Récidive

automatisé. Ce mécanisme est aussi bien applicable aux personne physique qu’aux personnes morales depuis qu’elles sont responsables pénalement. Le but du casier judiciaire est de permettre aux juges de pouvoir appliquer les règles de la récidive, comme de s'assurer qu'une personne ne tombe pas sous le coup d'une incapacité ou d'une interdiction professionnelle[5]. Au XIXe siècle, on ne connaissait pas l'informatique. Aussi avait-on eu recours aux sommiers judiciaires, c'est-à-dire

ou moins et les juges seraient autorisés à prononcer à la place des peines de prison. Mesure phare du projet dessiné par la Chancellerie, elle concentre les critiques. Christiane Taubira avait promis une «réforme de rupture» pour lutter contre la récidive. Une réforme pénale fondée sur la conviction que la prison ne devait être qu'un ultime recours, en raison de sa «violence». Mesure phare de ce projet: la création d'une «peine de probation», une nouvelle forme de condamnation sans aucune référence

l’amener à la récidive.» *1. Aujourd’hui l’insertion des détenus après incarcération est une préoccupation des politiques sociales. En effet, la loi du 22 juin 1987 assigne deux missions à l’administration pénitentiaire : « participer à l’exécution des décisions et sentences pénales et au maintien de la sécurité publique » et « favoriser la réinsertion sociale des personnes qui lui sont confiées par l’autorité judiciaire ». Cependant, certaines difficultés persistent, notamment la récidive après l’incarcération

recherché depuis l'automne 2010 pour n'avoir pas signalé son changement d'adresse, conformément au suivi lié à sa condamnation pour viol. Ex: L'HOMME QUI RECIDIVE (séquestration, viol puis étranglement) L'homme qui a avoué avoir étranglé une joggeuse quarantenaire dans l'Essonne était en état de récidive, ayant en 2000 séquestré et violé une adolescente de 13 ans. Malgré la gravité de ce fait, il a été libéré en 2007 et s'est installé... à quelques centaines de mètres du domicile

mais vivant une crise importante, vivant dans une famille chaleureuse, fonctionne bien en institution, recidive faible., collabore avec le personnel. °easy : pd 70-hy65 : sociable, ne voit pas les problèmes dans la vie. Intelligence sup mais veut pas travailler. 7% des detenus, famille chaleureuse, crime eco, veut faire du quick cash. Fonctionne bien en instit. Plus faible taux de recidive (11%). °baker : pd70-d65 : antisocial, evitant, dependant, passif-agressif. 4%. pas trop intelligent, anxieu

Thi Mai Anh NGUYEN Année 2009/2010 Résumé : Une saturation des prisons de plus en plus importante a obligé les différentes institutions en charges des personnes condamnées, à être plus vigilantes. Malgré une rigidité pénale, la violence et la récidive se trouvent être des problèmes d’actualité. Les institutions du Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation (SPIP) et de la Société Dijonnaise d’Aide par le Travail (SDAT) côtoyant tous les jours ces sujets pensent avoir puisé dans toutes leurs

exemple). Elles sont liées à l’auteur de l’infraction ou plutôt a sa « dangerosité ». Leur but essentiel est la prévention pour empêcher une éventuelle récidive par le traitement, la réadaptation, la surveillance ou « la neutralisation ». Elles peuvent être appliquées de façon immédiate par le juge. Mais le législateur entend bien lutter contre la récidive et crée des mesures qu’il entend par une disposition transitoire faire appliqué immédiatement. En effet la plupart de ces mesures de sureté sont d’application

La classification des peines selon leur fonction B/ Les finalités des sanctions 1°) Les fonctions de la peine 2°) Les caractères de la peine II. Limites et évolutions des sanctions A/ L’exemple de la récidive 1°) Les sanctions prises à l’égard d’individus dangereux pour la société sont-elles toujours bien adaptées  2°) Evolutions possibles pour améliorer

service des affaires européennes et internationales du Ministère de la justice, Traitement de la récidive et peines minimales, étude de droit comparé, 10 aout 2007 Rapport de* Monsieur *Vincent LAMANDA*, *Premier président de *la Cour* de cassation, Amoindrir les risques de récidive criminelle des condamnés dangereux, 30 mai 2008 Rapport établi par *la Commission* d’analyse et de suivi de la récidive, 28 juin 2007 Rapport établi par *la Commission Santé-Justice*, présidée par Monsieur J-F *Burgelin*

préparer la réinsertion, lutter contre la récidive, maintenir ou restaurer les liens familiaux, sociaux et de travail. En 2009, 50 000 personnes ont eu accès à un aménagement de peines. Pourtant les solutions alternatives existantes aujourd'hui comme la liberté conditionnelle ou le bracelet électronique comportent des avantages mais également des inconvénients. Le gouvernement français précise également que ces solutions font augmenter le nombre de récidives. Les objectifs des peines alternatives