Récepteur membranaire

membrane plasmique • Mosaïque fluide (Singer et Nicholson) • Bicouche lipidique semi-perméable (10 nm) • Pas de stérols ni de lécithine phospholipides Régions Hydrophile Hydrophobe Hydrophile Protéines Transport Métabolisme énergétique Récepteurs Transport à travers la membrane plasmique • Diffusion passive (O2, CO2…) • Diffusion facilitée (Substrats concentrés…) • Transport actif (perméases): – Nécessite de l’énergie – Substrats peu concentrés – Systèmes spécifiques Métabolisme

pathogène n'endommage ni ne tue l'hôte; c'est pour cette raison qu'on le dit avirulent. Cependant, l'éliciteur peut se lier à un récepteur protéique situé sur la membrane ou dans le cytoplasme d'une cellule végétale. Le récepteur protéique est le résultat d'un gène de résistance (R). On appelle cette interaction «relation de gène à gène». Lorsque l'éliciteur se lie au récepteur, il déclenche une cascade de réactions (conversion-amplification) à l'intérieur de la cellule qui peut mener à une réaction d'hypersensibilité

nerf moteur chez le calamar et le tentacule a bougé, il y a une action.Pendant le sommeil lent et paradoxal, l’activité cholinergique est lente. C’est sous l’influence des rythmes circadiens liés au thalamus que cette activité a lieu. RECEPTEURS Ionotrope : récepteur-ligand : ROCMétabotrope : Grâce à une protéine G, fonctionnement associé à un métabolisme cellulaire. Le second messager interviendra sur un canal ionique adjacent pour induire la réponse, ou la cascade de signaux. Si le 2nd messager

cerveaux est modifiée car l'alcool est une substance psyco-active, c'est à dire dont la structure moléculaire ressemble à celle des substance fabriquée par l'organisme. Ainsi l'alcool pourra se fixer à la place de substances organiques sur les recepteur membranaires des neurones. - Les zones touchées sont le langage, l'équilibre, mais aussi les facultés visuelles, qui nécessitent la coordination de différents muscles à l’origine des mouvements des yeux. Il suffit d’avoir bu deux verres (0,4g d’alcoolémie)

gastrique) → sécrétion de bicarbonates par les cellules canalaires du pancréas (par intermédiaire de récepteurs de la membrane basale. - Lipides +AA dans la lumière duodénales → libération de cholécystokinine CCK par les cellules duodénales et jéjunales → contraction et vidange biliaire de CCK→ ↑ Ca²+ cytosolique au niveau des cellules acineuses pancréatiques (par intermédiaire de récepteurs membranaires) → exocytose des grains de zymogènes dans les canaux pancréatiques. - La sécrétine et CCK ont une

mammifères16. Le cerveau des vertébrés est d'un tissu mou et d'une texture gélatineuse17. De manière générale, le tissu cérébral vivant est rosâtre à l'extérieur et blanchâtre à l'intérieur. Le cerveau des vertébrés est enveloppé d'un système membranaire de tissu conjonctif, les méninges, qui sépare le crâne du cerveau18. De l'extérieur vers l'intérieur, les méninges sont composées de trois membranes : la dure-mère, l'arachnoïde et la pie-mère. L'arachnoïde et la pie-mère sont étroitement connectées

stimulant le plus puissant de la sécrétion d’insuline et il conditionne l’action de tous les autres stimuli. Son métabolisme dans la cellule b génère des cofacteurs dont notamment l’adénosine triphosphorique, à l’origine de phénomènes électriques membranaires et de mouvements ioniques aboutissant à l’entrée massive de calcium dans la cellule et à la stimulation de l’exocytose. Les facteurs modulateurs de la réponse sécrétoire au glucose agissent essentiellement via des protéines Gs ou Gi (modulation

évidence des CAM avec l’expérience d’un embryon de poulet. = technique immunologique. On a pu ainsi mettre en évidence les L-CAM et les N-CAM . 2. Les immunoglobulines Elles existent sous forme soluble = anticorps et sous forme membranaire Leur adhérence ne dépend pas du calcium . Les N-CAM appartiennent à la super familles des Ig. Il y a 3 formes : - de 180 kDa : extracellulaire, ancrée par un groupement phosphatidyl-inositol ( interagit pas ac le squelette) - de 140

éléments du virus, elle signale donc qu’elle est infectée. Par la suite deux types de lymphocytes entrent en jeu : les lymphocytes T4 qui vont activer les lymphocytes B qui vont produire des anticorps. Il y a également des lymphocytes T8 qui ont des récepteurs TCD8 qui reconnaissent un antigène donné, la prolifération clonale débute. Ces lymphocytes T8 se différencient en lymphocytes T cytotoxiques grâce aux interleukines sécrétées par les LT4 auxiliaires.Les lymphocytes T cytotoxiques contiennent des

interagit
avec
une
cible
moléculaire
de
la
cellule.
 France
:
5
300
produits
«
médicaments
»
pour
11
200
 présentaMons.
 
II
‐
Cibles
moléculaires
cellulaires

 des
médicaments

 =
cibles
pharmacologiques
:
 ‐ 
Récepteurs
membranaires
:
45%
 ‐ 
Enzymes
:
28%
 ‐ 
Canaux
ioniques
:
5%
 ‐ 
Transporteurs
de
molécules
:
2%
 ‐ 
Récepteurs
régulant
transcrip3on
de
l’ADN
:
2%
 ‐ 
Autres
diverses

 
 
 
 
3000
molécules
médicamenteuses

 
pour
seulement
1000
cibles
moléculaires
 
validées.
 Génomique – Protéomique Métabolomique