Recherche, assistance, intervention, dissuasion

d’agression ALL, l’URSS interviendrait, et une assistance économique extrêmement réduite dans ce cas (URSS fournit du charbon). D’entrée, la France rétablit un lien passé avec l’URSS. - Avec les Britanniques : « Un accord des esprits et des cœurs qui n’a pas besoin d’être couché sur le papier » (Bertelo). On sait tous ce que la France doit à Churchill. Mais il y a toujours des égoïsmes nationaux. Ainsi, les Anglais ont recherché l’alliance avec la France pour ne pas être seuls

des crises et outil militaire ............................................ 55 I.1 Formes de conflictualité ...........................................................................................................55 I.2 Crises humanitaires ou interventions au profit des administrations civiles nationales ou étrangères..........................................................................................................56 I.3 gestion globale des crises .........................................

Chapitre 6 - La mise en œuvre de la stratégie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69 A. La connaissance et l’anticipation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. La dissuasion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. La protection . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D. La prévention. . . . . . . . . . . . .

lois sont indépendantes de nos préférences ; aussi les hommes ne les défient ou ne passent outre qu'à leurs risques et périls ». Les contraintes inhérentes à toute configuration bipolaire sont au nombre de quatre : la création de blocs (1), la non-intervention dans la sphère adverse (2), la non-participation aux querelles des alliés (3) et l'impératif de communication (4). 1) La création des blocs Le 5 mars 1946, Churchill parlait pour la première fois du « rideau de fer » qui séparait l'Europe

permanente de recherche du renseignement sur certains agents et surtout dans un certain nombre de domaines. Leur action porte aussi bien sur le terrorisme national que sur le terrorisme international - La DST (surveillance du territoire) : elle a en charge la recherche et la collecte de renseignements sur les agents étrangers. Elle est très impliquée dans le terrorisme islamiste - La DGSE (direction générale de la sécurité intérieure) : services secrets français - Le RAID (recherche, assistance, intervention

National Security Strategy of United States, Washington D.C" du mois d’août 1991, l'Administration BUSH  proposait une approche globale dans le cadre du “nouvel ordre mondial”. Pour elle, les forces américaines devaient répondre à quatre exigences : la dissuasion stratégique, le pré-positionnement, le financement et la reconstitution des forces américaines. Même si certaines zones possèdent peu de valeurs intrinsèques, elles peuvent être néanmoins d’un intérêt stratégique vital parce qu’elles contribuent

aux USA, les 5 ans de différence entre les premières bombes sont bien loin : on passe de 5 ans d’écart à des explosions quasi simultanées. Cette fois-ci en plus, la bombe soviétique ne doit rien à l’espionnage aux USA. Elle est le produit d’une recherche distincte de celle menée aux USA. 6. Les dissensions internes en URSS pour la succession de Staline : la victoire de Khrouchtchev Cette coexistence pacifique est déjà abordée par Staline en novembre 1952. Beria et Malenkov se posent en réformateurs

d’une certaine incertitude. La question qui se pose est de savoir dans quel cas on peut intervenir sur le territoire d’un Etat étranger. La réponse peut paraître simple prima facie : à chaque fois que l’Etat en cause donne son consentement à cette intervention. Lorsque les autorités locales donnent explicitement leur accord à l’intervention, celle-ci est licite. Le problème ne se pose donc qu’en cas de refus de l’Etat. On considère, en droit international que chaque Etat est libre dans son ordre (1)

spécialisé du savoir apparaît : c’est celui des relations internationales. Les premières recherches ont été initiées aux Etats-Unis car ils veulent comprendre leur rôle et comment agir en tant que puissance, c’est pourquoi cette discipline est marquée par la prédominance américaine. Savoir américain et puissance américaine vont de pair. Le premier facteur est la liberté de penser et l’importance des réseaux de recherches publiques et privées. La puissance des Etats-Unis les conduit à assumer de grandes

la guerre et aux moyens d’installer une paix durable, les transformations des mécanismes d’équilibre imposent de renoncer aux seules causes historiques de la guerre. Le refus des USA de tenir le rôle qui leur incombait a la suite de leur intervention en Europe a été la base d’une réflexion plus générale sur le rôle de la puissance et de la finalité de la diplomatie. §2 - L’objet de la discipline : Ces RI ont un impact croissant. On peut distinguer deux aspects. D’abords un aspect individuel