Recours De La Caution

peut opposer au porteur les mêmes moyens de défense que le tiré . le donneur d’aval actionné en garantie peut agir en paiement contre le tiré , soit au titre d’une action personnelle , soit au titre d’une action subrogatoire , soit au titre d’un recours spécifique . concernant le paiement , le donneur d’aval emploie généralement la formule « bon pour aval » et signe la lettre . le paiement s’effectue dans la résidence du tiré ( ou de son établissement bancaire) à l’écheance ou l’un des deux jours

Différents types : Distinctions fondées sur le contenu de l’engagement de la caution. Distinctions fondées sur les dettes cautionnées. Section 2 : Conditions de validité Sous section 1 : Conditions de fond : §1. Le consentement de la caution Exigence d’un consentement éclairé : Exigence d’un consentement libre : §2. La capacité et le pouvoir de cautionner Capacité de consentir à un cautionnement Pouvoir d’engager des biens pour un

Cc : celui qui se rend caution d’une obligation se soumet envers le créancier à satisfaire à cette obligation si le débiteur n’y satisfait pas lui-même. . Il s’agit donc d’un contrat unilatéral par laquelle la caution seule s’engage à exécuter l’obligation du débiteur principal défaillant. Contrat unilatéral : cela suppose un échange de consentement Acte unilatéral : ce n’est pas le résultat d’un échange de consentement Cela suppose un échange de consentement entre la caution et le créancier

Victor d’argenlieu Commentaire de l’arrêt du 12 juillet 2011 Td droits des suretés sc 5 Le principe de l’opposabilité au créancier des exceptions par la caution prévu par l’article 2313 du code civil se voit limité selon la lettre même du texte par l’exigence du caractère d’ inhérence à la dette de l’exception. La jurisprudence a dû ainsi se prononcer sur l’ensemble des exceptions opposables afin d’en déterminer le lien avec la dette. L’arrêt de la cour de cassation du 12 juillet 2011 vient

capacité pour cautionner …………………………………………………………………………..1O 2- Le consentement …………………………………………………………………………………………………11 a- L’erreur ……………………………………..……………………………….…………………….…..12 b- Le dol …………………………………………………………………………..…….………………..12 3- l’objet et la cause du cautionnement :……………………………………..…………..……………...…13 PARTIE II : LES EFFETS ET EXTINCTION DE CAUTIONNEMENT………………………………..…14 A- Les effets du cautionnement … …………….………………………………………………………......14 1- les rapports entre les cautions et les

retrouvés dans une situation de ne pas pouvoir mettre en œuvre leur sureté, les créanciers ont donc eu recours à d’autres formes de garanties (crise de confiance de l’hypothèque) comme par ex la fameuse clause de propriété. Sureté personnelle : c’es le cautionnement la sureté personnelle classique (encore fiable) au fil du temps le législateur et la jurisprudence ont de plus en plus protégés la caution. On a aussi rechercher d’autr mécanisme comme la garantie autonome. C) Réforme du droit des

créancier. Mais la présence d’un cautionnement vient bouleverser cet état logique de fait, puisque le créancier va pouvoir agir contre la caution, qui elle-même aura droit au recours contre le débiteur principal de la dette. Christian Mouly qualifie cette situation de « joli jeu de dupes » Un tel contrat est très souvent source de contentieux : lorsque la caution est actionnée par le créancier, elle tentera généralement de se défaire de son engagement, ainsi que nous le montre l’arrêt rendu par la

supplémentaire afin de garantir le paiement de la dette souscrite. Adjonction faite slt à titre de garantie donc nveau débiteur dispose en ppe d’un recours vs le débiteur ppal garanti. Le cautionnement est ainsi la sûreté personnelle la plus classique. La lettre d’intention (art 2322 CC) est aussi une sûreté personnelle mais il n’existe pas de recours possible vs le débiteur ppal. Mécanismes du D des ob peuvent ê des techniques de garantie ds des opérations de crédit sans ê des sûretés perso stricto

elles portent alors sur les biens du débiteur, ces biens sont affectés à la garantie de l’exécution de son obligation. Lorsqu’une personne affecte un bien qui lui appartient à la garantie de l’exécution de l’obligation d’une autre personne c’est la caution réelle. Les suretés mobilières peuvent être classées selon leur mode de constitution. Elles sont alors soit des suretés avec dépossession, soit des suretés sans dépossession. Dans le premier cas, le débiteur se dessaisit du meuble donné en sureté

accessoire du cautionnement reste un point fondamental qui apparait comme étant de l’essence du cautionnement. Non seulement l’obligation de la caution est étroitement dépendante dans sa validité et dans sa durée de l’obligation du débiteur mais, en plus elle se modèle exactement dans ses effets, dans son contenu sur cette obligation principale. L’obligation de la caution est en quelque sorte un décalque de l’obligation du débiteur principal.” Le caractère accessoire est le principe fondamental du cautionnement