Recettes publiques

Définition de la politique budgétaire. La politique budgétaire constitue, avec la politique monétaire, l’un des principaux leviers de la politique économique de l’État. Elle consiste à utiliser certains instruments budgétaires (dépenses publiques, endettement public, prélèvements fiscaux) pour influer sur la conjoncture économique. Le budget de l'Etat est une loi (la "Loi de Finances") votée chaque année et autorisant l'Etat à  prélever certaines ressources (impôts et taxes) et à  dépenser

faire un profit. Des biens et services non marchands sont généralement produits par les administrations publiques et sont vendus ou distribués à un prix inférieur ou égal à leur coût de production. Le but d'une entreprise est de maximiser le profit. 2 - La diversité des entreprises Les entreprises peuvent prendre des formes très variées. On distingue tout d'abord les entreprises publiques des entreprises privées. Une entreprise privée est une entreprise où la majorité du capital est détenu

presque. C’est donc la puissance publique qui en assure le financement. Enfin les externalités. Celles-ci peuvent être positive ou négative, elle est positive quand un agent bénéficie de l’action d’un autre agent sans en supporter les couts. Et d’autres sont négatives quand un agent est pénalise par l’action d’un autre sans être dédommagé. Le marche ne peut pas non plus être efficace sur les externalités car il n’ya pas un prix ni de quantité. C’est donc la puissance publique encore une fois qui mène cette

Présentation de la pression fiscale et ses mesures 1. Définition de la pression fiscale 2. Mesure de la pression fiscale a. Taux de prélèvement obligatoire b. Taux de pression fiscale 3. Composition du taux de pression fiscale a. Les recettes fiscales b. Le produit intérieur brut c. Les charges sociales II. La pression fiscale au Maroc 1. 2. III. La pression fiscale jusqu’au 1980 La pression fiscale après 1980 L’évolution de la pression fiscale au Maroc et aux pays

telles que la politique économique dépende, en partie, de la fiscalité, de sorte que c’est la recette possible qui agit sur les dépenses envisageables. La fiscalité économique, plus qu’une technique traduit un véritable activisme financier des recettes fiscales qui ne sont plus neutres à l’égard des mécanismes et des circuits économiques. Dépassant la simple technique de couverture des dépenses publiques, la fiscalité économique devient un puissant instrument de politique économique capable de tendre

que la notion de budget regroupe les documents récapitulatifs des recettes et des dépenses prévisionnelles déterminées et chiffrées pour un exercice comptable à venir pour les collectivités territoriales et l’Etat. Nous pouvons d’ailleurs évoquer la notion de budget des dépenses, « liste de crédit demandés par le gouvernement et accordés par le parti politique qui a la majorité dans le Parlement », et la notion de budget des recettes, « répartition des charges entre les individus », comme le définit

Faut-il réduire le déficit budgétaire? Le déficit budgétaire constitue un flux négatif ( les dépenses budgétaires sont supérieures au recettes) qui alimente la dette.Derrière cette question, on peut donc aussi voir au premier abord: faut-il réduire la dette? Réduire le déficit budgétaire, c'est tenter de réduire le rapport de la dette au PIB. Ou c'est du moins ce qui est avancé aujd... Pb brûlant puisque tous les Etats européens se sont engagés dans des politiques d'austérité et qu'on ne peut

. . . . . . . Le déficit budgetaire peut soutenir l’offre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . La relance économique par le déficit public : Exemples concrets . . . . . . . . . . . . . CONCLUSION ANNEXES Exposé d’Economie: deficit publique et gestion de la politique économique Par YANKAM et EHOUMAN c ENSEA 2010 RESUME Il est clair que tout déficit public sera tôt ou tard financé. Ainsi, lorsqu’il existe une situation de déficit public, il l’Etat devra prendre des mesures et

crise financière. Le recul de l'activité a cependant été limité, la dépense publique étant venue soutenir l'activité. Le plan de relance adopté par le 1 gouvernement en pleine crise est demeuré d'ampleur modeste, mais les " stabilisateurs automatiques " ont joué à plein : l'Etat, les collectivités territoriales et les régimes de protection sociale ont maintenu le niveau de leurs dépenses, en dépit de la baisse des recettes fiscales et sociales engendrée par le recul de l'activité et la montée du chômage

crise financière. Le recul de l'activité a cependant été limité, la dépense publique étant venue soutenir l'activité. Le plan de relance adopté par le 1 gouvernement en pleine crise est demeuré d'ampleur modeste, mais les " stabilisateurs automatiques " ont joué à plein : l'Etat, les collectivités territoriales et les régimes de protection sociale ont maintenu le niveau de leurs dépenses, en dépit de la baisse des recettes fiscales et sociales engendrée par le recul de l'activité et la montée du chômage