Recherche philosophique sur l'origine de nos idées du sublime et du beau

c'est sans doute ce qui nous trouble, nous enchante ou nous égare le plus; mais c'est, tout bien réfléchi, moins étrange que de surprendre son éclat, ou le reflet de cet éclat fragmenté, dans la nature. Du moins ces reflets auront-ils été pour moi l'origine de bien des rêveries, pas toujours absolument infertiles.   Cette fois, il s'agissait d'un cerisier; non pas d'un cerisier en fleurs, qui nous parle un langage limpide; mais d'un cerisier chargé de fruits, aperçu un soir de juin, de l'autre côté

2. La Raison, quant à elle, désigne au sens strict la faculté de raisonner, c’est à dire de former des concepts ( des idées abstraites ) et de les combiner entre eux de manière logique. Par extension, elle peut aussi désigner la faculté de bien juger, c’est à dire de distinguer ce qui est vrai d’avec ce qui est faux, ce qui est bien d’avec ce qui est mal, de qui est beau d’avec ce qui laid. Cette seconde acceptation prend donc une valeur normative que n’a pas la première. C’est en ce sens que

fondateur de la congrégation de l'Oratoire, parle même d' «anéantissement » du moi pour aller vers Dieu, et le père Senault, général de l'Oratoire, présente dans ses œuvres un tableau de la nature humaine fondé sur ses oppositions. On voit que toutes ces idées sont très proches des thèses que défend Pascal dans les Pensées. De plus, cette horreur du moi rattache d'ailleurs les jansénistes à la pensée religieuse de leur temps. Des hommes comme Saint-Cyran (1581-1643), directeur spirituel de Port-Royal, dans

Philosophie politique Cour 1 => 28 Janvier ______________________________________________________________________________ Objectif: Axée notre réflexion sur trois moments de la philosophie politique: - Antiquité avec l’origine de la philosophie politique - Point de rupture avec Machiavel car naissance du réalisme - Philosophie contemporaine Machiavel sort un livre nommé le « Prince », il travail sur la souveraineté du prince, il va donner dans son livre, un ensemble de stratégies

supérieure, installe l’art dans une sphère du religieux primordiale et indifférenciée. La philosophie des Lumières a voulu désenchanter le monde au nom de la raison, le premier romantisme se donne pour programme de le ré-enchanter au nom de l’émotion, du sublime, d’un sacré immanent etc. Le premier romantisme allemand refuse que nous soyons enfermés dans les seules limites de la connaissance objective (Kant). Grâce à l’art nous avons la possibilité de représenter l’irreprésentable. Toute la peinture abstraite

Etats-Unis, est-elle ici particulièrement intéressante, puisqu’elle concerne notre présent immédiat. Le xxie siècle commençant croit-il encore que l’art puisse être une arme ? L’étude montre à travers l’analyse d’œuvres précises, un épuisement de la recherche formelle se traduisant par des emprunts nostalgiques à l’art politique des années 60, et conclut à un effort vain pour réactiver le rapport de l’art et du politique auquel les artistes ne croient plus vraiment. Tout se passe « comme si les artistes

a aussi un objectif transcendant. En tout, elle recherche le parfait, vraie mystique, elle prête un sens caché aux choses de ce monde et même, en quelques occasions, elle a l'impression de pouvoir connaitre dieu sans intermédiaires, face à face. P408 Le choc entre la nature d'Aurore et celle de Casimir provient- il surtout de ce sens, de ce goût de l'absolu qu'elle a depuis son enfance. La vie d'Aurore, puis de George, est une recherche de l'amour à travers dieu, à travers un être humain

sympathies. - talent (talentueux - talentueuse) : Aptitude remarquable, naturelle ou acquise (dans un domaine particulier, et notamment sur le plan artistique). • Le talent d'un acteur. - ténacité (tenace*) : Fort attachement porté à des idées, des opinions ou des projets Synonymes : opiniâtreté, obstination. • avoir de l'ambition et de la ténacité à revendre. - tendresse (tendre*) : Affection faite de douceur. • Une tendresse toute maternelle. - vertu (vertueux - vertueuse) : Conduite

distanciation - L’humour comme méthode - Le principe d’indifférence - Contre l’esprit de système - L’unique et le multiple - Déplacer les pratiques artistiques - Pratique du hasard - Le non-agir - L’éloge de l’ennui - L’art et la vie confondus - A l’origine du mouvement Fluxus - Faire œuvre de l’environnement Par Jacques Amblard, musicologue - « Un infiltré » dans le monde musical ? - 4’33’’ Bibliographie Actualité John Cage JOHN CAGE, D’UN ART À L’AUTRE Par Norbert Godon, plasticien John Cage

. . . . . . . . .diminutif . . . . . . . . . . . .d’Anne, . . . . . . . . . introduit . . . . . . . . . . . .par . . . . le . . . déterminant . . . . . . . . . . . . . . . .« . . la . . .», . . vient ........ confi . . . . . . rmer . . . . . . .l’origine . . . . . . . . . . populaire . . . . . . . . . . . . .du . . . .personnage, . . . . . . . . . . . . . . . privé . . . . . . .d’un . . . . . . véritable ............. patronyme . . . . . . . . . . . . . . et . . . réduite . . . . . . . . . .à. .une