Réalité augmentée

de cette période, il y a le champ lexical de la progression difficile comme ''enjamber'', ''barricades''. On sort du cadre réaliste pour aller vers une vision épique du magasin. Dans la seconde période qui commence à ‘‘mêmes ravages’’, il y a une réalité puis une vision poétique avec le champ lexical de l'érotisme, ''lingerie'', ''déshabillé'', '' un peuple de femmes''. Finalement nous pouvons apercevoir les différentes visions du narrateur, on passe du réalisme à l'imaginaire. La construction de

1 : Bergson donne comme définition de l'artiste celle d'une personne qui saisit mieux que les autres hommes la réalité authentique des choses car il les voit telles qu’elles sont , c'est à dire sans ce voile , ces conventions interposées entre l'objet et l'Homme lorsqu'il regarde ces objets . Pour lui une personne qui est capable de dépasser ces conventions et de voir la réalité elle-même est un artiste ! Il l'établit par un processus bien précis . Il semble d'abord mettre en évidence

logiquement ? A ce que l’état de possession de l’objet désiré soit au moins aussi heureux que l’état de désir, il se pourrait même que l’état de possession soit plus heureux puisqu’à l’immatérialité de l’imagination vont succéder la matérialité, la réalité de la possession, avec la jouissance, c’est-à-dire le plaisir qui devrait en découler. Toutefois, il faut aussi se souvenir de la mise en garde de la première phrase du texte: « Malheur à qui n’a plus rien à désirer! », ce qui signifie que celui qui

par mes conditions de vie matérielles, et dont la conscience ne peut être que le reflet inversé et idéalisée, un peu comme toute idée, épiphénomène de la réalité. Je suis victime d’une idéologie de classe, et je ne suis classée que par mon capital économique. Cela voudrait signifier que ma conscience pense appartenir à une classe, mais qu’en réalité cette classe n’est pas la mienne, donc ma conscience ne serait pas qui je suis. Donc aucun homme ne peut juger de sa situation, de sa grandeur et de sa

s’agit d’un récit à la fois réaliste et aux frontières du réel : Réaliste : évocation de la ville qui symbolise les grandes villes et leur corruption : « voyou » une atmosphère d’un monde un peu flou, ou rêve et réalité. -> Mise en place d’un décor urbain, transposition d’une réalité quotidienne dans un univers de poésie. -> Deuxième aspect original et moderne. - Une souffrance exprimée, mais avec modération. En effet, il y a l’expression là d’un amour sincère et déçu : Apollinaire cache sa souffrance

p.309 : « Ne sait-tu pas,..., que les hommes se perdirent justement parce qu'ils avaient voulu épargner leur peine ? » : François rappelle qu'en ayant conçu des machines qui faisaient tout à leur place, les hommes ont perdu le contact avec la réalité, le goût de l'effort, la connaissance du monde. C'est ce qui les a conduit à leur perte lorsque leurs machines se sont arrêtées de fonctionner. Thèmes : La civilisation de haute technologie. La dégradation du monde après l'arrêt des machines

de successeur, est abstrait (construit) sans être général. Discussion Les problèmes posés par le couple abstrait/concret concernent les rapports entre la pensée et la réalité. Le concret est souvent considéré comme ce qui nous ancre dans la réalité. Plus la pensée est éloignée de la réalité, et, plus particulièrement de la réalité immédiate et familière, plus elle est abstraite. De là une certaine méfiance vis-à-vis de l'abstraction. Les termes qui désignent des choses perceptibles sont dits "

tous nos désirs choisis, plutôt que de laisser libre court à notre imagination, et donc à nos désirs les plus fous ? Descartes affirme que pour être heureux, il faut éviter tout tourment lié à nos désirs chimériques en conformant nos désirs à la réalité. En effet, dans le Discours de la méthode, Descartes énonce sa troisième maxime consistant à modeler ses désirs selon le cours des choses, plutôt que de changer le cours des choses selon ses désirs. Après avoir affirmé sa thèse, Descartes, s’appuyant

diverses esthétiques littéraires, comme la reproduction, la plus fidèle possible, de la réalité. » Il réfère indubitablement à l’idée de vraisemblance. On s’interroge à savoir si une telle histoire aurait pu se produire. Par l’idée de vraisemblance, on peut affirmer que Les bonnes soit une pièce de théâtre réaliste en ce sens où elle n’est ni fantastique, présentant des éléments surnaturels dans la réalité quotidienne, ni merveilleuse, puisque l’histoire se déroule dans des lieux appartenant à

de la vérité qui seule nous (re)donne contact avec la réalité. C'est cela que donne à voir par la seule force de sa mise en scène maïeutique le film de Lumet. Pour cela je vais m'appuyer sur deux exemples tirés du film, à savoir des extraits mettant en scène le monologue de deux personnages. Le point commun à ces deux monologues est que les deux personnages dévoilent les a priori qui les empêchent de concevoir comme possible l'innocence de l'accusé. Ils n'essaient pas de comprendre ce qui s'est