Redistribution Est Elle Necessaire

développement sans croissance ?quel liens peut on établir entre ces 2 notions ?est ce que ce processus endogène et cumulatif permet il de réduire les inégalités sociales pour arriver au développement ?(annonce du plan) I- LA CROISSANCE EST NECESSAIRE AU DEVELOPPEMENT elle est source de progrès tant au niveau individuel que collectif. Tout d’abord sur le plan du développement social .la croissance contribue à la satisfaction des besoins fondamentaux de l’homme et la hausse des indicateurs

esperance de vie à la naissance), pour un tiers d'un indicateur d'éducation ( taux d'alphabetisation et taux de scolarisation) et pour un autre tiers d'un indicateur de niveau de vie ( le PIB/hab en Parité de pouvoir d'achat). La croissance est nécéssaire au développement : la croissance économique ( augmentation de la quantité de richesses créées ) enjendre l'augmentation des revenus distribués, celui ci provoque: - l'augmentation de la consommation des ménages => élévation du niveau de vie =>

valeurs d’un partis. Les idéologies de gauche soutiennent des valeurs telles que le progrès social, la liberté, l’égalité et la solidarité sociale. Elles sont pour l’intervention de l’Etat dans les domaines économique et sociaux, et aimeraient une redistribution égale des richesses. L’un des principaux partis politique de l’extrême gauche est La France Insoumise, et a à sa tête Jean-Luc Mélanchon, et l’un de ceux de la gauche est Europe Ecologie Les Verts, dont la présidente est Emmanuelle Cosse. Les

sur la demande. Déjà, Keynes (1936) suggérait qu’en transférant des ressources des classes aisées (à forte propension à épargner) vers des classes populaires ( à forte propension à consommer), on contribue à l'essor du marché intérieur solvable nécessaire au développement industriel. Ces effets sur la demande suscitent toutefois un intérêt minoritaire dans une recherche qui se concentre plutôt sur les effets d'offre. Les nouvelles théories de la croissance attirent davantage l'attention sur les

droit. En principe dans une économie de marché, le rôle de l’Etat doit être pratiquement inexistant puisque c’est le marché, efficient par nature, qui assure la mise en relation des agents. Pour les keynésiens, un interventionnisme de l’état est nécessaire pour le bon fonctionnement de l’économie. Au XIXe siècle, les pouvoirs publics interviennent très peu dans la vie économique. Ce n’est qu’à partir du XXe siècle, que l’on passe de l’Etat minimal à l’Etat Providence. L’Etat face aux défaillances

permet de baisser les inégalités, il permet aussi à l’économie de se procurer des recettes nécessaires à ses besoins et ainsi de se démarquer par rapport au reste du monde. Aujourd’hui, l’impôt sur le revenu est le prélèvement obligatoire qui corrige le mieux les inégalités. Par sa progressivité, il permet de resserrer les revenus et de déconcentrer les revenus et les patrimoines. Néanmoins, la redistribution du système fiscal français est aujourd’hui remise en cause. Il est donc essentiel de se

d’une invention Taux de rentabilité : la rentabilité est un rapport entre un revenu et le capital engagé pour l’obtenir. Le taux de rentabilité fait référence à la rentabilité économique qui met en relation le revenu obtenu et le capital fixe nécessaire pour l’obtenir (ENE ou EBE/K) cette rentabilité s’oppose à la rentabilité financière qui fait le rapport entre le profit net des intérêts et impôts payés et les capitaux propres de l’entreprise, elle est calculée par les actionnaires d’une entreprise

plus inégalitaire, avec le développement d'une « nomenklatura » qui disposait de privilèges exorbitants. Dans la théorie économique, on trouve différents auteurs qui défendent l’idée que certaines inégalités, en l’occurrence économiques, sont nécessaires au processus d’enrichissement. Les travaux de F. von Hayek vont dans ce sens. Cet économiste considère que les inégalités agissent comme des « signaux de marché » et permettent d’orienter la production vers les secteurs qui font l’objet de la plus

Le logement, c’est 100% par le public Pauvreté, 76% par le public (24% par des organismes privés sans but lucratif) La protection sociale assume ce qui n’est d’autre qu’une fonction d’assurance, mais elle assume également une fonction de redistribution qui d’ailleurs conditionne son efficacité et permet de la distinguer des mécanismes d’assurance privée. La protection sociale alimente plusieurs circuits : Le circuit des assurances sociales. Il se caractérise par le versement de prestations

frottement, dû aux défauts d’ajustement du marché du L, et le U volontaire, refus des ind de travailler au W d’équilibre. Le W est égal au produit marginal du L (productivité) et au montant qui permet d’attirer sur le marché du L le volume d’N nécessaire à la prod. Keynes s’oppose à la théorie classique en citant 2 arguments : • Les salariés sont victimes de l’illusion monétaire et ils n’ajustent pas leur cmpt au W réel mais au W nominal. • Demande effective -> Niv de l’N -> Niv des W réels