrangers bcp plus risqués car pas de sûreté accessoire(ex :maison),les gouvernements n’ont qu’une peur : arrêt des comptes de la part des marchés internationaux de crédit. -cercle vicieux : impossibilité de financer les dépenses d’impôts nationaux/dette intérieure les poussent à emprunter à l’étranger. -Les obligations

l'investissement débouchera sur un gain futur) de l'emprunteur, constituant ainsi un obstacle à l'octroi de crédit dans ce sens. Dès lors, le marché du crédit destiné au financement du capital humain est moins parfait que celui destiné à financer du capital non humain (machines etc). Dans ce cadre, les enfants des catégories modestes sont plus touchés que les autres par le rationnement du crédit à l'éducation car ils ne peuvent pas (ou peu) compter sur l'aide financière de leurs parents. 4) L'incorporation

Recherches Présentation L’ accès au financement a toujours été l’une des préoccupations fortes du secteur de l’artisanat, conduisant, dès le début du XXe siècle, à la constitution de banques artisanales(1), telle en 1917 « l’Institution de Crédit Populaire » devenue aujourd’hui la Banque populaire. Ce problème persistant, les institutions de secteur ont créé, durant les années 1950 et 60, les sociétés de caution mutuelle. Aujourd’hui, dans un contexte persistant de crise et de mutations

deux crises. La stagnation du revenu salarial débouche en 1929 sur une crise de surproduction qui précède l’éclatement de la bullefinancière. En 2006, compte tenu de la stagnation du revenu médian, le développement de l’endettement privé alimenté par le crédit hypothécaire a été le principal moteur de la croissance américaine après l’éclatement de la bulle internet en 2000. * 1229 : ------------------------------------------------- Grande Dépression La Grande Dépression, dite aussi crise de 1929

ou la courbe d’offre agrégée. Chômage conjoncturel : chômage associé aux fluctuations économiques de court terme ; écart du taux de chômage par rapport à son taux naturel. Chômage d’attente : chômage résultant de la rigidité des salaires et du rationnement de l’emploi. Voir aussi chômage frictionnel. Chômage frictionnel : chômage provoqué par le temps qu’il faut aux travailleurs pour rechercher et trouver les emplois correspondant le mieux à leurs capacités et à leurs goûts. Voir aussi chômage d’attente

scripturale (compte) La monnaie connaît une tendance à la dématérialisation puisqu’elle se présente principalement sous forme d’écriture sur un compte. LA CREATION MONETAIRE La création monétaire est liée au crédit accordés par les banques à leurs clients Lors d’un remboursement de crédit, il y a destruction de monnaie, la masse monétaire tend à diminuer Inflation : L’excès de monnaie fait perdre de la valeur à l’euro. Rôle de la banque de France : Appliquer le taux directeur , Créer et émettre

l’automobile et de l’immobilier. La crise 1. La crise boursière, jeudi 24 octobre 1929 * Anticipation de la croissance => hausse des cours démesurée. L’ampleur des mobilisations financières nécessaires pousse les banques à limiter les crédits en 1929, ce qui rend la spéculation très dangereuse. * La Réserve Fédérale est alors face à un dilemne : relever son taux d’escompte pour défavoriser les prêts des banques aux courtiers, freinant la spéculation, au risque d’affaiblir les monnaies

revenu courant : C1 < Y1 -> consommation en période 1 < revenu en période 1 = rationnement du crédit ou contrainte de liquidité. Le consommateur doit donc satisfaire deux contraintes (fig 6) : la CBI et la contrainte de liquidité. Fig 7 : L’optimum du consommateur en présence d’un rationnement du crédit Fig 7-1 : le consommateur situe sa consommation en deçà de son revenu -> le rationnement du crédit n’affecte pas sa consommation. Fig 7-2 : Le consommateur souhaiterait emprunter et